1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Cécile-Claire Rivier, L’Athée (mai 1926)
1 ai-je que l’abus des points d’exclamation — trait commun à presque toutes les femmes auteur, et qui plaît aux lectrices — m’ag
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
2 Avant-propos (décembre 1926)a b Une mauvaise humeur qui flotte dans l’air nous
3 té sans doute divine… a. Rougemont Denis de, «  Avant-propos  », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fribourg, décem
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
4 Je ne sais comment j’y parvins. Je crois que j’ai marché plusieurs heures avant de retrouver ma rue. Il doit être maintenant 5
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
5 oût 1927)an Ces trois nouvelles n’ont guère de commun entre elles que la forme : ce sont de lentes réminiscences, des évoca
5 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
6 uve toujours des clients, quel que soit l’état du marché . » Il semble que cela soit tout à l’avantage du client. Mais cherchon
7 tendu qu’une cause accessoire. Dire que l’état du marché est tel que le client n’achète plus, cela signifie parfois que la mar
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
8 Avant-propos Le dire une bonne fois. Il ne faut pas songer à décrire en quarante
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
9 d’exception, et les réduit avec acharnement à son commun dénominateur4. Nos bourgeois assistent sans honte à ce crime quotidie
10 se le développement de leurs penchants les plus «  communs  » : jalousie, vanité, panurgisme, concurrence sournoise, admiration d
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
11 ve ? L’instruction publique est la forme la plus commune de la peste rationaliste qui sévit dans le monde depuis le xviiie (d
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
12 Avant-propos Le dire une bonne fois.   Il ne faut pas songer à décrire en 50 pet
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
13 d’exception, et les réduit avec acharnement à son commun dénominateur 4. Nos bourgeois assistent sans honte à ce crime quotidi
14 se le développement de leurs penchants les plus «  communs  » : jalousie, vanité, panurgisme, concurrence sournoise, admiration d
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
15 rve ? L’instruction publique est la forme la plus commune de la peste rationaliste qui sévit dans le monde depuis le xviiie (d
12 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
16 ons celui des races de la Terre. Non plus une foi commune , mais une moyenne de nos manières d’être. Une sorte de commun dénomin
17 une moyenne de nos manières d’être. Une sorte de commun dénominateur… (Le christianisme en connaît un, depuis toujours : il l
13 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
18 rire dans ses effets, et qui paraît affecter d’un commun penchant au libertinage mental trois phénomènes littéraires partout a
14 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
19 des connaissances plus complètes que l’expérience commune  ?” Depuis (et même avant) que Saint-Augustin a formulé cette question
15 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
20 fuite : n’est-il pas cet Objet qui n’ait rien de commun avec ce que tu sais de toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce serai
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
21 met de les identifier au premier coup d’œil, ce «  commun dénominateur » d’expression et de masques si dissemblables, n’est-ce
17 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
22 qui menace ». Mais partout ailleurs, qu’en cette commune antipathie, M. Marcel et M. Nizan s’opposent avec une netteté d’autan
18 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
23 e rechercher ce que ces artistes peuvent avoir de commun , ce qu’ils doivent à leur origine ou à leur foi réformée, — et si ces
19 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
24 égligent volontiers ce qui les rend semblables au commun des mortels ; bref, plus ou moins inconsciemment, ils contribuent à c
25 itude qui se dégage lentement d’une profusion peu commune de petits faits, de personnages et de descriptions des lieux où ils v
20 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
26 ue formulèrent les romantiques allemands. Rien de commun avec un Renan, un France. a. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] R
21 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
27 romantiques et de frissons anarchiques. Le thème commun , c’est sans doute l’atrocité de la « vie normale », ou si l’on préfèr
22 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
