2
il suffit de quelques mois aux jeunes époux de la
Maladère
pour se déprendre de leurs rêves. Un malentendu grandit entre eux dan
3
de l’effet, aux dernières pages. Il règne dans la
Maladère
une étrange harmonie entre le climat des sentiments et celui des camp
4
joue brûlante et fraîche dans le vent. Et dans la
Maladère
, un arbre coupé découvrant le manoir perdu, des fumées sur un paysage
5
ont Denis de, « [Compte rendu] Bernard Barbey, La
Maladère
», Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, février 1927