1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
1 re n’est-il pas trop tard pour parler du Vinet de M. Seillière, de ce nouveau chapitre qu’il vient d’ajouter à sa grande é
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
2 ifique. C’est donc à la seule volonté de choisir. M. le pasteur Bertrand de Lyon, répondit en exposant les exigences de l’
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
3 c’est admirable, ah ! mon Dieu, je vous remercie, Monsieur … Il saisit son journal. Il en parcourait rapidement les pages, la pro
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
4 on attend un miracle pour la fin de la semaine. «  Messieurs , disait Dardel, y a pas à tortiller, il faut faire quelque chose. Nou
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
5 Je ne connais pas de meilleur remède contre Dieu. Monsieur , vous avez dit : « C’est incompréhensible ! » — avec une indignation
6 ssions où triomphe sous tous les déguisements, de Ford à Clément Vautel, le matérialisme le plus pauvre auquel se soit jamai
7 e à ce devoir sacré. » (Edmond Jaloux.) Entre un monsieur en noir : Permettez-moi de me présenter… d’ailleurs une ancienne conn
8 … oui, oui, très intéressant. Seulement, mon cher Monsieur , nous n’avons pas le temps ces jours-ci, beaucoup trop à faire, beauc
9 tinent de votre part. (Le reconduisant :) Croyez, Monsieur , à mon estime la plus vive. Mais décidément nous sommes débordés, voy
10 lus répandus à Genève sont Ma vie et mon œuvre de Ford et Mon curé chez les riches. Très loin derrière viennent des France e
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
11 la parole sans plus de cérémonie : « La jeunesse, Monsieur …, la jeunesse est l’âge où l’on atteint la vie. On s’y maintient cinq
12 ri, blanchi, mais non point diverti. J’étais bon, Monsieur , normalement bon. L’idée, par exemple, d’étrangler un chat pour le pl
13 parfaites de ma jeunesse… Mais il est trop tard, Monsieur , pour critiquer les modalités de ma vengeance. Veuillez ne voir dans
14 s de succéder au moindre vol. » J’ajouterai, cher Monsieur , que l’analyse psychologique n’est pas mon fort. Je me contente de qu
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
15 tout propos d’Annunzio, Pola Negri, Charly Clerc, Mrs . Balfour. Vous parlez de « procédés lassants ». Pierre Girard n’écout
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les derniers jours (juillet 1927)
16 e des Maurras et des Mussolini, des Lénine et des Ford . Alors les hommes hurleront un affreux besoin mystique. Vous réveille
9 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
17 Le péril Ford (février 1928)a On a trop dit que notre époque est chaotique. Je c
18 l’époque m’offre de mieux réussi. Voici la vie de Ford , telle qu’il la raconte dans Ma vie et mon œuvre. Il naît fils de pay
19 on. Il fonde tôt après la Société des automobiles Ford , « et commence à réaliser son rêve, le type unique d’automobile utili
20 possibilité d’augmenter encore cette production. Ford est le plus puissant industriel du monde ; le plus riche, au point qu
21 dustriels européens s’en inspirent toujours plus. Ford leur montre le chemin qu’ils seront bien obligés de prendre tôt ou ta
22 er ou mourir », écrivait récemment un économiste. Ford , perfection de l’industriel, offre au monde moderne le premier exempl
23 s dit tout à l’heure quel fut le but de la vie de Ford , sa « grande et constante ambition ». Il semble que toute sa carrière
24 eur de l’humanité par la possession d’automobiles Ford . Et, comme il est très intelligent, il a vite fait de démêler les con
25 sans auto. Voilà l’affaire lancée. La passion de Ford se donne libre cours. Il ne s’agit plus maintenant que de lui donner
26 n’ait plus qu’à plier bagage. Mais c’est ici que Ford montre le bout de l’oreille, et que son but réel est la production po
27 umain dans la conception fordienne de l’oisiveté. Ford a créé un second dimanche dans la semaine, « retouché l’œuvre de la C
28 la duperie : ce jeu du chat et de la souris ; si Ford relâche les ouvriers et leur donne une apparence de liberté, c’est po
29 vu. Il est déterminé par la réclame, les produits Ford qu’il faut user, etc. Il a pour but véritable d’augmenter la consomma
30 atteintes. On peut se demander jusqu’à quel point Ford est conscient des buts et de l’avenir de son effort. Pour mon compte,
