1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
1 cole qu’on nomme déjà « l’école de Genève », dont Jean Starobinski porte au loin le prestige. La Suisse alémanique, plus engagée, nous d
2 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
2 ernationales de Genève — aujourd’hui dirigées par Jean Starobinski , brillant initiateur de la nouvelle critique. Sens de la coopération
3 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
3 ruon, Ernest Ansermet, Campagnolo36, Jean Wahl et Jean Starobinski . Il s’agit de la première confrontation des intellectuels et de l’Eur
4 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
4 ron, Maurice Druon, Ernest Ansermet, Jean Wahl et Jean Starobinski . Il s’agit de la première confrontation des intellectuels et de l’Eur
5 1985, Articles divers (1982-1985). Éloge de Jean Starobinski (1985)
5 Éloge de Jean Starobinski (1985)ak Quand mes collègues jurés du Prix européen de l’essai m’o
6 nt d’égards. Je m’explique par quelques exemples. Jean Starobinski , ou si vous le permettez, « Staro », comme on l’appelle dans toute l’
7 On n’a pas mieux écrit en prose dans ce pays. Et Jean Starobinski est certainement le critique le plus littéraire de notre temps, dès l
8 ntaigne : c’est le meilleur portrait à ce jour de Jean Starobinski . Après ce livre, je ne serais pas trop surpris de le voir céder — s’e
9 ef-d’œuvre. ak. Rougemont Denis de, « Éloge de Jean Starobinski  », Jean Starobinski, Bussigny, Fondation Charles Veillon, 1985, p. 5-
10 ougemont Denis de, « Éloge de Jean Starobinski », Jean Starobinski , Bussigny, Fondation Charles Veillon, 1985, p. 5-10.