1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 ’appellent : collège, guerre, sport… la Relève du Matin , le Songe, les Olympiques. Et voici le Chant funèbre, adieu à la guer
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
2 êlés et déchirants des saxophones. Sortie dans un matin sourd, frileux, qui avait la nausée. Je rentrai seul. Voici quelques
3 ouver ma rue. Il doit être maintenant 5 heures du matin . Premiers appels d’autos dans la ville, mais il me semble que toutes
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
4 phrases d’un fascinant éclat : « Ô grand Rêve, au matin pâle des édifices, ne quitte plus, attiré par les premiers sophismes
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
5 ste baisa cette main cruelle… et quitta le bal au matin . Il neigeait dans les rues sourdes comme un songe de son enfance. Aux
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
6 aham qui interdit à Paterne son neveu de fumer le matin , de sortir la nuit, et qui lui fait jurer sur la Bible de ne pas entr
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
7 e se contemple au miroir de son monocle. Au petit matin , il se noie dans un verre à liqueur. Poisson dans l’eau, plumes dans
7 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
8 issements” entre 10 heures du soir et 4 heures du matin , moyennant tant de schillings, dans un décor banal et imposé, avec de
9 x étaient baissés. Déjà on criait les journaux du matin , des triporteurs passèrent à toute vitesse, m’éclaboussant de neige e
8 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
10 méditations éléates. Le sommeil l’en délivre. Au matin il court se voir : il est laid. Lâchement il se prend en pitié. Ces s
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
11 achette, odeurs de peaux, comme dans un rêve, des matins de dimanche sonores et tout propres, la cuiller d’huile de foie de mo
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
12 iserait plusieurs semestres de travail. Si chaque matin l’enfant parvenait à mettre sa pensée au garde-à-vous durant quelques
11 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)
13   Tu pleurerais Mais la grâce est facile comme un matin d’été la grâce tendrement dénouée de ta vie comme de cette nuit le jo
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
14 achette, odeurs de peaux, comme dans un rêve, des matins de dimanche sonores et tout propres, la cuiller d’huile de foie de mo
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
15 iserait plusieurs semestres de travail. Si chaque matin l’enfant parvenait à mettre sa pensée au garde-à-vous durant quelques
14 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
16 Japon pour accueillir du premier regard, dans un matin plein de mouettes — « Un beau bruit d’ailes me fait un ciel » — la va
15 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
17 e tu pleurerais mais la grâce est facile comme un matin d’été la grâce tendrement dénouée de ta vie comme de cette nuit le jo
16 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
18 e le réel de mystère. Montant au Rozsadomb par ce matin brûlant, je savais bien que j’obéissais à ce que nos psychologues app
17 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
19 t sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et leur musique seule s’en souvient. Trésor si pur qu’on n
18 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
20 ille, le colporteur biblique, qui s’avance dès le matin à travers le pays, et offre à tous la Parole, « ayant l’aspect d’une
19 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
21 ssements » entre 10 heures du soir et 4 heures du matin , moyennant tant de schilling, dans un décor banal et imposé, avec des
22 taient baissés. Déjà on criait les journaux du matin , des triporteurs passèrent à toute vitesse, m’éclaboussant de neige e
20 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
23 e le réel de mystère. Montant au Rozsadomb par ce matin brûlant, je savais bien que j’obéissais à ce que nos psychologues app
24 t sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et leur musique seule s’en souvient. Trésor si pur qu’on n
21 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
25 ts du « livre de sa vie », dont il compose chaque matin deux pages à la machine. Il y juge du monde en général, de la religio
26 es, sur ses terrasses étroites, déjà brûlantes au matin , dominant la ville, ses bruits de chars, ses cris d’enfants. Je trave