31 ns à la terre la satisfaction de nos besoins. » — Ford se moque de la philosophie. Il ne peut empêcher que son attitude ne p
32 ettes encore : « Je ne considère pas les machines Ford simplement comme des machines. J’y vois la réalisation concrète d’une
33 messianisme matérialiste ? Un seul doute effleure Ford vers la fin de son livre : Le problème de la production a été brilla
34 il faudrait en tirer des conséquences, alors que Ford passe outre et se remet à discuter des points de technique. Il n’a pa
35 grands esprits de tous les temps. On me dira que Ford a mieux à faire que de philosopher. Je le veux. Mais si j’insiste un
36 ies pour admirer mutuellement leur culture », dit Ford . Et tout est dit ! Le simplisme arrogant avec lequel, de nos jours, o
37 buts propres, humains et divins. Mauvais loisirs. Ford lui a donné une auto pour admirer la nature entre 17 et 19 heures : v
38 ans les rouages de la vie moderne. Le triomphe de Ford réduira l’Esprit à devenir l’apanage d’une sorte de franc-maçonnerie
39 l’Occident. La logique, parlant par la bouche de Ford  : « Inutile, donc à détruire. » Ford a raison, une fois de plus. Pas
40 la bouche de Ford : « Inutile, donc à détruire. » Ford a raison, une fois de plus. Pas de compromis possible de ce côté. Mai
41 lus du grand public sont Ma vie et mon œuvre, de Ford et Mon curé chez les riches, de Clément Vautel. Dans les pays de lang
42 ue en Russie. a. Rougemont Denis de, « Le péril Ford  », Foi et Vie, Paris, février 1928, p. 189-202.
10 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
43 type le plus courant : « Vous êtes bien gentils, messieurs  ! » Il n’y avait plus qu’à lui prendre chacun un bras, une femme pour
11 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
44 ou enfin ces littérateurs antilittéraires, ces «  Messieurs les Nymphes ». Mais donner l’air bête à ceux qui le sont en créant un
12 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
45 faire endosser le blâme, mais comme l’homme nommé Ford , de Détroit, a contribué davantage que n’importe quel autre de mon te
46 le souverain du monde. Tamerlan pour les anciens. Ford pour les modernes. Quelle décadence ! ax. Rougemont Denis de, « [
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
47 est en fait l’esprit démocratique. Là-dessus, ces messieurs se lamentent, la jeunesse d’aujourd’hui, etc. Évidemment. Mais il y a
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
48 er d’huile de foie de morue avant le repas, et le monsieur qui racontait gravement des choses qu’on ne comprend pas, la prière d
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
49 n P majuscule. On sent que c’est là son affaire : Monsieur en un mot est M’sieu l’Instituteur. Signes particuliers : cheveux lon
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
50 ordés à l’actuelle division horaire des journées… Monsieur , répondent les fonctionnaires responsables, vous savez par expérience
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
51 cidément trop gros pour échapper plus longtemps à MM. les Inspecteurs des Écoles. Je le crains, dis-je ; car le monde ne pr
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
52 imples ; il serait vraiment dommage de priver ces Messieurs d’une aubaine pour eux si rare. Un fait simple, par exemple, c’est qu
53 de la sensibilité. (Le jour où l’on culbutera ces Messieurs de leurs sièges, ils comprendront le sens des images.) 9. J’emploie
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
54 es bien intentionnées viennent vous dire : « Mais Monsieur , M. Machin que vous attaquez est pourtant un très brave homme, il fai
55 te le cou. 13. Économistes et philosophes : ces Messieurs n’apparaissent ici que pour impressionner le public. Je n’ai pas beso
20 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
56 omme qui me conduit est le propriétaire actuel. «  Monsieur connaît Hölderlin ? — questionne-t-il, méfiant — bon, bon, parce qu’i
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
57 est en fait l’esprit démocratique. Là-dessus, ces messieurs se lamentent, la jeunesse d’aujourd’hui, etc. Évidemment. Mais il y a
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
58 er d’huile de foie de morue avant le repas, et le monsieur qui racontait gravement des choses qu’on ne comprend pas, la prière d
