1 étés américains, dans les demeures trop vastes de Lake George , nommé jadis lac du Saint-Sacrement « pour la pureté lustrale de ses

2 Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)j Lake George (USA) Le clapotis doux d’une pagaie trahit seul le glissement d’un c

3 eté lustrale de ses eaux, se nomme aujourd’hui le Lake George et fut le Horicon de Fenimore Cooper, le lieu des aventures et de la

4 ILa nouvelle Lake George (N. Y.), le 8 août 1945. Je vous écris des bords d’un lac où vit enco

5 IILa guerre est morte Lake George (N. Y.), le 12 août 1945. On nous parle d’armistice depuis hier. Est-

6 I La nouvelle Lake George (N. Y.), le 8 août 1945. Je vous écris des bords d’un lac où vit enco

7 II La guerre est morte Lake George (N. Y.), le 12 août 1945. On nous parle d’armistice depuis hier. Est-

8 ra lutté en vain que si elle cesse de lutter. Lake George , fin juin 1945 Le dernier des Mohicans. — Le clapotis doux d’une

9 eté lustrale de ses eaux, se nomme aujourd’hui le Lake George et fut le Horicon de Fenimore Cooper, le lieu des aventures et de la

10 ra lutté en vain que si elle cesse de lutter. Lake George , fin juin 1945 Le dernier des Mohicans. — Le clapotis doux d’une

11 eté lustrale de ses eaux, se nomme aujourd’hui le Lake George et fut le Horicon de Fenimore Cooper, le lieu des aventures et de la

12 se d’elle-même, et qu’elle s’efforce d’imiter. Lake George , 3 août 1945 La maison qui ne paraît pas grande de l’extérieur, qu

13 étés américains, dans les demeures trop vastes du Lake George , nommé jadis lac du Saint-Sacrement « pour la pureté lustrale de ses

14 étés américains, dans les demeures trop vastes du Lake George , nommé jadis lac du Saint Sacrement « pour la pureté lustrale de ses

15 Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)bl Lake George (N. Y.), 3 août 1945. La maison qui ne paraît pas grande de l’extérie