22 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
27 du soleil derrière nous décroissant, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une odeur fine de benzine traverse les odeurs de la
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
28 e le réel de mystère. Montant au Rozsadomb par ce matin brûlant, je savais bien que j’obéissais à ce que nos psychologues app
29 t sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et leur musique seule s’en souvient. Trésor si pur qu’on n
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
30 du soleil derrière nous décroissant, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une odeur fine de benzine traverse les odeurs de la
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
31 ts du « livre de sa vie », dont il compose chaque matin deux pages à la machine. Il y juge du monde en général, de la religio
32 es, sur ses terrasses étroites, déjà brûlantes au matin , dominant la ville, ses bruits de chars, ses cris d’enfants. Je trave
33 dise… Sur mon assiette de petit déjeuner, demain matin , il y a une grande enveloppe jaune, une enveloppe bleu clair, et une
34 e plus, donc rien d’utilisable éventuellement. Ce matin , en trouvant les trois lettres sur mon assiette, j’ai dit : « C’est b
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
35 highballs. Je rentre et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses, moments les plus aigus de la vie, au jour qu
36 , de faux désastre et d’appel commercial, dans le matin strident de l’East River. Un quadrimoteur argenté passait très haut e
37 La force était chanson fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autres… (Quand ta force devient visibl
38 s de Paris. Dans quel silence, à quatre heures du matin . Trouverons-nous quelques chambres pour le reste de la nuit ? Deux je
39 ernative. Et personne ne peut deviner si c’est le matin ou la nuit qui approche. Mais chacun peut à chaque instant choisir, e
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
40 ranger. Comment, moi si frileux, n’éprouvai-je ce matin que bien-être, assis sur ce banc par cinq degrés à peine au-dessus du
28 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
41 e pouvoir dans une banque, se voit arrêté un beau matin par deux inspecteurs. Ces messieurs lui apprennent qu’il est inculpé,
29 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
42 ne te tuera pas plus que si tu étais cadavre”. Au matin j’avais le regard si perdu et la contenance si morte, que ceux que j’
30 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
43 oyens ? Les discussions seront introduites chaque matin par l’exposé des principales tendances qui s’affirment dans l’Europe
31 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
44 is-tu de la nuit ? — La sentinelle a répondu : Le matin vient, et la nuit aussi ! Si vous voulez interroger, interrogez ; con
32 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
45 . Et sur toutes les places de la ville, depuis le matin , et dans 45 salles où les formations d’assaut avaient leur « appel gé
46 re une rumeur d’océan au-dehors. Le journal de ce matin écrit : « Lorsque le Führer s’écria : Je ne puis vivre que si ma foi
33 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
47 ille, le colporteur biblique, qui s’avance dès le matin à travers le pays, et offre à tous la Parole « ayant l’aspect d’une b
34 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
48 onheur… 22 septembre 1934. À… (Gard) Arrivés hier matin , par Nîmes. Déjà je ne sais plus ce que j’attendais, ni ce que j’ai p
49 gé la mère Calixte pour donner un coup de main le matin et faire les lessives. C’est une toute petite vieille noueuse, à la s
50 , les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin , les hommes y vont boire leur pastis. Si l’on va au culte, il faut dé
51 lérical — la conférence est à 10 heures, dimanche matin … — et les oligarchies réactionnaires ! Ô liberté, égalité, fraternité
52 nous faire soupçonner cette présence à côté. Hier matin , la mère Calixte arrive tout agitée : « Madame se meurt ! s’écrie-t-e
35 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
53 le vent. Voici trois jours que je le vois chaque matin . Quand je l’appelle, il donne quelques coups de tête furtifs, et se d
54 rminé hier soir la rédaction de ma conférence. Ce matin le pigeon n’est pas revenu. C’est évidemment absurde, cette histoire.
