1 utenu et parfois — je pense à certaines pages sur Jérusalem qui touchent particulièrement une sensibilité protestante — si passio

2 ucun système. Le livre se termine par un voyage à Jérusalem  : le christianisme n’est-il pas le plus beau don de l’Orient à l’Euro

3 rselle basée sur l’union des rois, la conquête de Jérusalem et l’expulsion des Turcs. Idées chimériques mais dont l’empire ne ces

4 rselle basée sur l’union des rois, la conquête de Jérusalem et l’expulsion des Turcs. Idées chimériques mais dont l’empire ne ces

5 rselle basée sur l’union des rois, la conquête de Jérusalem et l’expulsion des Turcs. Idées chimériques mais dont l’empire ne ces

6 922, pour parler d’un projet d’université juive à Jérusalem . On m’a donné beaucoup de banquets, j’ai entendu beaucoup de speechs.

7 nnaît. La mort d’un juif obscur, crucifié près de Jérusalem , a fait moins de bruit, en son temps, que la visite de Bartali, coure

8 on la connaît : la mort d’un Juif obscur, près de Jérusalem , a fait moins de bruit, en son temps, que la visite de Bartali, coure

9 ler trois influences décisives : Athènes, Rome et Jérusalem , — une idée raisonnable de l’homme, le droit et les institutions, et

10 n, vous êtes les députés d’Athènes, de Rome et de Jérusalem . Les députés de la conscience la plus inquiète que l’homme ait jamais

11 n, vous êtes les députés d’Athènes, de Rome et de Jérusalem . Les députés de la conscience la plus inquiète que l’homme ait jamais

12 vent être appelés symboliquement Athènes, Rome et Jérusalem . Athènes, c’est la découverte de l’individu, de l’homme distingué du

13 plus sur le sacré, mais sur la loi et le contrat. Jérusalem enfin, c’est la révélation de la personne, c’est-à-dire de la vocatio

14 s de combinaisons et d’analyse, Athènes, Rome, et Jérusalem , cela s’appelle aujourd’hui l’individualisme, le collectivisme et le

15 rique tendant à prouver qu’entre Athènes, Rome et Jérusalem , il y avait, dès le départ, un drame, ou plutôt trois drames entrecro

16 nt instable et créatrice d’Athènes, de Rome et de Jérusalem , n’ait cependant pas présenté certains des caractères les plus marqua

17 , qui ne sont nés ni d’Athènes, ni de Rome, ni de Jérusalem , ni de leurs combinaisons ? Il y a d’abord le temps. Un dialogue pren

18 d’obtenir du Mogol l’or nécessaire pour conquérir Jérusalem . Ce demi-fou sublime, pieux et mégalomane, n’a rien fait de ce qu’il

19 Dialectique. Incarnation, dialectique, ecclesia —  Jérusalem , Athènes, Rome — ces trois mots inconnus de l’Orient, ces trois noms

20 ldingham (vers 1300) placent en leur centre exact Jérusalem . La Méditerranée et ses environs — l’Europe à gauche, l’Afrique à dro

21 substitue l’Europe méditerranéenne au symbole de Jérusalem comme centre du monde ; et la seconde supprime toute apparence de cen

22 ur payer une nouvelle croisade, et ainsi délivrer Jérusalem . Ces motifs religieux ne furent pas seuls en cause dans son projet mé

23 e l’Imago Mundi de Pierre d’Ailly, qui met encore Jérusalem , lieu de la Rédemption, « au milieu de la Terre » ; et du livre apocr

24 Paradis ». L’or était ensuite un moyen de libérer Jérusalem . Enfin, Colón s’imaginait qu’en promettant de ramener des Indes des m

25 cités pavées d’or, sachons qu’il pense à délivrer Jérusalem , qui est pour lui le centre du monde et l’Ithaque de son Odyssée : la

26 le-même, par ses trois sources : Athènes, Rome et Jérusalem , proposée et illustrée par Paul Valéry. Cette définition peut être di

27 , nous autres Européens, d’Athènes, de Rome et de Jérusalem , dans cette mesure qu’Athènes a été l’origine de ce que nous appelons

28 ar nos formes de pensée, d’Athènes, de Rome et de Jérusalem , et derrière ces trois villes illustres, du Proche-Orient sémite, de