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
59 ordés à l’actuelle division horaire des journées… Monsieur , répondent les fonctionnaires responsables, vous savez par expérience
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
60 cidément trop gros pour échapper plus longtemps à MM. les Inspecteurs des Écoles. Je le crains, dis-je ; car le monde ne pr
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
61 imples ; il serait vraiment dommage de priver ces Messieurs d’une aubaine pour eux si rare. Un fait simple, par exemple, c’est qu
62 de la sensibilité. (Le jour où l’on culbutera ces Messieurs de leurs sièges, ils comprendront le sens des images.) 9. J’emploie
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
63 es bien intentionnées viennent vous dire : « Mais Monsieur , M. Machin que vous attaquez est pourtant un très brave homme, il fai
64 te le cou. 13. Économistes et philosophes : ces Messieurs n’apparaissent ici que pour impressionner le public. Je n’ai pas beso
27 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
65 une terrible carence d’héroïsme intellectuel. Ces messieurs — et qui pensent — ont la chance de vivre à l’une des époques les plu
28 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
66 m’aura jamais adressée en cette vie : « Bonsoir, Monsieur , je suis fatigué, je vais au lit… » C’était au vestiaire, il enfilait
67 es pour la fantaisie, c’est bien joli !… » — Non, Monsieur , ce n’est pas joli, ce n’est pas fantaisie. Je parle simplement de vé
68 au hasard, et pour rien ni personne. Sur quoi : «  Monsieur a du temps à perdre ! » s’écrie le lecteur, et comme il est, lui, de
29 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
69 Quant aux documents sur la folie de Hölderlin que MM. Groethuysen et Jouve ont choisis et traduits à la suite des poèmes, i
30 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
70 soit-il. Un pessimisme aussi féroce que celui de MM. Malraux, Nizan, etc., ne laisse plus subsister assez d’idéal pour nou
31 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
71 l’organisation du monde-termitière type Lénine ou Ford . Soucieux de comprendre notre temps avant de le condamner ou de l’abs
32 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
72 sement par exemple. Que l’on songe à l’œuvre d’un Ford , ou à celle de presque tous nos hommes d’État. Le privilège admirable
33 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
73 ments de la jeunesse d’après-guerre. La Claire de M. Chardonne a rallié tous les suffrages féminins, et classe son auteur
34 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
74 e de messages adressés aux Princes des Prêtres, à MM. les Députés, au chef du gouvernement. L’on s’étonne que M. Duhamel n’
35 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
75 la violence, tel que nous le connaissons, est un monsieur qui soutient la police, chargée de réprimer violemment ceux qui n’acc
36 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
76 averti des vraies valeurs de ce temps. Il réfute MM. Berl et Guéhenno, sur la question de la culture dans ses rapports ave
77 opte enfin une position assez voisine de celle de MM. Aron et Dandieu, sans aller jusqu’à prôner comme ils le font « la rév
37 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
78 et vint à nous avec un sourire d’opérette : « Les Messieurs sont vraiment gentils ! » Il n’y avait plus qu’à lui prendre chacun u
38 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
79 amé qui sont presque des dames, et aussi de vrais messieurs et de vraies dames : ils montent et descendent de toutes parts, du ha
39 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
80 m’aura jamais adressée en cette vie : « Bonsoir, Monsieur , je suis fatigué, je vais au lit… » C’était au vestiaire, il enfilait
81 tes pour la fantaisie, c’est bien joli ! » — Non, Monsieur , ce n’est pas joli, ce n’est pas fantaisie. Je parle simplement de vé
82 au hasard, et pour rien ni personne. Sur quoi : «  Monsieur a du temps à perdre ! » s’écrie le lecteur, et comme il est, lui, de
40 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
83 omme qui me conduit est le propriétaire actuel. «  Monsieur connaît Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant — bon, bon, parce qu’il