28 a mort, la peur, la maladie. Et la joie, ce point commun , « ce point qui est au-delà de la vie ». Le communisme qui règne au j
23 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
29 s leur habitus individuel bien plus que dans leur commune grandeur. Seule la croyance en une analogie universelle des réactions
30 t divergentes, une attitude humaine qui me paraît commune . Que Goethe ait pratiqué « le devis des choses grandes et secrètes »
31 ours renouvelées. Mais il y faut une prudence peu commune , et même tellement soutenue qu’elle informe peu à peu une sorte d’ins
24 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
32 les deux termes, faute d’être assumés sur le plan commun de la conscience où ils s’exalteraient en s’opposant franchement, tir
25 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
33 insisterais pas, si ces traits ne me paraissaient communs à beaucoup de jeunes intellectuels marxistes, en France particulièrem
26 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
34 Cause commune (avril-juin 1932)b c Mon cher Trolliet, Le pauvre diable obligé de
35 tre part, elles définissent suffisamment la cause commune de la jeunesse européenne. L’humanisme n’est rien s’il n’est commun c
36 sse européenne. L’humanisme n’est rien s’il n’est commun comme le péril qui nous menace ; s’il ne considère avant tout la comm
37 qui nous menace ; s’il ne considère avant tout la commune condition humaine et sa défense contre un système dont l’action disso
38 re humain total. b. Rougemont Denis de, « Cause commune  », Présence, Lausanne et Genève, avril–juin 1932, p. 12-15. c. Précé
27 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
39 fuite : n’est-il pas cet objet qui n’ait rien de commun avec ce que tu sais de toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce serai
28 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
40 re 1932)i Est-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il
41  ; et certains de leurs objectifs respectifs sont communs … Déjà s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un véritable acte
29 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
42 in, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en commun avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte contre le capitalism
30 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
43 fuite : n’est-il pas cet objet qui n’ait rien de commun avec que ce que tu sais de toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce s
31 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
44 re pour quoi ni protester, et ce n’est plus qu’au marché noir qu’on trouve encore des nourritures authentiques pour les corps
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
45 iennent pour responsable, et par l’erreur la plus commune , l’en nomment si bien le représentant qu’il lui faut à la fin se la r
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
46 ives sont intactes, minutieusement tenues par les communes les plus modestes, et tenues depuis plusieurs siècles pour une beauco
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
47 s. Je note pourtant que l’un des traits qu’ont en commun presque toutes les anciennes familles de ce pays manque à la mienne :
35 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
48 e l’Église comme de deux choses qui n’ont rien en commun . » Il constate que l’Église est intervenue dans la vie quotidienne en
36 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
49 bération ». La liberté fait plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face. Tant qu’elle rest
37 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
50 ; si le labeur et le repos n’ont plus de finalité commune  ; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dans le loi
51 Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sens : dans l’actualité de l’être, où ils ne seront plus que les temp
38 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
52 désignent des réalités éthiques qui n’ont rien de commun avec l’acte, le risque et le choix dont parle la théologie dans sa di
39 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
53 n de tout ce qui n’est pas l’État : départements, communes , corporations, familles, individus. Dans le premier cas il doit accom
40 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
54 ns, combien d’intellectuels parmi les lecteurs de Commune  ? j. Rougemont Denis de, « Pour qui écrivez-vous ? », Commune, Par
55 Rougemont Denis de, « Pour qui écrivez-vous ? », Commune , Paris, janvier–février 1934, p. 571-572. k. Le texte de Rougemont e
56 st entrecoupé d’un commentaire de la rédaction de Commune .
