1 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
1 Jean Cassou , La Clef des songes (août 1929)az Après cet austère Pays qui n’est
2 e assez troublant et qu’on a trop peu remarqué —, Jean Cassou revient à son romantisme, à notre cher romantisme. La Clef des songes
3 , où l’Éloge de la folie nous entraînait naguère. Jean Cassou vagabonde à travers ses histoires comme son Pierangelo dans la vie. L
4 un cas désespéré. Mais voici déjà dans l’œuvre de Jean Cassou , et singulièrement dans ce livre, beaucoup de ces petites merveilles
5 ésie. az. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Jean Cassou , La Clef des songes  », Bibliothèque universelle et Revue de Genève,
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
6 e pas sans un secret tremblement. Nous embarquons Jean Cassou , et le fantôme se fait aussi négligeable que possible, pratiquement i
7 emme fatale et un grand incompris sont là. Enfin, Jean Cassou , représentant Mgr le marquis de Carabas, absent de Paris, est là. Si
3 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
8 Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)b Quelque chose d’espagnol dans la démarche ; un to
9 et n’a que faire de nos tendresses. Les sujets de Jean Cassou sont très particuliers — jusqu’à l’arbitraire parfois —, ce dont on h
10 quelque chose de déconcertant. Il semble bien que Jean Cassou trouve ici sa forme la plus personnelle et persuasive. Son espagnolis
11 opose. b. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Jean Cassou , Sarah  », La Nouvelle Revue française, Paris, novembre 1931, p. 804-
4 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
12 e pas sans un secret tremblement. Nous embarquons Jean Cassou , et le fantôme se fait aussi négligeable que possible, pratiquement i
13 femme fatale et un grand incompris sont là. Enfin Jean Cassou , représentant Mgr le marquis de Carabas, absent de Paris, est là. Peu