1 religion, mais en même temps de quitter le pays, Louis XIV commit un des actes les plus vexatoires que l’histoire ait enregistré

2 édiats à leur désir de gagner le ciel, persuadent Louis XIV que la révocation serait une œuvre digne du Roi-Soleil et capable de

3 ales : car malgré des félicitations arrachées par Louis XIV au pape, les catholiques sont loin d’être unanimes à louer la révocat

4 ouver bientôt dans l’ouvrage qu’il va consacrer à Louis XIV l’exposé si dénué de parti pris, si libre et d’une si élégante scienc

5 . J’aurais voulu vous voir demander à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la royauté absolue. Il eût fallu cer

6 . J’aurais voulu vous voir demander à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la royauté absolue. Il eût fallu cer

7 Qui donc oserait, comme cet évêque, s’adressant à Louis XIV , c’est-à-dire à l’État personnifié, lui déclarer sans artifices de la

8 iècle » tel que nous l’ont décrit les fervents de Louis XIV et certains défenseurs de la politique romaine. La persécution des pr

9 e paraît riche d’enseignements très actuels. Chez Louis XIV comme chez Hitler, ce n’est pas un souci d’unité religieuse qui domin

10 Qui donc oserait, comme cet évêque, s’adressant à Louis XIV , c’est-à-dire à l’État personnifié, lui déclarer sans artifices de la

11 r le parti ultramontain, et dont l’absolutisme de Louis XIV sera l’expression achevée. Une phrase de Bossuet nous en apprend sur

12 , si l’on ne peut aller jusqu’à dire qu’il honore Louis XIV , demeure tout de même le trait qui le distingue des fascistes contemp

13 ent jacobine — aux dépens du « plus » réalisé par Louis XIV  ? En vérité, l’on est en droit de douter que tous nos petits Richelie

14 (c’est-à-dire des poncifs imposés par la cour de Louis XIV ). ⁂ La même volonté d’incarnation se manifeste dans l’allure de la ph

15 l’Empire ; le Moyen Âge, l’Église ; le siècle de Louis XIV , la raison d’État incarnée par le roi ; et nous voyons les Russes bât

16 mpire ; le Moyen Âge, la théologie ; le siècle de Louis XIV , la raison d’État incarnée par le roi ; et nous voyons les Russes bât

17 t pas encore pu s’affirmer comme elle le fit sous Louis XIV , nous constatons que la première discipline que se donnent les église

18 Plus tard, c’est ce même esprit qui obtiendra que Louis XIV révoque l’édit de Nantes, au nom du mot d’ordre unitaire : une foi, u

19 reprochent les stratèges modernes aux généraux de Louis XIV et de Louis XV ? C’est d’avoir essayé de faire la guerre en tuant le

20 les subordonner à une diplomatie, art de civils. Louis XIV déclare la guerre sous des prétextes juridiques et personnels, où l’h

21 reprochent les stratèges modernes aux généraux de Louis XIV et de Louis XV ? C’est d’avoir essayé de faire la guerre en tuant le

22 les subordonner à une diplomatie, art de civils. Louis XIV déclare la guerre sous des prétextes juridiques et personnels, où l’h

23 reprochent les stratèges modernes aux généraux de Louis XIV et de Louis XV ? C’est d’avoir essayé de faire la guerre en tuant le

24 les subordonner à une diplomatie, art de civils. Louis XIV déclare la guerre sous des prétextes juridiques et personnels, où l’h

25 Plus tard, c’est ce même esprit qui obtiendra que Louis XIV révoque l’édit de Nantes, au nom du mot d’ordre unitaire : une foi, u

26 Plus tard, c’est ce même esprit qui obtiendra que Louis XIV révoque l’édit de Nantes, au nom du mot d’ordre unitaire : une foi, u

27 Quant à la France, elle redevint catholique sous Louis XIV , certes. Mais n’oublions pas que ce furent des protestants qui donnèr

28 on : les Allemands sous Hitler, les Français sous Louis XIV et sous Napoléon, les Italiens sous Mussolini. Les Américains n’ont p