55 s. Avec des cris et des râles presque humains. Ce matin , j’ai trouvé des traces de sang sur le seuil de la remise. Un beau so
56 ous faire soupçonner cette présence, à côté. Hier matin , la mère Calixte arrive tout agitée : Madame se meurt ! s’écrie-t-ell
57 ilà brouillé avec Simard. Après l’algarade d’hier matin , je ne me sentais pas le cœur à lui jouer une comédie de sympathie, d
58 ompais. C’est la mère Calixte qui me l’apprend ce matin . Le ménage Simard est furieux. Nous n’avons pas du tout fait ce qu’il
36 1937, Esprit, articles (1932–1962). Marius Richard, Le Procès (juin 1937)
59 it si bien si l’on pouvait, chaque soir et chaque matin , écrire dans les journaux qui s’impriment quelques heures plus tard,
37 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
60 somme de 67 fr. 25 restant due sur l’envoi de ce matin . En effet, Pédenaud qui a voulu en avoir le cœur net, a pris des inst
61 qui souffle jusqu’au milieu de la chambre. Chaque matin , au saut du lit, je vais scier et fendre une grande bûche dans le cha
62 imprégnée d’une odeur de laurier et de fumée. Ce matin déjà il a fallu casser une couche de glace sur l’eau du puits. J’ai l
63 ntend rire des enfants. J’ai rencontré le curé ce matin , suivi comme d’habitude d’une bande de petits garçons. Il n’a pas rép
64 y a un an, m’en renvoie 100 par le courrier de ce matin . « Vous devez être bien content, me dit la factrice pendant que je si
65 eux ouvrages traitant de mon île, j’ai déniché ce matin une édition populaire de La Naissance du jour, de Colette. Je n’avais
66 elle un trait de lumière. Lundi dernier, au petit matin , nous nous sommes réveillés couverts de puces. J’exagère à peine : po
67 e janvier. J’attends encore le courrier de demain matin pour prendre une décision. 23 décembre 1933 J’écris ceci sur u
68 ma tentative, dans un mois. Nous sommes partis ce matin à 5 heures, par l’autobus, ou « hustubuse » comme l’appellent les vie
69 de juillet, l’anniversaire de ma défunte mère. Le matin , je me dis : qu’est-ce qu’on va manger ce jour ? Je n’avais pas grand
70 s mangent et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avaient pris la chèvre. Des hommes mariés de 30 et
71 asthénique. Et voilà qu’hier, elle a pondu. Et ce matin de nouveau. De très gros œufs, me semble-t-il. (Où va se loger la van
72 tesse ! 5 juin 1934 Le jardin à 7 heures du matin . Chaque jour, nous le découvrons ! Touffu, feuillu et odorant, plein
73 e nous sommes dans l’île. Je n’étais pas fier. Ce matin , nous avons décidé de réagir. Quand une auto risque de rater le tourn
38 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
74 22 septembre 1934. A… (Gard) Arrivés hier matin , par Nîmes. Déjà je ne sais plus ce que j’attendais, ni ce que j’ai p
75 gé la mère Calixte pour donner un coup de main le matin et faire les lessives. C’est une toute petite vieille noueuse, à la s
76 pour les bricolages habituels dans la maison. Ce matin quelqu’un sonne. Un grand jeune homme crépu se présente : il est étud
77 , les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin , les hommes y vont boire leur pastis. Si l’on va au culte, il faut dé
78 935 Deux conférences à Montpellier, hier et ce matin . Des étudiants, des professeurs. Beaucoup de discussions dans de peti
79 le vent. Voici trois jours que je le vois chaque matin . Quand je l’appelle, il donne quelques coups de tête furtifs, et se d
80 rminé hier soir la rédaction de ma conférence. Ce matin le pigeon n’est pas revenu. C’est évidemment absurde, cette histoire.
