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che et le christianisme, traduction française par
Jeanne Hersch
, Éditions de Minuit, Paris, 1949. Voir aussi mon Aventure occidental
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ue je suis d’accord avec presque tout ce qu’a dit
Jeanne Hersch
hier soir. Il aurait peut-être mieux valu commencer par une provocati
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n de ce siècle. S’agissant de définir le pouvoir,
Jeanne Hersch
n’a pas prétendu faire beaucoup plus que tous les auteurs, qui ont es
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e choses dans la définition du pouvoir. En somme,
Jeanne Hersch
a fait un peu comme cet homme politique français qui, quand on lui de
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pouvoir. Le nœud du problème traité hier soir par
Jeanne Hersch
c’est, peut-être, ce sentiment d’impuissance que nous avons devant le
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érieur contraignant et, de plus en plus, absolu ?
Jeanne Hersch
nous a hier soir indiqué une voie : opposer à ce pouvoir d’autres pou
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Je pense que cette formule rejoint les thèses de
Jeanne Hersch
, hier soir, notamment sur l’omniprésence du pouvoir, le fait que le p
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ant aux remerciements et demande de précisions de
Jeanne Hersch
:] Il n’y a pas vraiment d’opposition entre ce que vous avez dit plus
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enciers ; et parmi leurs interlocuteurs désignés,
Jeanne Hersch
, François Bondy, Merleau-Ponty, Robert Aron, Maurice Druon, Ernest An
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enciers ; et parmi leurs interlocuteurs désignés,
Jeanne Hersch
, François Bondy, Merleau-Ponty, Robert Aron, Maurice Druon, Ernest An