41 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
57 vice civil de l’autre. Tension organique entre la commune et la région d’une part, et la fédération de l’autre.) Les principes
58 hommes qui se rencontrent pour exécuter une tâche commune , soit que l’un vienne en aide à l’autre (c’est la définition chrétien
59 nos « valeurs » ne seront jamais cotées sur leurs marchés . Mais nous nous adressons à des hommes réveillés. Nous n’appelons pas
42 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
60 blique. Elles ont encore un autre nom, et qui est commun à toutes : c’est le Nombre, c’est peut-être Légion… Sans doute n’avon
43 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
61 ion ce lyrisme de l’isolement, c’est un des tours communs de l’orgueil romantique. On a coutume d’en rendre Rousseau responsabl
44 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
62 t les coutumes du citoyen moderne ont perdu toute commune mesure. Que se passerait-il si un beau jour le public se mettait à l’
45 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
63 mme Nietzsche, avec lequel il a pas mal de traits communs , Kierkegaard nous laisse un ouvrage d’autocritique2 où il dégage le s
46 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
64 é d’une prise de conscience révolutionnaire. Lieu commun pour cette génération : la violence véritable est celle des construct
65 méro une conception spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gau
66 l n’en reste pas moins que le fondement spirituel commun à ces deux groupes se confond presque intégralement avec celui qu’un
47 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
67 même d’évangélisation. Il s’agissait de mettre en commun des difficultés intimes, d’entrer dans le concret du christianisme. U
68 ivant une échelle de salaires basés sur l’état du marché . » On le met en prison. Il y écrit en treize jours un roman : L’Arche
48 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
69 rait en citer quelques autres. Qu’ont-ils donc de commun , génie à part ? Peut-être leurs souffrances seulement. Mais s’il n’es
70 e, nous allons quelquefois à l’église déplorer en commun l’athéisme du monde. « Le Nouveau Testament suppose sans autre que le
71 elle te méprisera sans doute, mais c’est le sort commun , tu ne cours pas grand risque. Si tu dis non, si tu agis, elle te tue
49 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
72 e efficace — que si elle ordonne ses œuvres à une commune mesure humaine. Mais notre siècle est justement le siècle de la décad
73 rier, écrit Rudolf Kassner, n’ont presque plus en commun que des banalités. » Mais quelle est la nature de ces banalités ? L’a
74 pensable, c’est avouer qu’il n’y a plus de mesure commune à la pensée et à l’action, — hors la monnaie. Un monde sans mesure, c
75 — et d’autant plus profondément enraciné dans la commune condition humaine. Rendez à l’écrivain la responsabilité de ses écrit
76 les masses, parce qu’elle restaure une conscience commune . Nous voyons aussi le bourgeois s’émerveiller de ce rajeunissement. C
77 de l’humain et qu’elle créera dans la perspective commune . Restaurer le prestige de la culture, cela ne va pas à la spéculation
50 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
78 ment15. Empressons-nous de dire qu’il n’a rien de commun avec le vague fantôme qu’évoquent les magiciens du Plan. Enfin, le Pl
51 1934, Politique de la personne. Introduction — 2. Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
79 e, mais bien, et quoi qu’on veuille, jouer le jeu commun . C’est condamner ou absoudre après coup des passions collectives sur
52 1934, Politique de la personne. Introduction — 5. En dernier ressort
80 relative, vouée dès sa naissance à la dégradation commune . Et l’on retombe alors dans l’idéologie désespérante du Progrès. Pour
81 de circonstance qui n’ont parfois rien d’autre en commun pour la forme que les défauts de l’improvisation, je ne crois pas un
53 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
82 blique. Elles ont encore un autre nom, et qui est commun à toutes : c’est le Nombre, c’est peut-être Légion… Sans doute n’avon
54 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
83 l’individu et la suppression de l’État, sont sans commune mesure avec les moyens qu’il met en œuvre. Ou mieux encore : les moye
55 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
84 ent que la vie, ils savent trop bien jouer le jeu commun . Le croyant rit un peu de ces adresses. Il s’amuse parfois à perdre
56 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — IX. Antimarxiste parce que chrétien
85 le plus prochain. Pour plus tard et par-dessus le marché , il promet la libération individuelle. C’est exactement le contraire
86 ons, il n’y a ni passage, ni compromis, ni points communs , ni rien. Il n’y a que la mort. Tout ce que je viens de dire, je voud
87 l. Je crois littéralement qu’il n’y a aucun point commun de doctrine entre un communiste sincère et un chrétien obéissant. Ils
57 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
88 le plan des doctrines, qu’une seule revendication commune  : l’étatisme. Tout ce qui n’est pas accidentel dans le fascisme et l’
58 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
89 s termes :   Est-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il
90 appuis occasionnels ; et certains objectifs sont communs … Déjà s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un acte de présen
91 in, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en commun avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte contre le capitalism
59 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
92 vice civil de l’autre. Tension organique entre la commune ou la région d’une part, et la fédération de l’autre.) Je ne puis m’a
93 hommes qui se rencontrent pour exécuter une tâche commune , soit que l’un vienne en aide à l’autre (c’est la définition chrétien
94 nos « valeurs » ne seront jamais cotées sur leurs marchés . Mais nous nous adressons à des hommes réveillés. Nous n’appelons pas
60 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
95 veté primaire n’auraient-ils pas quelque chose en commun  ? Vous voulez seulement « réussir », mais vous ne voulez pas qu’on vo
96 uent d’humour.) Anonymat Ils ont un « front commun  », mais ils n’ont plus de visages particuliers. Deux mythes Le
61 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIV. Tactique personnaliste
97 iction et leur sincérité. Fondés sur cette erreur commune , ils nous reprochent d’être sans « force » au service de nos vérités.