29 ar nos formes de pensée, d’Athènes, de Rome et de Jérusalem , et derrière ces trois villes illustres, du Proche-Orient sémite, de

30 il est mauvais », dit Swedenborg dans La Nouvelle Jérusalem . Et dans De Cœlo, il ajoute : « Le corps de chaque esprit et de chaqu

31 5 à 127. 113. Emmanuel Swedenborg : La Nouvelle Jérusalem et sa doctrine céleste, § 86 à 89. 114. C’est à peu près ce que Freu

32 il est mauvais », dit Swedenborg dans La Nouvelle Jérusalem . Et dans De Coelo, il ajoute : « Le corps de chaque esprit et de chaq

33 Cf. supra. 80. Emmanuel Swedenborg, La Nouvelle Jérusalem et sa doctrine céleste, § 86 à 89. 81. C’est à peu près ce que Freud

34 mettra à la tête de la chrétienté et marchera sur Jérusalem par terre, comme le firent Charlemagne et Frédéric Barberousse. Phili

35 r ses trois sources principales, Athènes, Rome et Jérusalem , dont Valéry fera la fortune au xxe siècle. Mais les chefs des nouv

36 onsacrées à l’Éternel (Zach. 14, 20), et à ce que Jérusalem ne soit pas livrée à l’interdit, mais qu’elle soit désormais en sûret

37 de l’Église, telle qu’elle est préfigurée par la Jérusalem merveilleusement édifiée, la seule ville où sont dressés les trônes d

38 alais de Persépolis, ces temples de Balbeck et de Jérusalem  ? Où sont ces flottes de Tyr, ces chantiers d’Arad, ces ateliers de S

39 ’histoire primitive de l’homme, tantôt ils vont à Jérusalem pour faire sortir des ruines saintes une étincelle qui ranime la reli

40 « concile européen » réunissant dans une nouvelle Jérusalem chrétiens et libertaires, réformés et mystiques, pour célébrer le « L

41 ables de l’Europe. Tous les trésors y affluaient, Jérusalem détruite avait pris sa revanche, et Rome elle-même était devenue la J

42 s sa revanche, et Rome elle-même était devenue la Jérusalem nouvelle, le siège sacré du gouvernement divin sur la terre. Des prin

43 sairement, l’âge sacré de la paix éternelle où la Jérusalem nouvelle sera la capitale de l’univers. Jusque-là demeurez calmes et

44 et voyez-les tous prosternés au pied des murs de Jérusalem . Rappelez-vous que, pendant quinze siècles, ils n’ont eu qu’un seul i

45  : l’Antiquité proche-orientale, Athènes, Rome et Jérusalem , les Germains et les Celtes, et enfin les Arabes. On citera simplemen

46 peut à Rome, il y fixe sa capitale et non point à Jérusalem . Il lui emprunte son langage. Un même homme né à Bordeaux peut être c

47 opéenne. Reprenons maintenant ces Trois Sources. Jérusalem d’abord, la plus ancienne. On pourrait croire que les siècles précéde

48 ifficile et jamais achevée d’Athènes, de Rome, de Jérusalem , de traditions germaniques, d’apports arabes et orientaux, de foi rel

49 roi comptait payer l’ultime croisade et délivrer Jérusalem . C’est tout un arrière-plan de foi religieuse, de chances et de malch

50 uvre en métaux, que l’islam occupât Byzance après Jérusalem , barrant la route de l’Asie, que les rois catholiques eussent besoin

51 rces créatrices de l’Occident : la Grèce, Rome et Jérusalem , la magie celte, l’inquiétude hébraïque, la science allemande, l’exal

52 ante, lesquelles nous sont venues d’Athènes et de Jérusalem à travers Rome et son empire, englobant avec les Méditerranéens des G

53 roi comptait payer l’ultime croisade et délivrer Jérusalem . C’est tout un arrière-plan de foi religieuse, de chances et de malch

54 uvre en métaux, que l’islam occupât Byzance après Jérusalem , barrant la route de l’Asie, que les rois catholiques eussent besoin

55 rces créatrices de l’Occident : la Grèce, Rome et Jérusalem , la magie celte, l’inquiétude hébraïque, la science allemande, l’exal

56 nuons. — Égypte, Mésopotamie, Crête, Grèce, Rome, Jérusalem , christianisme, Celtes, Germains, Arabes, Slaves : nous avons tous su