41 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
84 Biedermann). 18. Comme dit l’A. O. Barnabooth de M. Valery-Larbaud.
42 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
85 drèrent légitimement. Il fallait voir comment ces Messieurs de la Cour accueillaient certaines tirades sur le fameux principe de
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
86 amé qui sont presque des dames, et aussi de vrais messieurs et de vraies dames : ils montent et descendent de toutes parts, du ha
44 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
87 m’aura jamais adressée en cette vie : « Bonsoir, Monsieur , je suis fatigué, je vais au lit… » C’était au vestiaire, il enfilait
45 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
88 re. L’homme qui me conduit est le propriétaire. «  Monsieur connaît Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant — bon, bon, parce qu’il
46 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
89 Biedermann. 16. Comme dit l’A. O. Barnabooth de M. Valéry Larbaud. 17. Il s’agit des Méfaits de l’instruction publique
47 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
90 ous n’avez plus d’argent, c’est tout d’un coup le monsieur qui ne tient pas à ce que vous lui causiez des ennuis. Débrouillez-vo
91 s, quelqu’un sortait en robe de chambre, un vieux monsieur , pour arroser au tuyau ses arbustes. Soudain, passant la tranche ocré
92 ervice à côté du portail d’un ministère. Un vieux monsieur très grand, vêtu de noir, aux pantalons étroits, aux longs souliers p
93 humain », sur les modèles récemment présentés par MM. Hitler et Staline. Je m’en tiens là dans mes jugements. J’arrive à pe
48 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
94 ent beaucoup d’ampleur sur le terrain préparé par Ford . Une récente enquête publiée en volume chez Macmillan sous ce titre :
49 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
95 sérieux des fumistes. Nous appelons fumistes ces messieurs qui nous interrogent avec politesse sur nos intentions et nos buts, à
50 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
96 ans les Débats, ces jours derniers, les écrits de MM. Fernandez2 et Guéhenno. Si intéressants et précis que soit l’un dans
51 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
97 Ce bourrage de crâne réalisé sur une échelle que Ford n’avait imaginée qu’en rêve, c’est la tentative désespérée de Staline
52 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
98 avait pas répondu au défi qu’ils lui adressaient. MM. Dupuis et Marc comblent aujourd’hui une lacune qui justifiait trop bi
53 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
99 e virulence ? Les essais que viennent de traduire MM. Pierre Maury et A. Lavanchy sous le titre Parole de Dieu et Parole hu
54 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
100 res semaines dans les rues de Paris. À part cela, M. de Rougemont, malgré ses appels à Luc, n’a pas répondu à notre questi
55 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
101 France ce qu’il avait fait en exil : « J’ai vécu, Monsieur , c’est bien assez ! ». Ou bien le primum vivere se révèle imparfait ;
56 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
102 it arrêté un beau matin par deux inspecteurs. Ces messieurs lui apprennent qu’il est inculpé, mais ils ne savent pas de quoi et n
57 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
103 ouveau », cela paraissait un peu bien jeune à ces Messieurs . L’incident du 6 février les a fait réfléchir, semble-t-il. Nous sero
58 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
104 . Cet article y parut, « confronté » avec ceux de MM. Mounier, Maritain, Philip, Berdiaev et Dulot. 31. L’Église « corps d
59 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
105 rente. Qu’il me suffise de rappeler les écrits de MM. Fernandez41 et Guéhenno. Si intéressant et précis que soit l’un dans
60 1934, Politique de la personne. Appendice — 2. Loisir ou temps vide ?
106 Ce bourrage de crâne réalisé sur une échelle que Ford n’avait imaginée qu’en rêve, c’est la tentative désespérée de Staline
61 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
107 . Cet article y parut, « confronté » avec ceux de MM. Mounier, Maritain, Philip, Berdiaev et Dulot. 24. L’Église « corps d
62 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
108 rente. Qu’il me suffise de rappeler les écrits de MM. Fernandez34 et Guéhenno. Si intéressant et précis que soit l’un dans
63 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 2. Loisir ou temps vide ?