98 es oriente et leur donne à la fois une expression commune — des mots d’ordre — et une finalité vraiment nouvelle. C’est la doct
62 1934, Politique de la personne. Appendice — 1. Liberté ou chômage ?
99 bération ». La liberté fait plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face. Tant qu’elle rest
63 1934, Politique de la personne. Appendice — 2. Loisir ou temps vide ?
100 ; si le labeur et le repos n’ont plus de finalité commune  ; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dans le loi
101 Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sens : dans l’actualité de l’être, où ils ne seront plus que les temp
64 1934, Politique de la personne. Appendice — 3. Groupements personnalistes
102 é d’une prise de conscience révolutionnaire. Lieu commun pour cette génération : la violence véritable est celle des construct
103 méro une conception spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gau
104 t , mais qui n’a pas tardé à dévier vers le Front commun de M. Bergery. 75. Et depuis peu, plusieurs mouvements d’action pub
65 1934, Politique de la personne. Appendice — 4. Ni droite ni gauche
105 exercer sans nul intermédiaire, que ce soient les communes ou les corporations, les syndicats ou les fédérations. Les attardés q
66 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
106 un roman d’aventures, et même d’une intensité peu commune . Mais cet aspect-là, qui suffit d’ailleurs à rendre le livre passionn
67 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
107 teur voudrait d’ailleurs considérer comme le bien commun de sa génération. 1. L’indéfinissable concret Il ne faut pas est
108 ommun, ou plus exactement une réalité d’existence commune à des concepts très diversement définis par les philosophes de l’écol
68 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 2. Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
109 e, mais bien, et quoi qu’on veuille, jouer le jeu commun . C’est condamner ou absoudre après coup des passions collectives sur
69 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 5. En dernier ressort
110 relative, vouée dès sa naissance à la dégradation commune . Et l’on retombe alors dans l’idéologie désespérante du Progrès. Pour
111 de circonstance qui n’ont parfois rien d’autre en commun pour la forme que les défauts de l’improvisation, je ne crois pas un
70 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
112 e. Elles ont encore un autre nom, et qui leur est commun à toutes : c’est le Nombre, c’est peut-être Légion… Sans doute n’avon
71 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
113 l’individu et la suppression de l’État, sont sans commune mesure avec les moyens qu’il met en œuvre. Ou mieux encore : les moye
72 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
114 ent que la vie, ils savent trop bien jouer le jeu commun . Le croyant rit un peu de ces adresses. Il s’amuse parfois à perdre q
73 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — IX. Antimarxiste parce que chrétien
115 le plus prochain. Pour plus tard et par-dessus le marché , il promet la libération individuelle. C’est exactement le contraire
116 ons, il n’y a ni passage, ni compromis, ni points communs , ni rien. Il n’y a que la mort. Tout ce que je viens de dire, je voud
117 l. Je crois littéralement qu’il n’y a aucun point commun de doctrine entre un communiste sincère et un chrétien obéissant. Ils
74 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
118 le plan des doctrines, qu’une seule revendication commune  : l’étatisme. Tout ce qui n’est pas accidentel dans le fascisme et l
75 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
119 s termes :   Est-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il
120 appuis occasionnels ; et certains objectifs sont communs … Déjà s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un acte de présen
121 in, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en commun avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte contre le capitalism
76 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
122 vice civil de l’autre. Tension organique entre la commune ou la région d’une part, et la fédération de l’autre.) Je ne puis m’a
123 hommes qui se rencontrent pour exécuter une tâche commune , soit que l’un vienne en aide à l’autre (c’est la définition chrétien
124 nos « valeurs » ne seront jamais cotées sur leurs marchés . Mais nous nous adressons à des hommes réveillés. Nous n’appelons pas
77 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
125 veté primaire n’auraient-ils pas quelque chose en commun  ? Vous voulez seulement « réussir », mais vous ne voulez pas qu’on vo
126 uent d’humour.) Anonymat Ils ont un « front commun  », mais ils n’ont plus de visages particuliers. Deux mythes Le
78 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIV. Tactique personnaliste
127 iction et leur sincérité. Fondés sur cette erreur commune , ils nous reprochent d’être sans « force » au service de nos vérités.
