1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
1 éserves sont de peu d’importance si l’on songe au service que M. Seillière nous rend en réintroduisant dans l’actualité la plus
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
2 t surtout de la sacro-sainte Raison utilitaire au service des sacro-saints Principes au nom desquels tout se ligue aujourd’hui
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
3 concret de l’esprit, ils comprendraient que le «  service dans le temple » s’accommode mal de tant de gesticulations, de gros m
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
4 2. Description du monstre Le service militaire me permit de retrouver quelques-unes de ces réalités. J’y r
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
5 2. Description du monstre Le service militaire me permit de retrouver quelques-unes de ces réalités. J’y r
6 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
6 anglais qui parvint durant la guerre à diriger le service de contre-espionnage allemand chargé de sa filature6. Ah ! comme nous
7 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
7 la terreur bourgeoise. Matraques et revolvers au service de la Propriété : des violences épisodiques de cette envergure n’aura
8 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
8 guerre, c’est sur la notion — et la pratique — du service nécessaire que se fait l’unanimité de la nouvelle génération. Quels q
9 , d’autre part, cette soif d’action directe et de service peut porter aussi bien, par exemple, à militer en faveur du marxisme,
10 e leurs filles, les colères de leurs femmes, leur service militaire et ses humiliations, leur travail, leur chômage, leurs vaca
9 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
11 décrire vos satiétés, quand elle ne se met pas au service d’un régime de surenchère désespérée des sensations de luxe, dont ell
10 1932, Esprit, articles (1932–1962). À l’index (Première liste) : Candide (octobre 1932)
12 il y a mis 16 ans — les plus fameux produits des services de propagande officieuse. M. Marcel Hutin n’a qu’à bien se tenir. La
11 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
13 es débats une conclusion précise : la question du service civil est ouverte. Une carrière pour les réformistes ! Mais il faut r
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
14 décrire vos satiétés, quand elle ne se met pas au service d’un régime de surenchère désespérée des sensations de luxe, dont ell
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
15 er 1940 Monté hier au Gothard, pour affaire de service . Ce haut lieu de la Suisse, ce vrai cœur de l’Europe, je ne m’en suis
16 femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte de service à côté du portail d’un ministère. Un vieux monsieur très grand, vêtu
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
17 l produire tant de nomades ? C’est le secret du «  Service étranger ». Ceux qui ont envie de se battre avec la vie s’en vont ail
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
18 que j’en dis l’eût gêné. Mais ce sens naturel du service , il lui fut donné de l’exercer dans d’autres dimensions humaines que
16 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
19 . Ce peut être sur une éthique de puissance et de service  ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou su
17 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
20 des Révolutions européennes — dans le domaine du service civil et des camps de travailleurs. Mais les tentatives de rupture pr
18 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
21 de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, fait de lui un révolutio
19 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
22 gique, de l’esprit. Hegel met d’abord l’esprit au service de l’État ; puis Marx à celui des « faits » et de la « matière » ; en
23 t à un rôle publicitaire, bientôt négligeable, au service de la Production divinisée. Telle est la « ligne générale » de la dém
24 . L’intelligence n’a plus alors qu’à se mettre au service des nécessités « telluriques » qu’elle avait pour mission héroïque de
20 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
25 caces d’ailleurs. ⁂ On a voulu mettre l’esprit au service du « minimum de vie » que n’importe quel animal s’assure à moins de f
21 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Positions d’attaque (décembre 1933)
26 n professionnelles, d’une part, et de l’autre, le service prolétarien collectif soumis directement à un centre de contrôle écon
22 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
27 ntralisateur — et par une institution centrale de service industriel collectivisé, soumise à un organe de répartition, tout à f
28 on professionnelle, d’une part, et de l’autre, le service prolétarien collectif soumis directement à un centre de contrôle écon
23 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
29 ouve citées les notes consignées par l’interne de service dans le journal de l’hôpital Frédérik où Kierkegaard passa ses dernie
24 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
30 et le syndicat d’une part, le centre directeur du service civil de l’autre. Tension organique entre la commune et la région d’u
25 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
