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faire comme si » leur vie se justifiait en soi.
Joseph K.
, fondé de pouvoir dans une banque, se voit arrêté un beau matin par d
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acher la clé. Le Procès n’est nullement un conte.
Joseph K.
pose toutes les questions que le lecteur raisonnable posera. Il prote
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pense et qui vit dans la suspension du jugement.
Joseph K.
a vu le monde avant d’agir, et demeure prisonnier de cette vision, qu
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tude du pardon que peut seule nous donner la foi.
Joseph K.
reste donc enfermé dans le cercle mortel de la Loi. Il reconnaît, en