1 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
1 ns). D’autres s’exilent dans un métier d’errants ( Joseph Conrad , Claudel et Saint-John Perse). Et beaucoup se sont vus exilés par le
2 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
2 s’y trouvent à l’aide d’un livre de souvenirs sur Joseph Conrad (qu’il avait publié à Londres en 1941) et grâce aux précisions qu’à b
3 deux de ses grands amis des années qui suivront : Joseph Conrad et Sir Stafford Cripps. (C’est d’ailleurs par Retinger que Gide et La
4 lleurs par Retinger que Gide et Larbaud ont connu Joseph Conrad .) En 1908, à 20 ans, il passe en Sorbonne une thèse de doctorat sur L
5 guerre de 1914 va rendre possible. Amitié avec Joseph Conrad Au cours de ces mêmes années, Retinger s’était lié intimement avec
6 êmes années, Retinger s’était lié intimement avec Joseph Conrad , qu’il avait rencontré dès 1909. Originaire lui aussi de Cracovie, où
7 mandée par Pilsudski. Dans ses conversations avec Joseph Conrad , Retinger a souvent évoqué le rêve d’une Pologne autonome qui se join
8 a où il trouverait de belles femmes nues, et seul Joseph Conrad lui fit tenir quelque argent. Comme il souffrait d’insomnies et d’une
9 plage, tant ils étaient pleins de coquilles ! » ( Joseph Conrad , p. 37). 50. Ces initiales mystérieuses désignaient le Special Opera
3 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
10 a Station, où il avait jadis coutume de retrouver Joseph Conrad . Nous convînmes que je ne quitterais Londres que par l’avion du lende