31 servir de refuge, de prétextes et d’arguments au service de nos passions, au secours de notre misère matérielle. Mais elles ne
26 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
32 pèsent sur la civilisation ? Ou verra-t-on que le service que la pensée chrétienne doit rendre n’est un service rendu au monde
33 ice que la pensée chrétienne doit rendre n’est un service rendu au monde que si d’abord il est obéissance ? Ce ne sont pas les
34 e présentent au sein d’un ensemble vécu. Le grand service rendu par la phénoménologie, c’est de nous avoir délivrés d’une psych
27 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
35 ortantes. Indiquons simplement, ici, l’idée de ce service industriel, destiné selon les précisions de Dandieu, à provoquer la s
28 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
36 éfinissent volontiers l’Église comme une force au service de la civilisation, s’étonner des rudesses de ce théologien, et affir
29 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
37 liquant l’activité de l’homme considérée comme un service nécessaire — voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en politiq
38 uel d’abord, Économique ensuite, Politique à leur service . Il est facile d’indiquer rapidement le principe de cohésion de ces t
39 ion de la condition prolétarienne par le moyen du service civil de travail19. L’analyse du pouvoir aboutit d’autre part à une c
40 e des masses russe ou allemande ; enfin l’idée du service civil de travail, qui pourrait bien devenir le cheval de bataille des
41 frer et à définir dans le détail l’application du service de travail. Cf. le n° 8 de L’Ordre nouveau . 20. N’est-ce pas ainsi
30 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
42 croyance vulgaire au bonheur, la religion mise au service de l’ordre, la permanence, les vertus trop massives. C’est l’espèce d
43 balance politique. Tout ce qui n’est pas déjà au service des hommes, est déjà au service de ce qui les opprime. Notre individu
44 n’est pas déjà au service des hommes, est déjà au service de ce qui les opprime. Notre individualisme travaille pour l’État. No
31 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
45 erciales. » C’est l’amorce de notre conception du service civil, mais entreprise à rebours, et dans un sens qui ne peut aboutir
46 t plutôt un coup de bistouri. La bonne volonté en service commandé qui éclate dans ces discours ne rend que plus sensible l’imp
47 , appendice, p. vii. 17. Voir aussi, au sujet du service civil, les propositions du Plan, p. 46. 18. Nous les aurions mis à l
32 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
48 servir de refuge, de prétextes et d’arguments au service de nos passions, au secours de notre misère matérielle. Mais elles ne
33 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — IV. Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
49 liquant l’activité de l’homme considérée comme un service nécessaire — voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en politiq
34 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
50 . Ce peut être sur une éthique de puissance et de service  ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou su
35 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
51 de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, fait de lui un révolutio
36 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — IX. Antimarxiste parce que chrétien
52 , par exemple, ces trois notions : le travail, le service , l’amour du prochain. Le travail est pour le chrétien un pur exercice
53 ue le travail du brigadier de choc est d’abord un service rendu à la collectivité. Mais cela ne fait qu’aggraver l’opposition.
54 qu’aggraver l’opposition. En consacrant sa vie au service du plan quinquennal, le brigadier de choc travaille pour des avantage
55 surer un bien-être général matériel d’abord. Ce «  service  » est donc purement intéressé, en définitive. Il n’est qu’une extensi
56 l’intérêt personnel. Il est donc le contraire du service chrétien, lequel est d’abord sacrifice au bien de l’autre en tant qu’
57 s’ils semblent parler des mêmes objets. Le grand service que le marxisme peut rendre aux chrétiens, est là. Il a fait apparaît
37 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
58 ait d’abord des hommes humains, ensuite l’État au service de ces hommes. Là où l’homme veut être total, l’État ne sera jamais t
38 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
59 ou le syndicat d’une part, le centre directeur du service civil de l’autre. Tension organique entre la commune ou la région d’u
39 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
60 le spirituel une primauté de droit plutôt que de service . On voudrait que le spirituel soit honoré comme souverain d’une hiéra
61 ituel nous est prescrit, par l’Évangile, comme un service dans l’abaissement. La primauté du spirituel n’est donc active et jus
62 stifiée que pour autant que la personne se met au service du prochain. Elle n’est pas une « valeur », mais un acte. Et cet acte
40 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIV. Tactique personnaliste
63 une, ils nous reprochent d’être sans « force » au service de nos vérités. (Ils disent alors : de nos rêveries.) Ils ne conçoive
41 1934, Politique de la personne. Appendice — 2. Loisir ou temps vide ?
