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dours et qu’on les connaît. » 111. La citation d’
Ibn Dawoud
que vous m’opposez, par exemple, pose un problème délicat. Par contre
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. (Arnaut Daniel.) (De même, le troubadour arabe
Ibn Dawoud
disait : « La soumission à l’aimée est la marque naturelle d’un homme
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force de bien aimer. (Arnaut Daniel.) (De même,
Ibn Dawoud
louait la chasteté pour son pouvoir « d’éterniser le désir ».) C’est
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. (Arnaut Daniel.) (De même, le troubadour arabe
Ibn Dawoud
disait : « La soumission à l’aimée est la marque naturelle d’un homme
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force de bien aimer. (Arnaut Daniel.) (De même,
Ibn Dawoud
louait la chasteté pour son pouvoir « d’éterniser le désir ».) C’est
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. (Arnaut Daniel.) (De même, le troubadour arabe
Ibn Dawoud
disait : « La soumission à l’aimée est la marque naturelle d’un homme
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force de bien aimer. (Arnaut Daniel.) (De même,
Ibn Dawoud
louait la chasteté pour son pouvoir « d’éterniser le désir ».) C’est
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le-ci roule les flots contrastés d’al-Hallâj et d’
Ibn Dawoud
) : tout cela ne vient-il pas de l’Orient, et pour finir représente da
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moyen le plus « raffiné » de l’éterniser. Ainsi,
Ibn Dawoud
: Ah ! non, n’accomplis pas ta promesse de m’aimer de peur que vienn
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e al-Hallaj et le premier des troubadours arabes,
Ibn Dawoud
, vers la fin du IXe siècle. Tous les deux sont les chantres et comme
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l’Amour s’adresse à Dieu (comme à un homme), pour
Ibn Dawoud
, à un jeune homme (comme à un dieu) et le poète au nom de l’orthodoxi
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illaume IX et Robert d’Arbrissel, ou al-Hallaj et
Ibn Dawoud
, où il s’agit bien moins de savoir qui se donne pour champion de quoi