1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. I. Protohistoire d’un continent sans nom
1 de l’incinération. (« Champs d’urnes ».) Puis la Grèce et l’Italie des Étrusques, quelques siècles plus tard, envoient vers
2 ale, à l’exclusion toutefois de l’Italie et de la Grèce , où ils n’ont fait que de rapides incursions (à Rome et à Delphes). L
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
3 de toute une civilisation intermédiaire entre la Grèce et l’Asie. État puissant par son organisation, ses lois, ses arts, se
4 ocié à celui de Zeus dans le monde égéen, dans la Grèce continentale. Et voici le moment où le génie grec s’en empare pour le
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. III. Le Mythe de Japhet
5 de notre ère, cette tradition indépendante de la Grèce  : nous l’appellerons le Mythe de Japhet. Selon saint Ambroise (né en
4 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
6 son non moins traditionnelle fait de l’Europe une Grèce agrandie21 : On a souvent dit que l’Europe était à l’égard de la ter
7 ue l’Europe était à l’égard de la terre ce que la Grèce fut jadis à l’égard de l’Europe. La Grèce a le sol médiocrement ferti
8 que la Grèce fut jadis à l’égard de l’Europe. La Grèce a le sol médiocrement fertile, la surface variée et coupée, des limit
9 s connues. Mais ce parallèle entre l’Europe et la Grèce doit être étendu à des rapports plus nobles que ceux de la nature cor
5 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
10 t Occident mystiques par les métaphysiciens de la Grèce présocratique, puis de la Perse avicennienne, et enfin par tous les a