1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
1 er à sa fantaisie, même si cela doit m’anéantir. Hoffmann . I (Notes écrites en décembre 1925, au sortir d’une conférence
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
2 aît toute parcourue d’adorables roseurs boréales. Hoffmann n’est pas là, mais bien Dollonne, ce qui revient au même. Une femme f
3 ne qualité de désespoir, je retrouve les contes d’ Hoffmann . Mais il s’agit de les vivre plutôt que d’en parler vous voyez bien q