81 lérical — la conférence est à 10 heures, dimanche matin … — et les oligarchies réactionnaires ! Ô Liberté, Égalité, Fraternité
82 s. Avec des cris et des râles presque humains. Ce matin , j’ai trouvé des traces de sang sur le seuil de la remise. Un beau so
83 ous faire soupçonner cette présence, à côté. Hier matin , la mère Calixte arrive tout agitée : Madame se meurt ! s’écrie-t-ell
84 onc brouillé avec Simard. Après l’algarade d’hier matin , je ne me sentais pas le cœur à lui jouer une comédie de sympathie, d
85 ompais. C’est la mère Calixte qui me l’apprend ce matin . Le ménage Simard est furieux. Nous n’avons pas du tout fait ce qu’il
39 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
86 dée s’en était allée (Je ne l’ai retrouvée que ce matin ). Mais je venais de voir, le temps d’une lancée névralgique, l’inutil
40 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
87 end rire des enfants. — J’ai rencontré le curé ce matin , suivi comme d’habitude d’une bande de petits garçons. Il n’a pas rép
88 eux ouvrages traitant de mon île, j’ai déniché ce matin une édition populaire de La Naissance du jour, de Colette. Je n’avais
89 elle un trait de lumière. Lundi dernier, au petit matin , nous nous sommes réveillés couverts de puces. J’exagère à peine : po
41 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
90 me de francs 67,25, restant due sur l’envoi de ce matin . En effet, Pédenaud qui a voulu en avoir le cœur net, a pris des inst
91 asthénique. Et voilà qu’hier, elle a pondu. Et ce matin de nouveau. De très gros œufs, me semble-t-il. (Où va se loger la van
92 Autres ressources : néant. Reste : 90 francs. Ce matin , nous avons décidé de réagir. Quand une auto risque de rater le tourn
42 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
93 somme de Fr. 67.25 restant due sur l’envoi de ce matin . En effet, Pédenaud, qui a voulu en avoir le cœur net, a pris des ins
94 eux ouvrages traitant de mon île, j’ai déniché ce matin une édition populaire de La Naissance du jour, de Colette. Je n’avais
95 elle un trait de lumière. Lundi dernier, au petit matin , nous nous sommes réveillés couverts de puces. J’exagère à peine : po
43 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
96 assurés, comme le dit Cingria, de trouver chaque matin sur leur table un gros bol de café au lait. Qu’on m’entende bien : no
44 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
97 de juillet, l’anniversaire de ma défunte mère. Le matin je me dis : qu’est-ce qu’on va manger, ce jour ? Je n’avais pas grand
98 s mangent et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avaient pris la chèvre. Je n’imagine pas de quest
45 1938, Tapuscrits divers (1936-1947). L’esprit totalitaire et les devoirs de la personne (mai 1938)
99 raiment écrasante de faire lever le soleil chaque matin , et de favoriser les naissances. Il est vrai que ces poètes sont du M
46 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
100 lons du travail et notre tasse de café au lait le matin . Qu’on nous donne ça, Hitler ou un autre, ça suffira. La politique n’
101 thalle — tout un peuple campe alentour, depuis le matin — et je ne puis franchir les portes qu’à 5 heures 10. Comment fait-on
47 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
102 marques de la révolution. Et certes, en ce petit matin de gare, à Saarbrücken, c’est le « Heil’ler » tout machinal (le Heil
103 à Paris… 11 novembre 1935 Rencontre. — Ce matin , j’ai ressenti pour la première fois quelque chose de tragique dans l
104 lons du travail et notre tasse de café au lait le matin . Qu’on nous donne ça, Hitler ou un autre, ça suffira. La politique n’
105 ’idée qu’il y avait erreur, je l’ai fait venir ce matin . — Il ne s’agit pas d’une erreur, me dit-il, c’est exactement ce que
106 je dois aller le retirer au bureau de douane. Ce matin , il s’agissait de l’innocente biographie d’une femme de bien… — Est-c
107 ation du Reichstag pour demain ! » Onze heures du matin . J’entends la radio à l’étage supérieur, sans comprendre. Ce doit êtr
108 e hier par toute la ville. Il est trois heures du matin  : j’ai été réveillé par son roulement proche, et je l’entends encore
109 thalle — tout un peuple campe alentour, depuis le matin  — et je ne puis franchir les portes qu’à 5 heures 10. Comment fait-on
110 ous ensemble. 12 mars 1936 Le journal de ce matin écrit : « Lorsque le Führer s’écria : Je ne puis vivre que si ma foi
48 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
111 is-tu de la nuit ? — La sentinelle a répondu : le matin vient et la nuit aussi ! Si vous voulez interroger, interrogez ! Conv
49 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
112 nce, et le Prince, rendu à son règne sévère : Ce matin nous apporte une paix assombrie… Séparons-nous pour nous entretenir e
113 nes à la Nuit, où l’Éros ténébreux supplie que le matin ne renaisse plus (thème des « aubes ») : Que ton feu spirituel dévor
114 t représenter les quatre saisons de l’esprit : le matin , qui est l’éclairage illimité de l’univers ; le jour, forme illimitée
50 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
115 « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)e Le désarroi de l’époque —
116 Séir : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? — Le matin vient, et la nuit aussi ! » C’est toujours le même drame que nous viv
117 choses la double possibilité qu’elles offrent, le matin et la nuit qui viennent, et qui ne cesseront de venir jusqu’au Jour é
118 nt nous vivrons ! e. Rougemont Denis de, « ‟Le matin vient et la nuit aussi” », Le Figaro, Paris, 7 juin 1939, p. 1 et 3.