109 Ce bourrage de crâne réalisé sur une échelle que Ford n’avait imaginée qu’en rêve, c’est la tentative désespérée de Staline
64 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
110 lui fait une publicité tapageuse. Et l’adultère, Messieurs  ? serait-ce une spécialité russe ? — Ou alors, dites clairement que l
65 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
111 s issus de la bourgeoisie et de la noblesse. 21. M. de la Rocque se vante de n’en avoir aucune. Pas d’idées, pas de plan,
66 1935, Esprit, articles (1932–1962). Albert Soulillou, Nitro (février 1935)
112 ’est un ouvrier qui parle. D’avoir travaillé chez Ford ne donne pas forcément plus de valeur que d’avoir traîné son vague à
67 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
113 araître dans la belle collection philosophique de MM. Lavelle et Le Senne, appartient à la première période de la pensée ki
68 1935, Articles divers (1932-1935). Lettre à la rédaction de Commune (mai 1935)
114 Lettre à la rédaction de Commune (mai 1935)t u Monsieur , Votre petite note sur mon livre illustre une fois de plus la mauvais
69 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
115 s, des statistiques et des plans fabuleux. 30. «  Ford , c’est Descartes descendu dans la rue », écrivaient Aron et Dandieu d
70 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
116 à protéger, derrière les troupes disciplinées de M. de la Rocque. À vrai dire, on ne voit guère à droite que ce colonel.
117 es qu’avait pu faire naître le silence prudent de M. de la Rocque. Le fascisme, en effet, est une mystique de la jeunesse 
118 ts. Le fascisme est anticapitaliste (en théorie), M. de la Rocque ne condamne du capitalisme que ses « parasites ». Enfin,
119 on de faire ici le procès de la morale que défend M. de la Rocque, et nous rendrons bien volontiers l’hommage qu’elle récl
120 notre chapeau aux lieux communs dont le livre de M. de la Rocque a le courage de rappeler la vertu, rions à notre tour du
121 « Les programmes sont des aboutissements », écrit M. de la Rocque. Et il ajoute, non sans logique : « J’ai imposé la prior
122 Robert Aron) Qui ne veut même pas le savoir ? Car M. de la Rocque, au lieu de s’expliquer, comme il l’annonce, se borne à
123 ste ; à condition que les réalisateurs qu’appelle M. de la Rocque aboutissent à autre chose qu’à la restauration des majus
124 révolutionnaire, pas d’action révolutionnaire ». M. de la Rocque haussera les épaules : il ne se pose pas en révolutionna
125 donner en exemple à l’Europe. 27. Et aussi sur M. de la Rocque. 28. Par exemple un essai de front commun allant des Vo
71 1936, Tapuscrits divers (1936-1947). [Compte rendu] Henri de Man, L’Idée socialiste (1936)
126 ar hasard que le nom de Sorel hante le lecteur de M. de Man. Le rapprochement, l’opposition de ces deux auteurs illustre d
127 tionnel reste absolument étrangère à la pensée de M. de Man.) Ceci s’explique d’abord, comme je le disais tout à l’heure,
128 Mais cela s’explique aussi par la personnalité de M. de Man. Nous n’avons pas affaire ici à un intellectuel détaché — ce q
129 se de ses applications prochaines et nécessaires. M. de Man est aujourd’hui ministre ; il était naguère professeur ; mais
130 e de l’un de ses précédents ouvrages l’indiquait, M. de Man veut aller Au-delà du marxisme. Il ne s’agit pas de renier le
131 ble échec de la théorie matérialiste que se fonde M. de Man pour affirmer la nécessité d’une orientation toute nouvelle du
132 ne orientation toute nouvelle du socialisme. Pour M. de Man, en effet, le socialisme n’est pas seulement un mouvement ouvr
133 e avec force la puissance concrète des idées, que M. de Man se place réellement au-delà du marxisme. On a parlé à ce propo
134 u marxisme orthodoxe, qui fit de nécessité vertu. M. de Man paraît d’ailleurs l’avoir récusé par avance : « L’idéal, écrit
