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é de l’incinération (« Champs d’urnes »). Puis la
Grèce
et l’Italie des Étrusques, quelques siècles plus tard, envoient vers
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ale, à l’exclusion toutefois de l’Italie et de la
Grèce
, où ils n’ont fait que de rapides incursions (à Rome et à Delphes). L
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ntre l’Europe et l’Asie, l’une représentée par la
Grèce
indomptable, l’autre par la Perse docile : Songe de la reine, mère
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ême sang, elles habitaient deux patries, l’une la
Grèce
, dont le sort l’avait lotie, l’autre la terre barbare. Il me semblait
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de toute une civilisation intermédiaire entre la
Grèce
et l’Asie. État puissant par son organisation, ses lois, ses arts, se
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ocié à celui de Zeus dans le monde égéen, dans la
Grèce
continentale. Et voici le moment où le génie grec s’en empare pour le
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de notre ère, cette tradition indépendante de la
Grèce
: nous l’appellerons le Mythe de Japhet. Selon saint Jérôme (346-420)
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s empires ; et que Javan son petit-fils peupla la
Grèce
en passant en Italie : que c’est de là que les Grecs s’appelèrent Ion
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tribuait à Cadmus l’introduction de l’alphabet en
Grèce
, et plaçait la venue de Cadmus au début du xve siècle ». Or les trou
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son non moins traditionnelle fait de l’Europe une
Grèce
agrandie30 : On a souvent dit que l’Europe était à l’égard de la ter
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ue l’Europe était à l’égard de la terre ce que la
Grèce
fut jadis à l’égard de l’Europe. La Grèce a le sol médiocrement ferti
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que la Grèce fut jadis à l’égard de l’Europe. La
Grèce
a le sol médiocrement fertile, la surface variée et coupée, des limit
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s connues. Mais ce parallèle entre l’Europe et la
Grèce
doit être étendu à des rapports plus nobles que ceux de la nature cor
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e de Thrace qui porta en effet ce nom, ou avec la
Grèce
, comme c’est le cas d’Eschyle ? Mais on s’expliquerait mal qu’ils aie
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mal qu’ils aient éprouvé le besoin de désigner la
Grèce
par un terme plus général, s’ils n’entendaient vraiment parler que d’
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siècles plus tard, il apparaît clairement que la
Grèce
n’est qu’une « petite partie » de l’Europe. Cicéron (Pro Flacco, XXVI
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l’Europe. Cicéron (Pro Flacco, XXVII), dit de la
Grèce
: Parvum quendam locum Europætenet. Saint Augustin, dans La Cité d
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t Occident mystiques par les métaphysiciens de la
Grèce
présocratique, puis de la Perse avicenienne, et enfin par tous les au
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spagne prennent les armes l’un contre l’autre… La
Grèce
laboure pour soi, moissonne pour soi, moud son grain pour soi, se rep
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tin), le pape lui promet l’admiration de toute la
Grèce
, de toute l’Italie, de toute l’Europe. Quant à la croisade que Pie II
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sur tes ennemis pour que, ayant enfin recouvré la
Grèce
, nous puissions chanter tes louanges par toute l’Europe. Relevons la
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. Relevons la triade significative des termes de
Grèce
, d’Italie et de chrétienté pour désigner « toute l’Europe » : premièr
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stinguaient dans l’art de la guerre. En effet, en
Grèce
, sans compter le royaume de Macédoine, il y avait de nombreuses répub
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précieuse en Suède, affable en Pologne, molle en
Grèce
et sombre en Moscovie.115 Montesquieu (vers 1730) : L’Allemagne e
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l’Europe. B. — Ah ! exceptez-en, je vous prie, la
Grèce
, qui obéit au Grand Turc, et la malheureuse partie de l’Italie qui ob
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Gaules leurs cités et les derniers soupirs de la
Grèce
devinrent encore illustres dans la ligne achéenne. Mais nulles de ces
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ons une prosopopée typique du siècle : … Superbe
Grèce
! où sont ces villes sans nombre que ta splendeur avait rendues si br
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acre la barbarie. L’Égypte, l’Asie, l’Afrique, la
Grèce
, tout a disparu devant ses progrès. On les cherche dans elles-mêmes,
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Par elle seule enfin, ce génie qui distinguait la
Grèce
et Rome d’avec les barbares vit encore aujourd’hui dans l’Europe ; et
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ire. Les nations guerrières de l’antiquité, de la
Grèce
, de la Macédoine et de Rome, élevaient une race de soldats, exerçaien
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deux courants : l’un, venu d’Orient, passe par la
Grèce
et l’Italie et s’infléchit légèrement dans le sud de l’Europe, invent
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Congrès américain, ou celle des amphictions de la
Grèce
; et quelle perspective alors de force, de grandeur, de jouissances,
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Frieden, ein Ideal : Ainsi que Sparte un jour en
Grèce
, ô France, toi aussi tu vas te dresser pour libérer l’Europe de ses d
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sion à la domination du monde ait passé d’Asie en
Grèce
pour se transmettre ensuite aux Romains, l’état de l’Europe était à p
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s, Rome et Paris sont pléiades. Lois immenses. La
Grèce
s’est transfigurée, et est devenue le monde chrétien ; la France se t
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ma patrie, et, de même qu’Athènes est devenue la
Grèce
, de même que Rome est devenue la chrétienté, toi, France, deviens le
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a figure de l’Européen : Ce que nous devons à la
Grèce
est peut-être ce qui nous a distingués le plus profondément du reste
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qu’il y eut en Chine, aux Indes, et aussi dans la
Grèce
antique ; la science grecque est seulement une introduction et un moy
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omme l’Iliade en est la première ; l’esprit de la
Grèce
s’y laisse voir non seulement en ce qu’il y est ordonné de rechercher
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a découverte des lettres grecques, le génie de la
Grèce
n’a pas ressuscité au cours de vingt siècles. Il en apparaît quelque
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ond : c’est l’esprit de la Philosophie, née de la
Grèce
: « La forme spirituelle de l’Europe », qu’est-ce à dire ? C’est l’i
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: la conscience tragique, telle qu’elle exista en
Grèce
, connaît la signification de l’échec même et le désir de l’échec auth
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hilosophie, l’art, la science, la technique de la
Grèce
se prolonger en substance dans l’époque hellénistique. Les lignes dir
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défense et de contre-attaque de l’Asie contre la
Grèce
. En prolongeant les lignes et les problèmes de la culture européenne
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hristianisme et des anciennes civilisations de la
Grèce
, de Rome et d’Israël, dont deux millénaires de chrétienté nous ont to
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uisons en commun, les littératures de Rome, de la
Grèce
et d’Israël. Ce que j’ai dit de la poésie me paraît aussi vrai des au