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n tour quand il tire argument contre une thèse de
M. Marcel
de ce qu’elle « mène loin… dans l’ordre moral ». Et quand cela serait
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es jeunes publie dans son numéro du 15 février15.
M. Marcel
analyse trois attitudes typiquement sécularistes : la philosophie des
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communiste, est encore plus dur que l’article de
M. Marcel
, catholique, à l’endroit d’un philosophe caractérisé, nous dit-on, pa
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partout ailleurs, qu’en cette commune antipathie,
M. Marcel
et M. Nizan s’opposent avec une netteté d’autant plus significative q
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moins où il écrivait L’Homme du ressentiment 47,
M. Marcel
est catholique. Sa méditation sur le Mystère ontologique est la premi
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e sa pensée, par rapport au Journal métaphysique.
M. Marcel
est un de ceux dont nous devons attendre qu’il fasse passer de l’air
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t le triste Cicéron, et Montaigne l’en loue. Pour
M. Marcel
, on lui ferait plus volontiers dire que philosopher, c’est apprendre
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éfinissable de l’être. « Il faut qu’il y ait, dit
M. Marcel
, ou il faudrait qu’il y eût de l’être, que tout ne se réduisît pas à
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ce, — elles sont inséparables jusqu’au bout, note
M. Marcel
, qui m’apparaît ici très « dialectique » — démarche de la création qu
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nt avec Kierkegaard me paraît s’imposer ici. 49.
M. Marcel
introduit ici le motif du recueillement, qui lui paraît essentiel à t
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». Je ne vois pas où le recueillement décrit par
M. Marcel
trouverait sa place, entre la prière et l’acte, seuls moments d’unité
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son article intitulé : Existence et objectivité.
M. Marcel
distingue « entre les données susceptibles de fournir la matière d’un
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lements internationaux, dont l’un de nos membres,
M. Marcel
van Zeeland, est premier directeur général. Sont étudiés les problème