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t d’usage courant à la chancellerie royale. 30.
J. Burckhardt
, La Renaissance, t. I, p. 286. 31. Ibid., p. 284. 32. Calvin, Tra
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t d’usage courant à la chancellerie royale. 31.
J. Burckhardt
, La Renaissance, t. I, p. 286. 32. Ibid., I, 284. 33. Calvin, Tra
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ence, Raphaël ou la puissance de l’esprit. 175.
J. Burckhardt
, Die Kultur der Renaissance, VI, p. 1. 176. Il est juste toutefois d
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Auden, Paulhan, Saint-John Perse, Keyserling, C.
J. Burckhardt
. La France l’ignore encore, malgré trois traductions78 qui suffiraien
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Auden, Paulhan, Saint-John Perse, Keyserling, C.
J. Burckhardt
. La France l’ignore encore, malgré trois traductions80 qui suffiraien
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ise comme membre de la Communauté chrétienne. C.
J. Burckhardt
compare, en conclusion, le Dessein de Sully et les autres projets eur
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loyales de Maximilien de Béthune…, etc. 94. C.
J. Burckhardt
: Vier historische Betrachtungen, Manesse Verlag, Zürich, 1953, p. 25
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chen Völker, Leipzig, 1824, XXX, IX et IX. 225.
J. Burckhardt
: Historische Fragmente, édités par W. Kägi, Bâle, 1942. Fragment 190
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datées de 1919), Gallimard, Paris, 1924. 270. C.
J. Burckhardt
, Hugo von Hofmannsthal : Briefwechsel, Frankfurt, 1956. Trad. franç.
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utres méthodes l’ont bel et bien prévu. Dès 1885,
J. Burckhardt
annonce le temps des « terribles simplificateurs » et décrit d’une ma
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le des « terribles simplificateurs » dont parlait
J. Burckhardt
, celle des dictatures totalitaires du xxe siècle. L’Europe créatrice
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let 1939, au plus fort de la crise de Dantzig, C.
J. Burckhardt
, haut-commissaire de la SDN, est reçu en audience par le Führer : il
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uisqu’on écrit des choses pareilles sur moi. » C.
J. Burckhardt
lui demandant pourquoi il attache tant d’importance aux propos d’une
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Nous autres tard venus de l’humanité » s’exclame
J. Burckhardt
au moment même — relève l’auteur — « où Verlaine et les poètes du mou
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uin 1939, au plus fort de la crise de Dantzig, C.
J. Burckhardt
, haut-commissaire de la SDN à Dantzig, est reçu en audience par le Fü
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uisqu’on écrit des choses pareilles sur moi. » C.
J. Burckhardt
lui demande pourquoi il attache tant d’importance aux propos d’une fe