51 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
119 e Nous dit : Courage, ô peuple, reste uni ! Le matin vient ! Le matin vient ! Chœur céleste. Le matin vient ! Et la n
120 age, ô peuple, reste uni ! Le matin vient ! Le matin vient ! Chœur céleste. Le matin vient ! Et la nuit aussi ! (Que
121 n vient ! Le matin vient ! Chœur céleste. Le matin vient ! Et la nuit aussi ! (Quelques mesures d’orchestre.) Le r
52 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
122 doux qui vous transpercent comme un petit vent du matin sur l’alpage. 1er valet. —  Moi, je dis qu’on n’est pas des saints
123 fond de la scène.) Chœur céleste4. Étoile du matin , promesse du vrai jour, En ta clarté sois notre éveil toujours ! Surg
124 tinelle que dis-tu de la nuit ? Nicolas. —  Le matin vient, et la nuit aussi. Demi-chœur (de droite). —  Le matin vient
125 t la nuit aussi. Demi-chœur (de droite). —  Le matin vient ! Demi-chœur (de gauche). —  Et la nuit aussi ! Récitatif
126 ô… sentinelle, guetteur aux yeux fermés ! Dès le matin clair et serein, au cœur secret de la lumière d’un beau jour, tu le s
53 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
127 parle par nos voix. De ta vie le grand mystère Au matin s’éclaircira. Pour ton peuple, ta patrie, Sacrifie ton salut ! En J
54 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
128 n a les pieds dans la boue, vers quatre heures du matin , après l’alarme. La plupart des hommes le ressentent, presque aucun n
129 s et de gamelles entrechoquées. Et, plus tard, au matin , quand l’attaque se prépare, un « à terre » prolongé à la lisière d’u
55 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
130 isible. Je ne saurai jamais si j’ai rêvé. Mais au matin , oui, c’était bien Paris, et les sirènes d’une fin d’alerte. ⁂ Imagin
56 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
131 miracle du don de la paix, toujours immérité… Au matin , la pièce était faite. Non pas écrite, bien entendu, mais tout entièr
57 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
132 nce, et le Prince, rendu à son règne sévère : Ce matin nous apporte une paix assombrie… Séparons-nous pour nous entretenir e
133 nes à la Nuit, où l’Éros ténébreux supplie que le matin ne renaisse plus (thème des « aubes ») : Que ton feu spirituel dévor
134 t représenter les quatre saisons de l’esprit : le matin , qui est l’éclairage illimité de l’univers ; le jour, forme illimitée
58 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
135 nce, et le Prince, rendu à son règne sévère : Ce matin nous apporte une paix assombrie… Séparons-nous pour nous entretenir e
136 nes à la Nuit, où l’Éros ténébreux supplie que le matin ne renaisse plus (thème des « aubes ») : Que ton feu spirituel dévor
137 t représenter les quatre saisons de l’esprit : le matin , qui est l’éclairage illimité de l’univers ; le jour, forme illimitée
59 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
138 -tu de la nuit ? » La sentinelle a répondu : « Le matin vient, et la nuit aussi ! » La paix que nous devons invoquer ne peut
60 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
139 e à lire la presse du soir, et le second celle du matin  ? 29 avril 1939 Comme il est des stratèges de Café du Commerce — géné
61 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
140 is-tu de la nuit ? — La sentinelle a répondu : Le matin vient, et la nuit aussi ! » La paix que nous devons invoquer ne peut
62 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
141 assurés, comme le dit Cingria, de trouver chaque matin sur leur table un gros bol de café au lait. Qu’on m’entende bien : no
63 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
142 l’autre et la soutient. Je laisserai de côté, ce matin , l’aspect politique au sens étroit du problème. J’estime que le fédér
64 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
143 t la Suisse (août 1940)g h Je vous parlerai ce matin de l’Église visible et non pas de l’Église en général. Je vous parler
144 ans un pays voisin ? Je n’oserais pas répondre ce matin . Ni oui ni non. Mais je voudrais que cette question reste posée. C’es