57 t de financer une dernière croisade pour délivrer Jérusalem — motif mystique. Il ne pensait pas du tout découvrir l’Amérique. Il

58 trois sources classiques d’Athènes, de Rome et de Jérusalem , viennent confluer dans le haut Moyen Âge la source germanique et la

59 trois sources classiques d’Athènes, de Rome et de Jérusalem , viennent confluer dans le haut Moyen Âge la source germanique et la

60 is surtout qui ferait oublier qu’Athènes, Rome et Jérusalem nous ont légué autant ou plus d’éléments de tension que d’éléments de

61 histes, ou sans croyance aucune… Athènes, Rome et Jérusalem , la papauté et le Saint-Empire, la Table ronde du roi Arthur et les c

62 nuons. — Égypte, Mésopotamie, Crète, Grèce, Rome, Jérusalem , christianisme, Celtes, Germains, Arabes, Slaves. Nous avons tous sub

63 il y a trois éléments communs, Athènes, Rome, et Jérusalem , qui ont été conjugués pendant les premiers siècles de notre ère. À q

64 es trois courants issus d’Athènes, de Rome, et de Jérusalem  ; son expansion dans le monde entier ; l’exportation pêle-mêle de nos

65 or qui eût permis l’ultime croisade pour délivrer Jérusalem … L’homme primitif crée des outils pour jouer avec les démons cachés d

66 ifficile et jamais achevée d’Athènes, de Rome, de Jérusalem , de traditions germaniques, d’apports arabes et orientaux, de foi rel

67 trois sources classiques d’Athènes, de Rome et de Jérusalem , viennent confluer dans le haut Moyen Âge la source germanique et la

68 n dynamisme. Aux trois sources d’Athènes, Rome et Jérusalem , toujours citées, mais dont on ne dira jamais assez combien les valeu

69 ce que c’était ? « Gé-hinnon », un vallon près de Jérusalem , où l’on jeta les ordures de la ville. C’était la décharge municipale

70 lais de Persépolis, ces temples de Baalbeck et de Jérusalem  ? … Hélas ! je l’ai parcourue, cette terre ravagée ! J’ai visité ces

71 Ponce Pilate ». J’ai vu l’autre jour, au musée de Jérusalem , la stèle portant gravé le nom du procurateur de Judée, assez récemme

72 les trois sources de l’Europe : Athènes, Rome et Jérusalem , ou encore : Aristote, Platon et Euclide, Moïse et saint Paul, César,

73 oires qu’elle a héritées de la Grèce, de Rome, de Jérusalem , des Celtes, des Germains, plus tard des Arabes au Sud et des Slaves

74 des sources aussi diverses que la Grèce, Rome et Jérusalem , le christianisme, le germanisme et le celtisme, s’est formée à parti

75 s de Jésus, la décharge municipale de la ville de Jérusalem , ce ravin désolé de Guei Hinnom « où le feu ne s’éteint jamais », com

76 festivals de l’Europe. Il y a deux ans, c’était à Jérusalem … L’année dernière, Bath, pure merveille d’architecture classique angl

77 t au passage de l’ancienne économie à la Nouvelle Jérusalem , correspondant au passage du « vieil homme » à l’homme régénéré, il e

78 eux et une nouvelle Terre, et descend la nouvelle Jérusalem , la ville sainte où l’on ne voit plus de Temple « car la gloire de Di

79 prévision : seul créateur ! « Si je t’oublie, Jérusalem  ! »113 Prophétiser, c’est agir par des mots sur l’homme, qui agir

80 sure d’ange » (Apoc – 21,17.) C’est la « nouvelle Jérusalem  », la ville sainte gui descend du Ciel « préparée comme une épouse »,

81 e de trois traditions inégales : Athènes, Rome et Jérusalem . Tradition hellénique : la Grèce de Delphes et de Délos, d’Athènes, d

82 des influences combinées d’Athènes, de Rome et de Jérusalem , puis des Germains et puis des Celtes, puis des Arabes par l’Espagne

83 dire « révélation », et révélation de la Nouvelle Jérusalem , d’une cité nouvelle qui sera vraiment humaine et en même temps vraim

84 Avec les trois sources classiques, Athènes, Rome, Jérusalem , viennent confluer dès le haut Moyen Âge la source germanique et la s

85 le voit comme la Géhenne, cette vallée proche de Jérusalem qui servait de décharge municipale, « là où le feu ne s’éteint jamais