64 caces d’ailleurs. ⁂ On a voulu mettre l’esprit au service du « minimum de vie » que n’importe quel animal s’assure à moins de f
42 1934, Politique de la personne. Appendice — 3. Groupements personnalistes
65 uel d’abord, Économique ensuite, Politique à leur service . Il est facile d’indiquer rapidement le principe de cohésion de ces t
66 ion de la condition prolétarienne par le moyen du service civil de travail. L’analyse du pouvoir aboutit d’autre part à une con
67 e des masses russe ou allemande ; enfin l’idée du service civil de travail, qui pourrait, qui devrait devenir le cheval de bata
68 aille des mouvements de gauche. L’organisation du service civil est l’objet des études patientes d’un groupe d’ingénieurs qui s
69 la condition prolétarienne. Ses moyens ? Créer un service de travail analogue au service militaire, et destiné à assurer toute
70 moyens ? Créer un service de travail analogue au service militaire, et destiné à assurer toute la production mécanisée, c’est-
71 libérale et de la concentration capitaliste : le service civil de travail dépendrait, en effet, d’un office central qui aurait
43 1934, Politique de la personne. Appendice — 5. La Révolution nécessaire
72 ortantes. Indiquons simplement, ici, l’idée de ce service industriel, destiné selon les prévisions de Dandieu, à provoquer la s
73 81. À quoi j’ajouterais pour ma part le souci du service . Cf. p. 188. 82. Et au groupe de L’Ordre nouveau , le seul qui se s
44 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
74 e Versailles interdit à la Bolivie d’utiliser les services des Allemands. Pendant leur traversée, un coup d’État renverse le gou
45 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
75 t-ce à dire que le bien de tous doive être mis au service du bien de chacun ? Prenons garde de retomber ici dans un ordre contr
46 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
76 tion. Le public littéraire rendit un très mauvais service aux écrivains surréalistes en les prenant pour ce qu’ils croyaient êt
47 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
77 servir de refuge, de prétextes et d’arguments au service de nos passions, au secours de notre misère matérielle. Mais elles ne
48 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — IV. Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
78 liquant l’activité de l’homme considérée comme un service nécessaire — voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en politiq
49 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
79 . Ce peut être sur une éthique de puissance et de service  ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou su
50 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
80 de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, doit faire de lui un rév
51 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — IX. Antimarxiste parce que chrétien
81 , par exemple, ces trois notions : le travail, le service , l’amour du prochain. Le travail est pour le chrétien un pur exercice
82 ue le travail du brigadier de choc est d’abord un service rendu à la collectivité. Mais cela ne fait qu’aggraver l’opposition.
83 qu’aggraver l’opposition. En consacrant sa vie au service du plan quinquennal, le brigadier de choc travaille pour des avantage
84 er un bien-être général et matériel d’abord. Ce «  service  » est donc intéressé, en définitive. Il n’est qu’une extension intell
85 rêt personnel. Il est à cet égard le contraire du service chrétien, lequel est d’abord sacrifice au bien de l’autre en tant qu’
86 s’ils semblent parler des mêmes objets. Le grand service que le marxisme peut rendre aux chrétiens, est là. Il a fait apparaît
52 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
87 ait d’abord des hommes humains, ensuite l’État au service de ces hommes. Là où l’homme veut être total, l’État ne sera jamais
53 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
88 ou le syndicat d’une part, le centre directeur du service civil de l’autre. Tension organique entre la commune ou la région d’u
54 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
89 le spirituel une primauté de droit plutôt que de service . On voudrait que le spirituel soit honoré comme souverain d’une hiéra
90 ituel nous est prescrit, par l’Évangile, comme un service dans l’abaissement. La primauté du spirituel n’est donc active et jus
91 stifiée que pour autant que la personne se met au service du prochain. Elle n’est pas une « valeur », mais un acte. Et cet acte
55 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIV. Tactique personnaliste
92 une, ils nous reprochent d’être sans « force » au service de nos vérités. (Ils disent alors : de nos rêveries.) Ils ne conçoive
56 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 2. Loisir ou temps vide ?
