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es Grecs et les Romains, l’amour est une maladie (
Ménandre
) dans la mesure où il transcende la volupté qui est sa fin naturelle.
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es Grecs et les Romains, l’amour est une maladie (
Ménandre
) dans la mesure où il transcende la volupté qui est sa fin naturelle.
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es Grecs et les Romains, l’amour est une maladie (
Ménandre
) dans la mesure où il transcende la volupté qui est sa fin naturelle.
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un excès soit morbide (Plutarque), soit ridicule (
Ménandre
). Il est possible, par conséquent, d’affirmer que la passion est l’un
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s et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de
Ménandre
ne sont plus du tout inconcevables : elles sont dans les journaux. L
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s et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de
Ménandre
ne sont plus du tout inconcevables : elles sont dans les journaux ».
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a retrouvé — et même joué — plusieurs comédies de
Ménandre
. Quant aux œuvres de Keats et de Baudelaire, et de Paul Valéry lui-mê
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a), Ier siècle A. D. Milinda est le roi indo-grec
Ménandre
, qui vivait au IIe siècle av. J.-C. Nagasena, un Patriarche bouddhist
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ha), ier siècle A.D. Milinda est le roi indo-grec
Ménandre
, qui vivait au iie siècle avant J.-C. Nagasena, un patriarche bouddh
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s et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de
Ménandre
ne sont plus du tout inconcevables : elles sont dans les journaux. …
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rt-là ne sera pas le mien », dit un personnage de
Ménandre
, marquant la destruction (libératrice ?) de tout « ordre des choses »
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s et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de
Ménandre
ne sont plus du tout inconcevables : elles sont dans les journaux. L
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s et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de
Ménandre
ne sont plus du tout inconcevables : elles sont dans les journaux ».
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a retrouvé — et même joué — plusieurs comédies de
Ménandre
. Quant aux œuvres de Keats et de Baudelaire, et de Paul Valéry lui-mê
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s et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de
Ménandre
ne sont plus du tout inconcevables : elles sont dans les journaux. L
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s et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de
Ménandre
ne sont plus du tout inconcevables : elles sont dans les journaux ».
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a retrouvé — et même joué — plusieurs comédies de
Ménandre
. Quant aux œuvres de Keats et de Baudelaire, et de Paul Valéry lui-mê
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era jamais le mien ! » conseille un personnage de
Ménandre
en cette époque alexandrine. « N’importe quoi » est possible à chacun
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quel prix, pour peu qu’on réussisse. La devise de
Ménandre
sera celle des généraux successeurs d’Alexandre, et dans notre ère, d