1 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
1 de, Thomas More et Bacon, Campanella, Rabelais et H. G. Wells . La plupart sont Anglais, il faudrait voir pourquoi. Les Français ina
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
2 e, Campanella, Cyrano de Bergerac, Jules Verne et H. G. Wells ) la notion même de prévision doit être sérieusement revue. Karl Jaspe
3 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
3 vous rappeler une déclaration célèbre de Lénine. H. G. Wells , le célèbre romancier anglais, qui est l’un des pères de l’anticipati
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 5. Naissance de la prospective
4 essaires et urgentes. La double descendance de H. G. Wells Cela commence à la veille de la Première Guerre mondiale, celle qu
5 , pessimiste avec Oswald Spengler, optimiste avec H. G. Wells . L’un s’appuie sur l’histoire et l’autre sur la science. Jusqu’à nous
6 e, ce Méliès de la prospective, bientôt suivi par H. G. Wells , dont le « chant séculaire » paru en 1900, s’intitule Anticipation de