29 volonté d’unification nationale à la manière d’un Louis XIV , plus tard à la manière des jacobins, provoque inévitablement le raid

30 on : les Allemands sous Hitler, les Français sous Louis XIV et sous Napoléon, les Italiens sous Mussolini. Or les Américains n’on

31 volonté d’unification nationale à la manière d’un Louis XIV , plus tard à la manière des jacobins, provoque inévitablement le raid

32 core tromper et tourner. Exemples : le siècle de Louis XIV , les principautés allemandes (très peu « démocratiques »), l’ère vict

33 agnes. En 1679, Robbe, ingénieur et géographe de Louis XIV , fait imprimer à Paris une Méthode pour apprendre facilement la géogr

34 nion qui se tint dans la chambre même où était né Louis XIV , au Pavillon Henri IV, à Saint-Germain-en-Laye. C’était le 14 novembr

35 es.37 En 1679, Robbe, ingénieur et géographe de Louis XIV , fait imprimer à Paris une Méthode pour apprendre facilement la géogr

36 re le nom de sa famille. Cela se passait en 1681, Louis XIV régnant en France et William Penn étant âgé de 37 ans. Il introduisit

37 où William Penn rédige son Essay : l’agression de Louis XIV contre le Palatinat a provoqué la Grande Alliance de 1689, sous la di

38 cadémie en 1716 pour avoir critiqué la mémoire de Louis XIV , il fonda le « Club de l’Entresol », société de libres discussions, q

39 s ses diversités, en fait un plan et le propose à Louis XIV  : fédéralisme. Il a étudié toutes les sciences et les a toutes fait p

40 En 1670, déjà, Leibniz redoutant les ambitions de Louis XIV avait cherché à les détourner vers l’Orient. De là l’ébauche du plan

41 t ainsi pacifier l’Europe et provoquer son union. Louis XIV appela le jeune homme à Paris, mais ne le reçut pas, les difficultés

42 imègue ayant affirmé la prédominance menaçante de Louis XIV en Europe, Leibniz publie un traité en latin sous le pseudonyme de Cæ

43 Milan, se fit calviniste à Genève, panégyriste de Louis XIV à Paris, historien d’Angleterre à Londres, pamphlétaire au service de

44 ivait en 1752, dans son introduction au Siècle de Louis XIV  : L’Europe surpasse en toutes choses les autres parties du monde… (o

45 e manière durable. Ce que n’ont pu Charles-Quint, Louis XIV , Napoléon Ier, personne probablement ne le pourra dans l’avenir. L’ét

46 ue celui proposé par Vauban… à la fin du règne de Louis XIV  ». 6. La population de la Chine vers 1850 était estimée à 400 millio

47 t pas encore pu s’affirmer comme elle le fit sous Louis XIV , nous constatons que la première discipline que se donnent les Église

48 hemin vers la première, nous trouvons le règne de Louis XIV , la doctrine des jacobins, le national-socialisme, le marxisme-lénini

49 es depuis deux siècles, n’est pas défendue contre Louis XIV , et là encore, comme il en adviendra plus tard pour Mulhouse et la Va

50 bleu, couleur de la famille von May, l’un servant Louis XIV et l’autre la Hollande, se précipitent avec fureur l’un contre l’autr

51 jour, dans la foule des courtisans à Versailles, Louis XIV remarque un gentilhomme resté couvert et s’approchant de lui : « Je s

52 es plus respectables, de l’histoire de l’Europe : Louis XIV , Napoléon, Hitler. « Une foi, une loi, un roi », disait-on sous Louis

53 ler. « Une foi, une loi, un roi », disait-on sous Louis XIV pour justifier la révocation de l’édit de Nantes. « Ein Volk, ein Rei

54 e Jean Bodin, par Richelieu, par les ministres de Louis XIV , puis par les jacobins qui croyaient s’opposer à l’ambition séculaire

55 ient qu’en se rendant utiles. Ils exigent, depuis Louis XIV , que l’on s’incline devant la « majesté de l’État ». Mais non ! L’Éta

56 méthode d’unité par l’uniformité qui fut celle de Louis XIV , des jacobins, de Napoléon et de nos États totalitaires de toute coul

