1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
1 agéré de dire qu’en publiant ce recueil d’essais, M. Fernandez a donné la première œuvre importante du mouvement de construction et
2 vèle, puis de les situer dans l’univers humain ». M. Fernandez a tout le talent qu’il faut pour lui faire acquérir droit de cité. Vo
3 e modernes. Et à ce propos, il faut souhaiter que M. Fernandez aborde par ce biais l’œuvre de Gide, qui plus qu’aucune autre me para
4 on directe entre l’œuvre et le moi, comme le fait M. Fernandez dans un essai sur l’Autobiographie et le Roman, dont pour ma part je
5 admettre plusieurs thèses beaucoup trop absolues. M. Fernandez tente de prouver par exemple que l’œuvre d’art ne peut être un moyen
6 et trop philosophe aux littérateurs. Il manque à M. Fernandez un certain recul par rapport à ses idées, on le sent un peu gauche en
2 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
7 n sait que la secousse du 6 février 1934 a poussé M. Fernandez à ces « dernières conséquences ».
3 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
8 n sait que la secousse du 6 février 1934 a poussé M. Fernandez à ces « dernières conséquences ».
4 1937, Articles divers (1936-1938). C’est jeune (10 avril 1937)
9 l’indiquais. Et si l’on en doutait encore, c’est M. Fernandez qui me fournirait le plus savoureux argument. Dans sa chronique litté
10 ude, et le dégoût ? Partagez-vous ma naïveté ? Et M. Fernandez , qu’en pensait-il, écrivant cela ? Dans quelle illusion ai-je vécu ?