93 ficaces d’ailleurs. On a voulu mettre l’esprit au service du « minimum de vie » que n’importe quel animal s’assure à moins de f
57 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 3. Groupements personnalistes
94 uel d’abord, Économique ensuite, Politique à leur service . Il est facile d’indiquer rapidement le principe de cohésion de ces t
95 ion de la condition prolétarienne par le moyen du service civil de travail78. L’analyse du aboutissait d’autre part à une conce
96 it de démontrer par l’exemple la possibilité d’un service de travail analogue au service militaire, et destiné à assurer toute
97 a possibilité d’un service de travail analogue au service militaire, et destiné à assurer toute la production mécanisée, c’est-
98 libérale et de la concentration capitaliste : le service civil de travail dépendrait, en effet, d’un office central qui aurait
58 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
99 de mots d’ordre soi-disant « tactiques », mis au service non point d’un idéal communautaire, mais de passions et d’intérêts sa
100 le de l’État, limité et fort, et l’institution du service civil.) C’est en vertu de notre conception de la personne que nous vo
101 ment à participer à notre prochaine expérience de service civil : remplacer un manœuvre dans une usine pendant 15 jours, et lui
59 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 5. Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
102 e et responsable du seul fait qu’elle se met « au service  » d’une doctrine de lutte politique. Faire la révolution, cela demand
60 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
103 prendre, existentiellement, que cette exigence de service , cet abaissement de la pensée aux choses, cet acte de présence au mon
61 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
104 pas un groupe d’agitateurs ou d’hommes de main au service d’un idéal mythique et vaguement défini. Nous voulons être, et nous s
62 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
105 ulture est bientôt ravalé au rôle du règlement de service dans les casernes. Dans le monde capitaliste, la culture n’est plus g
63 1935, Articles divers (1932-1935). Les autres et nous : I — Esprit (avril 1935)
106 Esprit rend au mouvement personnaliste le grand service de lui créer une atmosphère, un champ d’essais intellectuels, je dira
64 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
107 Voilà bien le chrétien dans la cité : l’homme au service des hommes, bafoué, injurié, battu, exploité sans vergogne par tous l
108  : l’État et les institutions doivent être mis au service de l’homme ; or, c’est l’inverse qui se passe aujourd’hui ; l’État et
65 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
109 l à la solde des maîtres de forges, ou un chef de service aux finances prennent la parole au cours d’un banquet politique pour
66 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
110 e veut-il ? Un petit volume paru l’hiver dernier, Service public, nous l’a malheureusement appris. Ayant groupé cent-cinquante-
111 er ici le terme de fascisme. Mais l’apparition de Service public — et son succès — devraient suffire à mettre fin aux craintes
112 isme, en effet, est une mystique de la jeunesse ; Service public nous propose, au contraire, une mystique d’anciens combattants
113 ion des majuscules dont se hérissent les pages de Service public. Nos Morts, les Martyrs de la Passion française, la Bonne Nouv
114 tes dans la mesure où elles sont mal préparées ». Service public est un livre dangereux, parce que c’est un livre vague derrièr
115 et des revendications paysannes. Notre projet de service civil en liaison avec les corporations locales est la seule et unique
116 ue nous appelons la dichotomie, principe de notre service civil. Nous pensons avoir été plus loin que la simple position théori
67 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
117 Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)w Ce long avant-propos, où l’auteur nous
118 ve ce que dit Montherlant sur l’inutilité de tout service — à condition que le sentiment poignant de cette vanité finale n’empê
119 rbe (ou le régime !) et de qualifier d’inutile un service qu’il faudrait d’abord rendre. Je force un peu mon objection pour êtr
120 itôt privé ». Et par contre ceci, que je lis dans Service inutile, n’est-ce pas l’écho de la virile légèreté du grand seigneur 