135 ger l’action vers des fins déterminées ». Lorsque M. de Man parle de la puissance des idées, il n’entend point parler des
136 monde, orientée par une vision finale et totale. M. de Man, qui n’hésite pas à citer saint Augustin, Luther ou le P. Sert
137 domaine de la culture, auquel revient sans cesse M. de Man : sans une hiérarchie de valeurs suspendue à une fin bien défi
138  politique d’abord » et l’« économique d’abord », M. de Man affirme à sa façon — qui est d’un humaniste — la primauté du s
72 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
139 lui fait une publicité tapageuse. Et l’adultère, Messieurs  ? serait-ce une spécialité russe ? — Ou alors, dites clairement que l
73 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
140 a été détourné de ses fins humaines par Taylor et Ford  ; que le mécanisme et « l’intellectualisme décharné » ont provoqué de
141 , Spengler et M. Tailledet, etc., etc. À tous ces messieurs et dames, on oppose M. Stakhanov, champion mineur de l’URSS. L’erreur
74 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
142 éjà longue — quarante-cinq volumes, sauf erreur — M. le pasteur Wilfred Monod nous a donné une œuvre aussi exceptionnelle
75 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
143 on ; qu’il dise au financier : « Entre nous, cher monsieur , tout cela n’a guère d’importance, c’est une simple question d’argent
144 1937 ? On se demande non sans angoisse ce que ces messieurs comptent y mettre…
76 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — II. D’une culture qui parle dans le vide
145 s héréditaires), ils se firent qualifier de here ( monsieur ), se bâtirent en ville des « steenen » (manoirs en pierre), servirent
77 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
146 t, qu’il veut être « Français d’abord », c’est un monsieur qui exagère, c’est un chauvin, et en tous cas un homme de droite47. E
78 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
147 représente. D’où l’ascétisme du capitaliste, type Ford ou Stinnes — son affectation de vie simple et son mépris des fins hum
148 endra sans peine la belle ruse de certains de ces Messieurs , et pourquoi en particulier les thèses marxistes bénéficient d’une fa
79 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
149 eu : ils traiteront Gide de bourgeois libéral, de monsieur susceptible et réactionnaire. Si l’on accepte vraiment le marxisme, p
80 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
150 on ; qu’il dise au financier : « Entre nous, cher monsieur , tout cela n’a guère d’importance, c’est une simple question d’argent
151 937. On se demande, non sans angoisse, ce que ces messieurs comptent y mettre…
81 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — II. D’une culture qui parle dans le vide
152 s héréditaires), ils se firent qualifier de here ( monsieur ), se bâtirent en ville des « steenen » (manoirs en pierre), servirent
82 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
153 t, qu’il veut être « Français d’abord », c’est un monsieur qui exagère, c’est un chauvin, et en tous cas un homme de droite48. E
83 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
154 représente. D’où l’ascétisme du capitaliste, type Ford ou Stinnes — son affectation de vie simple et son mépris des fins hum
155 endra sans peine la belle ruse de certains de ces Messieurs , et pourquoi en particulier les thèses marxistes bénéficient d’une fa
84 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
156 r de leur pays. Je pense aux ouvrages publiés par MM. Henri Strohl, J. Vignaud et Lucien Febvre et aux cours, qu’ont profes
157 d et Lucien Febvre et aux cours, qu’ont professés MM. Jean Baruzi et E. Gilson, pour ne rien dire — mais cela va de soi — d
158 l’individu et le Sort, cette idole païenne ? C. M. — J’ai besoin de le croire pour agir. L. — Mais qu’est-ce qu’agir ?