128 es oriente et leur donne à la fois une expression commune — des mots d’ordre — et une finalité vraiment nouvelle. C’est la doct
79 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 1. Liberté ou chômage ?
129 bération ». La liberté fait plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face. Tant qu’elle rest
80 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 2. Loisir ou temps vide ?
130 ; si le labeur et le repos n’ont plus de finalité commune  ; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dans le loi
131 Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sens : dans l’actualité de l’être, où ils ne seront plus que les temp
81 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 3. Groupements personnalistes
132 méro une conception spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gau
82 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
133 er la fidélité au parti avant la fidélité au bien commun de la nation. Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît roul
134 itoyens de se désintéresser, en pratique, du bien commun . Et l’on admet alors qu’il existe deux morales, l’une privée et l’aut
135 rt du temps contradictoires, ou en tous cas, sans commune mesure. 5. Pour nous, personnalistes, c’est tout le contraire : la v
136 ’État — secteur organisé — et de la nation, idéal commun . Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant être normalemen
137 e réponse efficace, donneront du même coup un but commun aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les partis et leurs pauv
138 ront enfin une base, une perspective et un avenir commun à la politique, à la culture, à toutes les forces créatrices de ce pa
83 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
139 ganiquement articulé, c’est-à-dire dominé par une commune mesure.   3. — La culture ayant une mesure commune avec l’économique,
140 ommune mesure.   3. — La culture ayant une mesure commune avec l’économique, le social et le politique, la création intellectue
141 ou de quelque plan étatique, mais à partir d’une commune mesure et pour des fins dernières identiques.   4. — L’autorité cultu
84 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
142 glorification sans réserve de l’écrasement de la Commune fédéraliste, et à l’exaltation de l’étatisme actuel. Serait-ce tout s
85 1935, Articles divers (1932-1935). Lettre à la rédaction de Commune (mai 1935)
143 Lettre à la rédaction de Commune (mai 1935)t u Monsieur, Votre petite note sur mon livre illustre u
144 ivre illustre une fois de plus la mauvaise foi de Commune . Si vous aviez lu ce livre vous sauriez : 1° que je combats violemmen
145 . Rougemont Denis de, « Lettre à la rédaction », Commune , Paris, mai 1935, p. 1059. u. Publiée en réponse à une recension de
86 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
146 re des grossièretés, — en allemand, par-dessus le marché . Or, le ton de cette soirée avait été jusqu’à ce moment des plus poli
87 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
147 té des villes modernes, privés de toute espèce de commune mesure. L’un devenait tout petit, l’autre énorme. En effet, la cité d
148 qu’en tant que chrétiens nous échappons aux lois communes  ? Non pas ! Et gardons-nous ici de toute illusion optimiste ! Chrétie
149 a, et personne ne sait où il va. Il n’y a plus de commune mesure entre la pensée et l’action. La cité n’est plus dominée par un
150 a cité n’est plus dominée par une norme et un but commun . Ce sont les bases culturelles qui sont atteintes ! Et c’est pourquoi
151 n’aura pas reconstruit ces bases, et retrouvé la commune mesure. Donner de la soupe aux chômeurs, c’est très bien, mais cela n
152 ’est bien une tâche spirituelle : retrouver cette commune mesure de la pensée et de l’action, de la culture et de l’économie ;