121 Denis de, « [Compte rendu] Henry de Montherlant,  Service inutile  », Vendredi, Paris, 15 novembre 1935, p. 5.
68 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
122 sa vie. Docteur en droit, il travailla d’abord au service d’une compagnie d’assurances générales, puis d’une compagnie d’assura
69 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
123 domaine du travail. Et sa première expérience de service civil, organisée l’été dernier, a fait voir que les ouvriers savent a
70 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
124 tisans, qui concevaient encore leur rôle comme un service de l’art et de la pensée. Nous dirons tout à l’heure comment s’appell
125 liste. Ainsi l’éditeur cesse d’être un artisan au service du livre. Il met le livre au service de trusts industriels. Il entre
126 n artisan au service du livre. Il met le livre au service de trusts industriels. Il entre dans le domaine des gros chiffres, qu
127 éer ou de multiplier des centres de propagande au service d’un parti ou d’une ligue. (Nous voyons s’amorcer ce réflexe de défen
128 oir dans ce domaine : 1° Les institutions sont au service des personnes ; en particulier, l’édition est un moyen au service de
129 onnes ; en particulier, l’édition est un moyen au service de l’esprit créateur, et la distribution est un moyen au service de l
130 prit créateur, et la distribution est un moyen au service de l’édition. 2° Le gigantisme capitaliste ou étatique est proscrit p
71 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
131 vais au milieu d’ouvriers, de jeunes miliciens du Service de travail, de jeunes filles, de femmes mal vêtues : ils ne disaient
72 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
132 de mots d’ordre soi-disant « tactiques », mis au service non point d’un idéal communautaire, mais de passions et d’intérêts sa
133 le de l’État, limité et fort, et l’institution du service civil.) C’est en vertu de notre conception de la personne que nous vo
134 ment à participer à notre prochaine expérience de service civil : remplacer un manœuvre dans une usine pendant 15 jours, et lui
135 l y a l’Allemagne qui dresse toute sa jeunesse au service de l’État le mieux « entraîné » qu’on ait vu dans l’histoire… Que va
136 sait que ce titre signifie dictature (ou état) au service de la liberté. 47. Voir notre premier numéro et Mission ou démission
73 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
137 n de la condition prolétarienne. L’institution du Service civil, dont nous avons donné le plan général, et que notre expérience
138 s le confusionnisme délibéré, dans la calomnie en service commandé, et dans un conformisme vraiment stalinien. L’auteur englobe
139 » lorsqu’elle est maniée par un vrai marxiste, au service d’un État « dialectiquement » totalitaire. Tout notre honneur est de
140 , depuis quatre ans, une tout autre technique, au service d’un tout autre progrès. Que si les staliniens de Commune ou d’Europe
74 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Manifeste au service du personnalisme par Emmanuel Mounier (octobre 1936)
141 Manifeste au service du personnalisme par Emmanuel Mounier (octobre 1936)ab Ce texte ma
142 otions de minimum vital intérieur et européen, de service civil (appelé ici service public), d’entreprise (et non pas de corpor
143 térieur et européen, de service civil (appelé ici service public), d’entreprise (et non pas de corporation !), de Conseil suprê
144 , « [Compte rendu] Emmanuel Mounier, Manifeste au service du personnalisme  », L’Ordre nouveau, Paris, octobre 1936, p. 64.
75 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
145 grands desseins et ordonnant toutes choses à leur service , c’est l’histoire des objets, des langages, des génies ou des organis
146 s de jeunes gens dans les camps de vacances ou de service civil. Mais tout cela n’est encore que prodromes. Les premières grand
76 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
147 ses ; c’est changer de but, et mettre en œuvre au service d’un but nouveau une force intacte, endormie jusqu’ici. Ce n’est pas
77 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — III. Fatalités du rationalisme bourgeois
148 et dans son scepticisme, tant qu’elle les met au service de l’homme, tant qu’elle combat pour un idéal supérieur d’autonomie p
149 le d’une force d’émancipation tant qu’elle met au service d’un idéal à conquérir ses puissances conjuguées de critique et de mi
78 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — IV. Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
150 e d’être l’outil manié par des mains ouvrières au service d’une passion aventureuse, comme c’était le cas chez Descartes ou che
79 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — V. Importance de la notion de commune mesure
151 ui est d’ordre géométrique. Tant qu’elle reste au service d’une fin qui comporte une unité vive, la raison remplit son office q
152 e, et dont la mesure actuelle est une tactique au service de la force commune, et non pas de la vérité…
80 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VI. L’Arche de l’Alliance
153 igine et la fin du peuple : l’Éternel Dieu et son service . Parce qu’elle est la loi de Dieu, et que ce Dieu est l’Éternel, la L
81 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
154 ’est celui qui recrée une mesure en se mettant au service de la foi. Luther à Worms et à Augsbourg, voilà le clerc, le fanatiqu
82 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — IX. Tentatives de restauration d’une commune mesure