159 à les découvrir ? Au besoin, à les inventer ? C. M. — Certes, mais ma dignité consiste à lutter contre de telles forces,
160 L. — Tu crois donc détenir un tel pouvoir ? C. M. — Il me suffit de vouloir l’affirmer. L. — Soit, c’est une hypothèse
161 a croix. Non seulement prévu, mais accompli ! C. M. — Si c’était vrai, je préférerais encore nier ce Dieu, qui prétend vo
162 l’éternité qui vient nous délivrer du temps ? C. M. — Mais mon temps est vivant, et plein de nouveauté, de création ! Ton
163 vent, sur cette erreur des plus grossières ?… C. M. — On peut aussi nier l’éternité, et affirmer que seul existe notre te
85 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
164 nversement ? Ils ont bien l’air de le croire, ces messieurs . Pourtant : on lit de moins en moins, en France, où rien n’entrave la
86 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
165 de d’autarchisme panique, l’on peut bien dire que Ford apparaît sain si on l’oppose aux dictateurs fascistes ! Enfin la résu
87 1937, Articles divers (1936-1938). À qui la liberté ? (5 mars 1937)
166 ondamentaux sur lesquelles s’édifiait la culture. M. de la Rocque défend ce qu’il appelle « la primauté de l’esprit ». Il
167 que, on peut être à peu près certain que ces deux messieurs défendent en réalité le contraire de l’esprit et de la liberté, c’est
88 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
168 r de leur pays. Je pense aux ouvrages publiés par MM. Henri Strohl, J. Vignaud et Lucien Febvre, et aux cours qu’ont profes
169 d et Lucien Febvre, et aux cours qu’ont professés MM. Jean Baruzi et E. Gilson, pour ne rien dire — mais cela va de soi — d
170 l’individu et le Sort, cette idole païenne ? C. M. — J’ai besoin de le croire pour agir. L. — Mais qu’est-ce qu’agir ?
171 à les découvrir ? Au besoin, à les inventer ? C. M. — Certes, mais ma dignité consiste à lutter contre de telles forces,
172 L. — Tu crois donc détenir un tel pouvoir ? C. M. — Il me suffit de vouloir l’affirmer. L. — Soit, c’est une hypothèse
173 a croix. Non seulement prévu, mais accompli ! C. M. — Si c’était vrai, je préférerais encore nier ce Dieu qui prétend voi
174 l’éternité qui vient nous délivrer du temps ? C. M. — Mais mon temps est vivant, et plein de nouveauté, de création ! Ton
175 ent, sur cette erreur des plus grossières ? … C. M. — On peut aussi nier l’éternité, et affirmer que seul existe notre te
89 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
176 , vivement : « Jamais je n’ai engagé de chômeurs, Monsieur , c’est un principe. Nous ne voulons que des ouvriers honnêtes. Pensez
177 tendu parler de nous. Rien à faire : je suis un «  monsieur  ». La fille rentre : une forte femme, environ 35 ans, un peu masculin
178 Pendant qu’elle fait la pesée : « C’est pour qui, Monsieur , sans indiscrétion ? » Je dis mon nom. — Est-ce que vous écrivez des
179 est gênant. Un homme me disait l’autre jour : Ah, monsieur le pasteur, si on pouvait entrer par-derrière, par la porte de la sac
90 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
180 ver, il me semble ? — Je ne pense pas comme vous, Monsieur , mais il a tort pour la lessive. Voyez-vous ils sont trop orgueilleux
91 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
181 sujet de ce soir : Qu’est-ce qu’être laïque ? — «  Messieurs , chers amis ! Je vous rappellerai tout d’abord les circonstances qui
182 à la physionomie ouverte et sérieuse. « Eh bien, Messieurs et chers amis, nous allons procéder, selon votre coutume, à l’électio
183 aux copains de la salle. Le président se lève : «  Messieurs et dames, vous m’excuserez de ne pas vous présenter l’orateur qui va
184 sir, tenez ! Bien sûr, vous avez raison, mon cher Monsieur . Mais c’est plus difficile que vous ne croyez. Il faut que je vous di
185 Un intellectuel en chômage, ce serait en somme un monsieur un peu fatigué et qui se donnerait quelques vacances cérébrales ? Jol
186 e conversation que j’aurais dû noter plus tôt. Le monsieur rencontré dans l’autocar de Taillefer voulait savoir quel était mon m
