1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
1 n, on voyait la mer, des bateaux, des nuages, une avenue et ses autos rouges, tout un couchant de grand port de la Méditerrané
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
2 tté, récapitulant mes regrets… Nostalgie de cette avenue , à telle heure du jour ou de la nuit, j’y vais encore une fois, pour
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
3 au pantalon trop court traverse sans assurance l’ avenue où cinglent violemment de belles autos. Un long bruit de ferraille su
4 ment après les blocs, s’étend la zone. Je longe l’ avenue bordée de marronniers qui la traverse. À droite et à gauche, des ruel
5 la nuit… Mais ce soir, sous les marronniers de l’ avenue , tout ce petit monde me paraît libre et presque heureux. Soir village
4 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
6 es haut-parleurs tous les cent mètres le long des avenues . Et le tambour se mit à battre — deux coups lents, trois coups rappro
5 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
7 Grandes villas et palais dans des jardins, larges avenues luisantes et ombragées. La plupart des maisons à vendre ou à louer. S
8 eurs tous les cent mètres, entre les tilleuls des avenues . L’allure des passants s’accélère. Les glandes endocrines sécrètent.
6 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
9 hé. C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallèles, dans le sens de la longueur, qui est d’une vingtaine de k
10 t-cinquante rues de quatre kilomètres coupant les avenues à angle droit. Au milieu, un parc de dix kilomètres carrés. C’est tou
7 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
11 un Philanthrope marchait le long de la Cinquième Avenue . Il avait la tête et les poches pleines de projets philanthropiques,
8 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
12 un Philanthrope marchait le long de la Cinquième Avenue . Il avait la tête et les poches pleines de projets philanthropiques,
9 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
13 un Philanthrope marchait le long de la Cinquième Avenue . Il avait la tête et les poches pleines de projets philanthropiques,
10 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
14 wartz, le grand magasin de jouets de la Cinquième Avenue  : « Auriez-vous, dis-je d’un ton suave, quelque chose qui ressemble à
15 euse nous planta là. Il neigeait sur la Cinquième Avenue , sur les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’arbre immense d
11 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
16 t pourtant jetée dans l’Éternel ? J’arpentais des avenues interminables, sillonnées de taxis bondés. Je me disais : on discute
12 1946, Lettres sur la bombe atomique. VIII. Un salon atomique
17 tant l’eût jetée dans l’Éternel ? J’arpentais des avenues interminables, sillonnées de taxis bondés. Je me disais : on discute
13 1946, Lettres sur la bombe atomique. VIII . Un salon atomique
18 pourtant jetée dans l’Éternel ? J’arpentais des avenues interminables, sillonnées de taxis bondés. Je me disais : on discute
14 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
19 ne portent pas de numéro et ne coupent point les avenues à angle droit. Hors-série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’arbres
15 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
20 bons modèles gothiques.) Je remonte la Cinquième Avenue , en partant de Washington Square. Voici d’abord, à deux-cents mètres
16 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
21 Schwartz, grand magasin de jouets de la Cinquième Avenue . « Auriez-vous, dis-je d’un ton suave, quelque chose qui ressemble à
22 use nous planta là. Il neigeait sur la Cinquième Avenue , sur les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’arbre immense d
17 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
23 hé. C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallèles, dans le sens de la longueur, qui est de vingt-cinq kilomè
24 uilding — et deux-cent-cinquante rues coupant les avenues à angle droit : autant d’étages. Au milieu, Central Park, rectangulai
25 ce bleu de poudre claire et rose au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de brique au puits des rues lui
26 isse aux pieds mêlée d’essence sur l’asphalte des avenues , c’était ce vide. C’était le sens absent. Beekman Place Parallè
27 ne portent pas de numéro et ne coupent point les avenues à angle droit. Hors série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’arbres
28 rticulier. Elle part luxueusement de la Cinquième avenue et de Central Park, traverse en direction de l’est de beaux quartiers
29 aspect et tourne au populaire un demi-block après Lexington avenue, perd toute tenue dès qu’elle a traversé les piliers du métro
30 tourne au populaire un demi-block après Lexington avenue , perd toute tenue dès qu’elle a traversé les piliers du métro aérien
31 ers du métro aérien qui longe encore la Troisième avenue , s’anime alors dangereusement d’enfants s’exerçant au base-ball parmi
32 s gratte-ciel pour les bureaux et quelques belles avenues de résidences pour les directeurs de bureaux. C’est ce qu’on en voit
18 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
33 hé. C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallèles, dans le sens de la longueur, qui est de vingt-cinq kilomè
34 uilding — et deux-cent-cinquante rues coupant les avenues à angle droit : autant d’étages. Au milieu, Central Park, rectangulai
35 isse aux pieds mêlée d’essence sur l’asphalte des avenues , c’était ce vide. C’était le sens absent. Dans le milieu archihumanis
36 ous ennuyer, et vous regarderez dans la Cinquième Avenue , et vous verrez des hommes en bottes. Ce n’est pas le temps de bâtir.