86 que symbolisent les noms d’Athènes, de Rome et de Jérusalem , mais aussi des communautés germaniques et du rêve celtique, a formé

87 que symbolisent les noms d’Athènes, de Rome et de Jérusalem , mais aussi des communautés germaniques et du rêve celtique, a formé

88 convergence miraculeuse d’Athènes, de Rome et de Jérusalem révélant une sorte d’idée platonicienne de l’Europe, comme on le répè

89 convergence miraculeuse d’Athènes, de Rome et de Jérusalem révélant une sorte d’idée platonicienne de l’Europe, comme on le répè

90 Cieux », à la « Nouvelle Terre », à la « Nouvelle Jérusalem  » des deux derniers chapitres de l’Apocalypse. Cependant, intervient

91 ent ici une différence fondamentale : la Nouvelle Jérusalem est à la fin des temps, bien plus : sa venue marque la fin des temps,

92 tue. 4. Le passage, le glissement de la Nouvelle Jérusalem post-historique à l’utopie selon Thomas More constitue en fait une sé

93 inspirée du non-lieu transcendant de la Nouvelle Jérusalem , anticipant ainsi sur ce qui doit se révéler et avoir lieu le temps v

94 exécré. Mais l’utopie spirituelle de la Nouvelle Jérusalem (Apoc. ch. III et XXII) est la promesse, acceptée par la foi, de ce q

95 histoire primitive de l’homme ; tantôt ils vont à Jérusalem pour faire sortir des ruines saintes une étincelle qui ranime la reli

96 r de sources au moins diverses : Athènes, Rome et Jérusalem , bien sûr, mais aussi les apports germaniques, celtiques, plus tard a

97 le : Tout ce qui descend d’Athènes, de Rome et de Jérusalem est authentiquement européen. À ces trois sources primitives — et dan

98 uropéen. À ces trois sources primitives — et dans Jérusalem , il y a la source hébraïque et le christianisme —, il faut ajouter le

99 é le lieu de la décharge municipale aux portes de Jérusalem . Gé-Hinnom ou val de Hinnom était en effet le nom de l’une des trois

100 t le nom de l’une des trois vallées qui entourent Jérusalem . En exécration de ce lieu jadis voué au culte de Moloch, le roi Josia

101 iellement, des héritiers d’Athènes, de Rome et de Jérusalem . Dans une conférence donnée à l’Université de Zurich en 1922, il disa

102 Avec les trois sources classiques, Athènes, Rome, Jérusalem , viennent confluer dès le haut Moyen Âge la source germanique et la s

103 fondément les influences de Rome, d’Athènes et de Jérusalem . » Ce qui voulait dire : institutions de l’Empire romain, philosophie

104 éen tout ce qui a été marqué par Athènes, Rome et Jérusalem . On cite toujours ces trois premières sources de la culture commune d

105 l’unité culturelle des Européens — Athènes, Rome, Jérusalem , bien sûr, mais aussi les Germains et les Celtes, qui ont recouvert l

106 e de la triple influence d’Athènes, de Rome et de Jérusalem . Je regrette que nous n’ayons pas eu l’occasion de souligner assez fo

107 ou formé par ces trois sources : Athènes, Rome et Jérusalem , autrement dit, la philosophie grecque, les institutions romaines, et

108 ond incompatible avec Athènes et encore plus avec Jérusalem . Mais ce n’est pas tout. Il y a en plus des trois sources selon Valér

109 communes qui nous viennent de Rome, d’Athènes, de Jérusalem , de la Germanie, des Celtes et plus tard des Arabes, et à partir du x

110 siques de la culture européenne, Athènes, Rome et Jérusalem , viennent confluer dans le haut Moyen Âge la source germanique et la

111 on européenne. Aux apports d’Athènes, de Rome, de Jérusalem soulignés par Paul Valéry, Denis de Rougemont ajoute ceux des Celtes

112 en » tout ce qui a été formé par Athènes, Rome et Jérusalem . À ces trois sources, s’ajoutent la source celte (d’où viennent les r

113 nces entre les valeurs qui viennent d’Athènes, de Jérusalem , de la grande plaine du Nord, car elles sont partiellement contradict

114 moment où les trois traditions — Athènes, Rome et Jérusalem — se sont confondues dans un même grand débat qui a produit, comme un