145 e dérangés dans nos petites habitudes du dimanche matin , et il arrive que nous soyons choqués quand un pasteur ne garde pas l
65 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
146 ession de l’esprit suisse allemand. Courez demain matin chez un libraire ou à la bibliothèque la plus proche, et demandez la
66 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Passion et origine de l’hitlérisme (janvier 1941)
147 faiblissement du libre arbitre de l’homme. […] Le matin et encore pendant la journée, les forces de la volonté des hommes s’o
67 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
148 ntier. Le samedi, les synagogues. Le dimanche, du matin au soir, une douzaine de cultes relayés par différentes stations. Vou
149 rs et des prêtres des trois grandes religions. Le matin , la radio diffusa les prières de « confession générale », dont il rép
68 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
150 Pourquoi donc t’ai-je battu ? lui dit-elle chaque matin . Je ne suis pas méchante, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu, je
69 1942, La Part du diable (1944). Première partie. L’Incognito et la Révélation
151 ont il annonçait la chute. Plus tard, l’étoile du matin désigna plutôt le Christ, par un étrange renversement du symbole. 3.
70 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
152 Pourquoi donc t’ai-je battu ? lui dit-elle chaque matin . Je ne suis pas méchante, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu, je
71 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
153 ont il annonçait la chute. Plus tard, l’Étoile du matin désigna plutôt le Christ, par un étrange renversement du symbole. 4.
72 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
154 Pourquoi donc t’ai-je battu ? lui dit-elle chaque matin . Je ne suis pas méchante, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu, je
73 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
155 a force était chanson fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autres… (Quand ta force devient visibl
74 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
156 is-tu de la nuit ? — La sentinelle a répondu : Le matin vient et la nuit aussi ! Si vous voulez interroger, interrogez ; conv
75 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 4. Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
157 e pouvoir dans une banque, se voit arrêté un beau matin par deux inspecteurs. Ces messieurs lui apprennent qu’il est inculpé,
76 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 7. Vues sur Ramuz
158 lle, le colporteur de bibles, qui s’avance dès le matin à travers le pays, et offre à tous la Parole « ayant l’aspect d’une b
77 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
159 ne (19 octobre 1945)a Cinq ans déjà, et chaque matin je m’étonne encore de me réveiller en Amérique. J’ai vécu en Suisse,
160 méticuleux de la bannière étoilée inculqué chaque matin aux enfants des écoles ; la multiplication des jours fériés ; les cor
78 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
161 . Il passe ainsi chaque jour, vers onze heures du matin . Quand il fait froid il porte un manteau noir. Sa chevelure m’indique
162 nner comme un seul homme. Le New York Times de ce matin fournit de nouveaux arguments, très puissants mais contradictoires, a
79 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
163 vasif, que n’êtes-vous disparue comme un songe au matin  ? Dans ce petit restaurant français de la 56e rue, à l’ouest, un jour
80 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Les résultats de la guerre (21 décembre 1945)
164 d’une actualité haletante qui renouvelait chaque matin depuis six ans ses énormes péripéties, l’esprit se sent soudain menac
81 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
165 ous sortions du bar, Maria et moi, une édition du matin nous apprend l’incendie du Reichstag. Je décide de rentrer le jour mê
166 ident. Je m’informe : l’avion part à 10 heures du matin . Mais il faut que je la revoie une dernière fois. Je prendrai donc l’
167 a tendu une lettre par avion, arrivée pour moi le matin même et qu’elle avait ouverte par crainte d’un malheur. Quelques lign
82 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