155 tique de la vie qui obéissent à un but commun, au service duquel s’harmonisent et se confondent les énergies tant spirituelles
83 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
156 dividu. — L’homme ne vaut que par son activité au service du peuple ou du prolétariat, c’est-à-dire, concrètement, au service d
157 ou du prolétariat, c’est-à-dire, concrètement, au service du Parti, qui selon la parole du Führer est « la volonté organisée de
84 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
158 rands desseins, et ordonnant toutes choses à leur service , c’est l’histoire des objets, des langages, des génies ou des organis
159 s de jeunes gens dans les camps de vacances ou de service civil. Mais tout cela n’est encore que prodromes. Les premières grand
85 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
160 de notre rôle, lequel est d’incarner l’esprit au service de la vérité. Je définirai donc mon attitude comme un opportunisme de
86 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
161 igues, les mêmes tactiques, la même démagogie, au service de doctrines qu’ils croient antagonistes. Ils ne voient pas que le st
162 rganisées pour l’offensive et l’agression sont au service d’États qui prétendent tous n’avoir que des buts défensifs. Ainsi le
163 avers de sanglantes erreurs parfois, le secret du service commun dans la cité, secret que nous avait fait perdre un siècle de s
164 unit deux hommes par un lien d’entraide libre, au service d’un même but, et non point par une discipline de marche. La vraie co
87 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
165 ses ; c’est changer de but, et mettre en œuvre au service d’un but nouveau une force intacte, endormie jusqu’ici. Ce n’est pas
88 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — III. Fatalités du rationalisme bourgeois
166 et dans son scepticisme, tant qu’elle les met au service de l’homme, tant qu’elle combat pour un idéal supérieur d’autonomie p
167 le d’une force d’émancipation tant qu’elle met au service d’un idéal à conquérir ses puissances conjuguées de critique et de mi
89 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — IV. Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
168 e d’être l’outil manié par des mains ouvrières au service d’une passion aventureuse, comme c’était le cas chez Descartes ou che
90 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — V. Importance de la notion de commune mesure
169 ui est d’ordre géométrique. Tant qu’elle reste au service d’une fin qui comporte une unité vive, la raison remplit son office q
170 e, et dont la mesure actuelle est une tactique au service de la force commune, et non pas de la vérité…
91 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VI. L’Arche de l’Alliance
171 igine et la fin du peuple : l’Éternel Dieu et son service . Parce qu’elle est la loi de Dieu, et que ce Dieu est l’Éternel, la L
92 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
172 ’est celui qui recrée une mesure en se mettant au service de la foi. Luther à Worms et à Augsbourg, voilà le clerc, le fanatiqu
93 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — IX. Tentatives de restauration d’une commune mesure
173 tique de la vie qui obéissent à un but commun, au service duquel s’harmonisent et se confondent les énergies tant spirituelles
94 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
174 ndividu : L’homme ne vaut que par son activité au service du peuple ou du prolétariat, c’est-à-dire, concrètement, au service d
175 ou du prolétariat, c’est-à-dire, concrètement, au service du Parti, qui selon la parole du Führer est « la volonté organisée de
95 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
176 rands desseins, et ordonnant toutes choses à leur service , c’est l’histoire des objets, des langages, des génies ou des organis
177 s de jeunes gens dans les camps de vacances ou de service civil. Mais tout cela n’est encore que prodromes. Les premières grand
96 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
178 de notre rôle, lequel est d’incarner l’esprit au service de la vérité. Je définirai donc mon attitude comme un opportunisme de
97 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
179 igues, les mêmes tactiques, la même démagogie, au service de doctrines qu’ils croient antagonistes. Ils ne voient pas que le st
180 rganisées pour l’offensive et l’agression sont au service d’États qui prétendent tous n’avoir que des buts défensifs. Ainsi le
181 avers de sanglantes erreurs parfois, le secret du service commun dans la cité, secret que nous avait fait perdre un siècle de s
182 unit deux hommes par un lien d’entraide libre, au service d’un même but, et non point par une discipline de marche. La vraie co
98 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
183 ts de nos vies, tant spirituels que matériels, au service de l’État déifié. Cette situation n’est pas sans rappeler celle de l’
184 masque. Elle entraîne beaucoup de braves gens au service d’une cause présentée comme une valeur de pères de famille. C’est en
99 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
185 ssignée à toute la nation : l’Éternel Dieu et son service . Ainsi l’Arche de l’Alliance nous apparaît comme l’exemple à peu près
100 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
186 revient à celle d’un christianisme qui se met au service de l’humain (j’entends bien de l’humain purifié, « divinisé » par les