1 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
1 re à subir le règne de l’opinion bourgeoise, dont Léon Bloy , le premier, dénonça l’essentielle férocité. Et l’on sait quelle forc
2 1932, Esprit, articles (1932–1962). À l’index (Première liste) : Candide (octobre 1932)
2 arice ou de cette férocité spéciales décrites par Léon Bloy . Joli monde, comme disent les échotiers. Remercions Candide d’avoir p
3 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
3 , animal visqueux et féroce dont il me semble que Léon Bloy a donné la description la plus exacte. (Il faudrait être Bloy pour mo
4 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
4 che à nous qui sommes oppressés. (Qui donc, sauf Léon Bloy , fait écho à ce style, en notre siècle ?) Mais Casaubon, bien moins v
5 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
5 ute la grande presse en a parlé. Personne ne rit. Léon Bloy rugit dans sa tombe. 3 février 1935 Déclassé. — L’intellectuel l’est
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
6 ime de l’individualisme rationalo-bourgeois. Voir Léon Bloy (Exégèse des lieux communs). Je pense que la pureté dont parlent les
7 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
7 ute la grande presse en a parlé. Personne ne rit. Léon Bloy rugit dans sa tombe. 28 janvier 1935 Matinée d’hiver au Midi. E
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
8 ute la grande presse en a parlé. Personne ne rit. Léon Bloy rugit dans sa tombe. 28 janvier 1935 Matinée d’hiver au Midi.