19 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
37 ce bleu de poudre claire et rose au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de brique au puits des rues lui
38 il se promène interminablement, suivant au long d’ avenues anonymes des caravanes de songes planétaires, nourris de maintes conn
20 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
39 ne portent pas de numéro et ne coupent point les avenues à angle droit. Hors série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’arbres
21 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
40 rticulier. Elle part luxueusement de la Cinquième Avenue et de Central Park, traverse en direction de l’est de beaux quartiers
41 ers du métro aérien qui longe encore la Troisième Avenue , s’anime alors dangereusement d’enfants s’exerçant au base-ball parmi
42 gratte-ciel pour les bureaux, et quelques belles avenues de résidences pour les directeurs de bureaux. C’est ce qu’on en voit
43 Schwartz, grand magasin de jouets de la Cinquième Avenue . « Auriez-vous, dis-je d’un ton suave, quelque chose qui ressemble à
44 euse nous planta là. Il neigeait sur la Cinquième Avenue , sur les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’arbre immense d
22 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
45 tulant mes regrets… J’aurai la nostalgie de cette avenue , à telle heure du jour ou de la nuit, je le sais et j’y vais encore u
23 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Troisième partie. L’été parisien
46 au pantalon trop court traverse sans assurance l’ avenue où cinglent violemment de belles autos. Un long bruit de ferraille su
47 ment après les blocs, s’étend la zone. Je longe l’ avenue bordée de marronniers qui la traverse. À droite et à gauche, des ruel
48 la nuit… Mais ce soir, sous les marronniers de l’ avenue , tout ce petit monde me paraît libre et presque heureux. Soir village
24 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
49 Grandes villas et palais dans des jardins, larges avenues luisantes et ombragées. La plupart des maisons à vendre ou à louer. S
50 eurs tous les cent mètres, entre les tilleuls des avenues . L’allure des passants s’accélère. Les glandes endocrines sécrètent.
25 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
51 hé. C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallèles, dans le sens de la longueur, qui est de vingt-cinq kilomè
52 uilding — et deux-cent-cinquante rues coupant les avenues à angle droit : autant d’étages. Au milieu, Central Park, rectangulai
53 isse aux pieds mêlée d’essence sur l’asphalte des avenues , c’était ce vide. C’était le sens absent. Dans le milieu archihumanis
54 ous ennuyer, et vous regarderez dans la Cinquième Avenue , et vous verrez des hommes en bottes. Ce n’est pas le temps de bâtir.
26 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
55 ce bleu de poudre claire et rose au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de brique au puits des rues lui
56 ment. Un vent doux, venu de la mer, remontait les avenues infinies, très légèrement dorées par le couchant là où elles s’ouvren
57 il se promène interminablement, suivant au long d’ avenues anonymes des caravanes de songes planétaires, nourris de maintes conn
27 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
58 n diable dans sa grande librairie de la Cinquième Avenue . Que faire, sur ce fond si banal de velours rouge ? J’en parle avec B
59 allons nous poster au bord du large trottoir de l’ Avenue , pour guetter l’effet sur les passants. Voici le premier : c’est un n
60 ne portent pas de numéro et ne coupent point les avenues à angle droit. Hors série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’arbres
28 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
61 rticulier. Elle part luxueusement de la Cinquième Avenue et de Central Park, traverse en direction de l’est de beaux quartiers
62 ers du métro aérien qui longe encore la Troisième Avenue , s’anime alors dangereusement d’enfants s’exerçant au base-ball parmi
63 gratte-ciel pour les bureaux, et quelques belles avenues de résidences pour les directeurs de bureaux. C’est ce qu’on en voit
64 Schwartz, grand magasin de jouets de la Cinquième Avenue . « Auriez-vous, dis-je d’un ton suave, quelque chose qui ressemble à
65 euse nous planta là. Il neigeait sur la Cinquième Avenue , sur les paquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’arbre immense d
29 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
66 tté, récapitulant mes regrets… Nostalgie de cette avenue , à telle heure du jour ou de la nuit, j’y vais encore une fois, pour
30 1947, Articles divers (1946-1948). Préface à Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers (1947)
67 e café, celle du Brevoort, au bas de la Cinquième Avenue . C’est là que Dos Passos situe plusieurs des scènes de ses romans, et
31 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
68 rticulier. Elle part luxueusement de la Cinquième Avenue et de Central Park, traverse en direction de l’est de beaux quartiers
69 ers du métro aérien qui longe encore la Troisième Avenue , s’anime alors dangereusement d’enfants s’exerçant au base-ball parmi
70 gratte-ciel pour les bureaux, et quelques belles avenues de résidences pour les directeurs de bureaux. C’est ce qu’on en voit
32 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
71 il se promène interminablement, suivant au long d’ avenues anonymes des caravanes de songes planétaires nourris de maintes conna
33 1947, Vivre en Amérique. II. Vie culturelle et religieuse