168 par un correspondant américain, qui occupe chaque matin une ou deux colonnes de son journal, en apprend davantage sur ce qui
83 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
169 -tu de la nuit ? » La sentinelle a répondu : « Le matin vient et la nuit aussi. » Je n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citati
84 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
170 s de Paris. Dans quel silence, à quatre heures du matin . Nous donnera-t-on des chambres pour le reste de la nuit ? Deux jeune
85 1946, Articles divers (1941-1946). Histoire de singes ou deux secrets de l’Europe (16 mai 1946)
171 ’ont aucune mémoire. Ils se voient obligés chaque matin de reconstruire leur monde, de l’apprendre à nouveau et de réinventer
86 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
172 ntinuent de marcher, riant de joie aux paliers du matin , s’avançant vers Midi avec le naturel de ceux qui ont la coutume de l
87 1946, Réforme, articles (1946–1980). À hauteur d’homme (1er juin 1946)
173 lles que tout le monde connaît et retrouve chaque matin . Déclarons nos valeurs, pour commencer Nous défendons ici une c
88 1946, Lettres sur la bombe atomique. I. La nouvelle
174 oucher chacun de son côté, et sur sa position. Ce matin , le docteur a voulu se rattraper. Nous prenions le breakfast sur la j
89 1946, Lettres sur la bombe atomique. VI. Le savant et le général
175 ue. Il passe ainsi chaque jour, vers 11 heures du matin . Quand il fait froid il porte un manteau noir. Sa chevelure m’indique
176 nner comme un seul homme. Le New York Times de ce matin fournit de nouveaux arguments, très puissants mais contradictoires, a
90 1946, Lettres sur la bombe atomique. X. La tâche politique du siècle
177 d’une actualité haletante qui renouvelait chaque matin depuis six ans ses énormes péripéties, l’esprit se sent soudain menac
91 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVIII. La paix ou la mort
178 -tu de la nuit ? » La sentinelle a répondu : « Le matin vient et la nuit aussi. » Je n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citati
92 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
179 -tu de la nuit ? » La sentinelle a répondu : « Le matin vient et la nuit aussi ». Je n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citati
93 1946, Lettres sur la bombe atomique. I . La nouvelle
180 oucher chacun de son côté, et sur sa position. Ce matin , le docteur a voulu se rattraper. Nous prenions le breakfast sur la j
94 1946, Lettres sur la bombe atomique. VI . Le savant et le général
181 . Il passe ainsi chaque jour, vers onze heures du matin . Quand il fait froid il porte un manteau noir. Sa chevelure m’indique
182 nner comme un seul homme. Le New York Times de ce matin fournit de nouveaux arguments, très puissants mais contradictoires, a
95 1946, Lettres sur la bombe atomique. X . La tâche politique du siècle
183 d’une actualité haletante qui renouvelait chaque matin depuis six ans ses énormes péripéties, l’esprit se sent soudain menac
96 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVIII . La paix ou la mort
184 -tu de la nuit ? » La sentinelle a répondu : « Le matin vient et la nuit aussi. » Je n’ai pas fini d’aimer ce cri. Les citati
97 1946, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe (écrit en Amérique, en 1943) (août-septembre 1946)
185 a force était chanson fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autres… (Quand ta force devient visibl
98 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
186 highballs. Je rentre et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses, moments les plus aigus de la vie, au jour qu
187 , de faux désastre et d’appel commercial, dans le matin strident de l’East River. Un quadrimoteur argenté passait très haut e
99 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
188 rrecte… Le goût de la cérémonie Un dimanche matin à New York : voilà le temps, voilà le lieu pour une étude comparée de
100 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
189 New York, 15 décembre 1945. Le 1er décembre au matin , la ruée vers les magasins s’est déclenchée dans toute l’Amérique, in