57 ient qu’en se rendant utiles. Ils exigent, depuis Louis XIV , que l’on s’incline devant la « majesté de l’État ». Mais non ! l’Éta

58 typique du xxe siècle. Un écrivain du siècle de Louis XIV ou du siècle d’Élisabeth ne s’interrogeait pas sur l’avenir des lettr

59 ient qu’en se rendant utiles. Ils exigent, depuis Louis XIV , que l’on s’incline devant la « majesté de l’État ». Mais non ! l’Éta

60 ient qu’en se rendant utiles. Ils exigent, depuis Louis XIV , que l’on s’incline devant la « majesté de l’État ». Mais non ! l’Éta

61 e peut passer le gosier d’un Français héritier de Louis XIV , des jacobins et de Napoléon.) Il m’écrivait en 1962 à propos de mes

62 es à nos maîtres. Cette notion a son origine sous Louis XIV , dans les guerres contre l’Espagne et les Allemagnes au-delà du Rhin 

63 absolument le contraire des habitudes héritées de Louis XIV ou de Napoléon : le règne majestueux sur des sujets. En France, quand

64 méthode d’unité par l’uniformité qui fut celle de Louis XIV , des jacobins, de Napoléon, et reste celle des systèmes totalitaires

65 nationale ». D’où le Français lettré conclut que Louis XIV et Napoléon, en centralisant l’Hexagone, l’ont sauvé de la sauvagerie

66 es à l’école. Cette notion prend son origine sous Louis XIV , dans les guerres contre l’Espagne et les Allemagnes au-delà du Rhin 

67 pour autant. Cette notion, qui a son origine sous Louis XIV , est mise en forme par la Révolution (discours du Prussien Anacharsis

68 es à nos maîtres. Cette notion a son origine sous Louis XIV , dans les guerres contre l’Espagne et contre les Allemagnes au-delà d

69 française s’organise solidement sous le règne de Louis XIV et oppose à l’anarchie de la Fronde cette mise en ordre quasi totalit

70 inspirent, encore moins en service utile. Lorsque Louis XIV prononce « l’État, c’est moi », lorsque Frédéric II déclare : « Je su

71 mphe de Jean Bodin : « L’État c’est moi ! » Si Louis XIV a vraiment dit : « L’État c’est moi ! », c’est qu’on lui aura lu Jean

72 mais Jean Bodin, toute la gloire du passé. C’est Louis XIV , les jacobins, Bonaparte et Napoléon, et ce sont les États-nations qu

73 orisé par Jean Bodin puis déclaré et pratiqué par Louis XIV , devait se substituer dans le même mouvement l’État-nation ; lequel s

74 nie continentale : Philippe le Bel, François Ier, Louis XIV déploient de grands efforts, mais en vain, pour se faire élire empere

75 [donc la culture]. » En 1679, Robbe, géographe de Louis XIV , écrit dans Méthode pour apprendre facilement la géographie : « On ne

76 toire : ni provinces, ni régions, ni communes. b) Louis XIV , le roi par excellence, avait brisé les féodaux et les communes, les

77 constituait l’État. L’État c’est moi, aurait dit Louis XIV , comme tout patron de droit divin ou tout chef d’entreprise parlant d

78 lui-même. » (p. 234) Survient l’âge classique : «  Louis XIV dans sa majesté n’est qu’un révolutionnaire qui a réussi : un premier

79 ècle dans cette phrase étonnante qu’on attribue à Louis XIV  : « L’État, c’est moi. » L’individualisme le plus échevelé et l’absol

80 puissance, vous trouvez, par exemple, le règne de Louis XIV , le stalinisme, le marxisme-léninisme, les jacobins et leur idéal, et

81 de nous, si nous prenons un grand potentat comme Louis XIV , ce n’est certainement pas à coup de discours qu’il a gouverné la Fra

82 rance ; je ne me rappelle pas un seul discours de Louis XIV , que l’on cite, que l’on fasse apprendre aux enfants des écoles en Fr

83 nfants des écoles en France ; ce que l’on sait de Louis XIV et de son règne, ce sont les guerres qu’il a faites, les traités, les