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Jean Cassou
, La Clef des songes (août 1929)az Après cet austère Pays qui n’est
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e assez troublant et qu’on a trop peu remarqué —,
Jean Cassou
revient à son romantisme, à notre cher romantisme. La Clef des songes
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, où l’Éloge de la folie nous entraînait naguère.
Jean Cassou
vagabonde à travers ses histoires comme son Pierangelo dans la vie. L
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un cas désespéré. Mais voici déjà dans l’œuvre de
Jean Cassou
, et singulièrement dans ce livre, beaucoup de ces petites merveilles
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ésie. az. Rougemont Denis de, « [Compte rendu]
Jean Cassou
, La Clef des songes », Bibliothèque universelle et Revue de Genève,
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e pas sans un secret tremblement. Nous embarquons
Jean Cassou
, et le fantôme se fait aussi négligeable que possible, pratiquement i
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emme fatale et un grand incompris sont là. Enfin,
Jean Cassou
, représentant Mgr le marquis de Carabas, absent de Paris, est là. Si
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Sarah, par
Jean Cassou
(novembre 1931)b Quelque chose d’espagnol dans la démarche ; un to
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et n’a que faire de nos tendresses. Les sujets de
Jean Cassou
sont très particuliers — jusqu’à l’arbitraire parfois —, ce dont on h
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quelque chose de déconcertant. Il semble bien que
Jean Cassou
trouve ici sa forme la plus personnelle et persuasive. Son espagnolis
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opose. b. Rougemont Denis de, « [Compte rendu]
Jean Cassou
, Sarah », La Nouvelle Revue française, Paris, novembre 1931, p. 804-
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e pas sans un secret tremblement. Nous embarquons
Jean Cassou
, et le fantôme se fait aussi négligeable que possible, pratiquement i
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femme fatale et un grand incompris sont là. Enfin
Jean Cassou
, représentant Mgr le marquis de Carabas, absent de Paris, est là. Peu