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agéré de dire qu’en publiant ce recueil d’essais,
M. Fernandez
a donné la première œuvre importante du mouvement de construction et
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vèle, puis de les situer dans l’univers humain ».
M. Fernandez
a tout le talent qu’il faut pour lui faire acquérir droit de cité. Vo
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e modernes. Et à ce propos, il faut souhaiter que
M. Fernandez
aborde par ce biais l’œuvre de Gide, qui plus qu’aucune autre me para
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on directe entre l’œuvre et le moi, comme le fait
M. Fernandez
dans un essai sur l’Autobiographie et le Roman, dont pour ma part je
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admettre plusieurs thèses beaucoup trop absolues.
M. Fernandez
tente de prouver par exemple que l’œuvre d’art ne peut être un moyen
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et trop philosophe aux littérateurs. Il manque à
M. Fernandez
un certain recul par rapport à ses idées, on le sent un peu gauche en