187 meur par-dessus le marché, il s’écria : « Ah cher Monsieur , je vous envie ! Vous avez un rôle magnifique à jouer dans la société
188 ous qui ne croyons plus aux curés ! » — « Comptez Monsieur , lui dis-je, qu’un écrivain a bien deux fois plus de peine à vivre qu
189 e craignais. (On peut donc gouverner sans être un monsieur en haut de forme ? Il a l’air d’un brave type comme nous autres. Rêve
92 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
190 , vivement : — Jamais je n’ai engagé de chômeurs, monsieur , c’est un principe. Nous ne voulons que des ouvriers honnêtes. Pensez
191 tendu parler de nous. Rien à faire : je suis un «  monsieur  ». La fille rentre : une forte femme, environ 35 ans, un peu masculin
192 Pendant qu’elle fait la pesée : — C’est pour qui, monsieur , sans indiscrétion ? Je dis mon nom. — Est-ce vous qui écrivez des ar
193 est gênant. Un homme me disait l’autre jour : Ah, monsieur le pasteur, si on pouvait entrer par-derrière, par la porte de la sac
194 eurs spirituelles. 10 mars 1935 Question à Messieurs les Sociologues. — De Man écrit dans l’idée socialiste, p. 394 : « Un
195 ver, il me semble ? — Je ne pense pas comme vous, Monsieur , mais il a tort pour la lessive. Voyez-vous ils sont trop orgueilleux
93 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
196 blant de colère : « Vous avez de la place à côté, Monsieur . » Il n’entend rien. Que va-t-il se passer ? Simplement il se lève à
94 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
197 sujet de ce soir : Qu’est-ce qu’être laïque ? — «  Messieurs , chers amis ! Je vous rappellerai tout d’abord les circonstances qui
198 lure, physionomie ouverte et sérieuse. « Eh bien, messieurs et chers amis, nous allons procéder, selon votre coutume, à l’électio
199 aux copains de la salle. Le président se lève : «  Messieurs et dames, vous m’excuserez de ne pas vous présenter l’orateur qui va
200 sir, tenez ! Bien sûr, vous avez raison, mon cher monsieur . Mais c’est plus difficile que vous ne croyez. Il faut que je vous di
201 e conversation que j’aurais dû noter plus tôt. Le monsieur rencontré dans l’autocar de Taillefer voulait savoir quel était mon m
202 r par-dessus le marché, il s’écria : — Ah ! cher monsieur , je vous envie ! Vous avez un rôle magnifique à jouer dans la société
203 , nous qui ne croyons plus aux curés ! — Comptez, monsieur , — lui dis-je, — qu’un écrivain a bien deux fois plus de peine à vivr
204 e craignais. (On peut donc gouverner sans être un monsieur en haut de forme ? Il a l’air d’un brave type comme nous autres. Rêve
95 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
205 it du latin, aux Éditions « Je sers ». Préface de M. le professeur A. Jundi. q. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Lut
96 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
206 e conversation que j’aurais dû noter plus tôt. Le monsieur rencontré dans l’autocar de Taillefer voulait savoir quel était mon m
207 ur par-dessus le marché, il s’écria : « Ah ! cher monsieur , je vous envie ! Vous avez un rôle magnifique à jouer dans la société
208 nous qui ne croyons plus aux curés ? » — Comptez, monsieur , lui dis-je, qu’un écrivain a bien deux fois plus de peine à vivre qu
97 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
209 illois, A. Miatlev, Brice Parain, Henry Petit, A. M. Petitjean, Marius Richard, Armand Robin, D. de Rougemont, Michel Seup
98 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
210 e de hargne, c’est un miracle qui défie l’époque. M. de Lacretelle, dans sa préface, déclare fort justement qu’il s’acquit
99 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
211 les Chambres, il s’écriera : « Prenez conscience, Messieurs , que depuis vingt années nous vivons et nous gouvernons en pleine idé
100 1938, Tapuscrits divers (1936-1947). L’esprit totalitaire et les devoirs de la personne (mai 1938)
212 réable de traiter de fasciste ou de communiste le Monsieur dont la tête ne vous revient pas, et cette injure est d’autant plus f