72 bons modèles gothiques.) Je remonte la Cinquième Avenue , en partant de Washington Square. Voici d’abord, à deux-cents mètres
34 1947, Articles divers (1946-1948). La jeune littérature des États-Unis devant le roman américain (7 juin 1947)
73 e café, celle du Brevoort, au bas de la Cinquième Avenue . C’est là que Dos Passos situe plusieurs des scènes de ses romans, et
35 1948, Articles divers (1946-1948). Notes sur la voie clandestine (hiver 1948)
74 que et le divin, pour lui — et ce sont la Sixième Avenue et la Neuvième Rue, justement — s’il y pense, il est dans le jeu. Dan
36 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
75 . C’était, on l’imagine, en Amérique. Au long des avenues de Manhattan, il marchait lentement, régulièrement, comme ceux qui vo
37 1952, {Title}. La vie religieuse aux États-Unis (1942-1945) (1952)
76 uaire anglican. Et puis, en remontant les grandes avenues de Manhattan, j’ai été frappé par le nombre des lieux de culte, par l
38 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
77 i de douleur des faubourgs s’est propagé dans les avenues lugubres de Berlin, entre leurs façades sur le vide, les blocs blanch
39 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
78 i de douleur des faubourgs s’est propagé dans les avenues lugubres de Berlin, entre leurs façades sur le vide, les blocs blanch
40 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Lever de rideau culturel ? (octobre 1955)
79 tuation « négative », mais qui ouvre pourtant des avenues , c’est de savoir quelles sont les chances de la culture telle que nou
41 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
80 ime que la tradition religieuse rend nulle et non avenue l’innovation individuelle, et que le but de la recherche humaine ne p
42 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Chapitre I. Où les voies se séparent
81 ime que la tradition religieuse rend nulle et non avenue l’innovation individuelle, et que le but de la recherche humaine ne p
43 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
82 n’est pas loin, mais en même temps s’ouvrent des avenues … Ces carrefours « qu’aucune carte n’indique » sont les lieux les plus
44 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
83 n’est pas loin, mais en même temps s’ouvrent des avenues … Ces carrefours « qu’aucune carte n’indique » sont les lieux les plus
45 1961, {Title}. Imagination de New York (novembre 1961)
84 hé. C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallèles, dans le sens de la longueur, qui est de vingt-cinq kilomè
85 uilding — et deux-cent-cinquante rues coupant les avenues à angle droit : autant d’étages. Au milieu, Central Park, rectangulai
86 ne portent pas de numéro et ne coupent point les avenues à angle droit. Hors série, modèle de grand luxe, elle s’orne d’arbres
87 ns fin. J’imagine Manhattan sur pilotis. Les huit avenues longitudinales de vingt-cinq kilomètres, reliées par une sur deux des
46 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
88 re collège de jeunes gens. Nous y entrons par une avenue bordée d’arbres immenses aux petites feuilles jaune vif et de larges
89 ollège de jeunes filles dans le Vermont Longue avenue sinueuse dans un parc aux prairies nues, en pente douce vers un bâtim
47 1963, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Mais qui est donc Denis de Rougemont (7 novembre 1963)
90 e vitrine surréaliste dans une librairie de la 5e Avenue pour l’exposition de mon livre : La Part du diable . Rentré en Europ
48 1966, Articles divers (1963-1969). Un libéral engagé (1966)
91 a somnoler. À Paris, dans ce rez-de-chaussée de l’ avenue d’Iéna, où siégera souvent, après La Haye, la section culturelle du M
49 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
92 qui ne sait ordonner que par alignement dans des avenues faciles à « balayer », mais un grand parc aux perspectives aléatoires
50 1974, Articles divers (1974-1977). L’Europe des régions (juin-juillet 1974)
93 cle sont des villes en étoile avec de très larges avenues qui servent au défilé des troupes, elles peuvent aussi être balayées
51 1975, Articles divers (1974-1977). Au-delà de la société industrielle (1975)
94 mble, née pour la vitesse, l’automobile, dans les avenues de New York ou de Paris, permet de faire du quatre ou cinq à l’heure,
52 1977, Articles divers (1974-1977). Robert Schuman (1886-1963) : l’homme de la frontière (1977)
95 nue Bourgogne, et qui forme aujourd’hui la grande avenue centrale, l’axe vertical de l’Europe des régions transfrontalières, r
53 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 9. Devenir soi-même
96 a ceci : l’homme des grandes villes, des longues avenues qui asphyxient ou tuent qu’elles soient embouteillées ou qu’on y circ
54 1978, Articles divers (1978-1981). « Quel avenir voulons-nous ? » (1er février 1978)
97 que nous ne trouvâmes jamais. Parfois, dans la 5e Avenue , Breton me signalait S. Dali et nous changions immédiatement de trott
55 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
98 ment. Un vent doux, venu de la mer, remontait les avenues infinies, très légèrement dorées par le couchant là où elles s’ouvren
56 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
99 l’Assemblée dont on attendait qu’ils traversent l’ avenue de l’Europe, le Rubicon, en l’occurrence, séparant le palais du parc,
57 1988, Inédits (extraits de cours). Communautés, communes
100 damier — selon le plan de Milet — avec de grandes avenues en croix, puis de plus petites avenues qui achevaient le quadrillage,
101 de grandes avenues en croix, puis de plus petites avenues qui achevaient le quadrillage, et des dimensions telles qu’il n’était