153 es civilisations, c’est l’histoire de leur mesure commune , de leur règle centrale de pensée et d’action, ou si l’on veut, pour
88 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
154 is ce n’est pas là, n’est-ce pas, ce qu’on veut à Commune , revue officielle du PC. Il veut que le langage s’assouplisse au poin
89 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
155 historique capital sur lequel se fonde l’attitude commune des intellectuels révolutionnaires, qu’ils soient humanistes ou chrét
90 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
156 séparer de ces réalités trop terre-à-terre où le commun risquerait fort de ne le point distinguer nettement ? À coup sûr, il
157 ’est plus utile aux « réalistes » que la croyance commune à la valeur en soi de l’idéal. Cependant ces discours hypocrites ne f
158 déalistes romantiques) peut encore figurer la foi commune des clercs, pourtant molestés par l’époque avec une vigueur qui devra
159 f qu’un seul trait — à mon sens le seul décisif — commun à toutes les disciplines que l’on enseigne aux jeunes clercs : et c’e
160 ’existence de la science. » Cet aveu est de Rauh ( Avant-propos des Études de morale). 35. Et sans doute d’abord chez les grands con
91 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
161 a se plaindre à son député. Lequel interpelle les communes . Qui à leur tour infligent un blâme à l’inspecteur ; car si l’École s
162 et qui ne manque pas de féliciter la Chambre des communes . (Gazette de Francfort, du 31 juillet). On dirait une « histoire idio
163 à un autre, car où est l’étalon, où est la mesure commune , et qui connaît le modèle idéal ? Le malfaisant nationalisme n’est ri
92 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
164 à la question, n’indique d’urgence une direction commune , les anciennes habitudes vont se réveiller, et la houlette de Léon Bl
165 Il est temps de donner à ces troupes une volonté commune constructive, un programme qu’elles puissent opposer aux entreprises
166 de la Rocque. 28. Par exemple un essai de front commun allant des Volontaires nationaux à Doriot, en passant par le front so
93 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
167  : Service inutile (15 novembre 1935)w Ce long avant-propos , où l’auteur nous rapporte avec quelque détail l’emploi de son temps
94 1936, Tapuscrits divers (1936-1947). [Compte rendu] Henri de Man, L’Idée socialiste (1936)
168 e définitivement de son sceau. Cette terminologie commune permet de prendre une vue aisée du contraste que font les deux doctri
169 en train de s’épuiser. « La culture est une forme commune de la vie dont l’activité économique et politique ne forme qu’une par
95 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
170 t animal, et soumis à la forme des choses, — à la commune dégradation. Ceux qui ne croient pas à l’acte, c’est qu’ils ne connai
171 successio sine fine, sed nunc stans. L’éternité a marché sur la terre : ainsi le Christ est le chemin. Mais nous avons refusé
96 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
172 de tradition universelle — dont quinze nous sont communs d’ailleurs avec l’Église romaine — à quatre siècles d’une tradition q
173 ire anglican, dans ce qu’il a de spécifique et de commun au sein de sa diversité ? L’on verrait mieux alors, que l’opposition
174 érieux qu’on leur accorde en fait, mais l’opinion commune qu’elles sont censées enregistrer. Cette opinion commune, je suis cer
175 qu’elles sont censées enregistrer. Cette opinion commune , je suis certain de la traduire sans la fausser quand je dis que le c
176 e l’antithèse lorsque j’affirme que cette opinion commune est un négatif absolu des positions fondamentales de la Réforme. Voil
177 si de ce que la Cène sacrée est séparée du souper commun  ! Mais plutôt ne vous étonnez jamais de ce que l’Église fait. Instrui
97 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
178 oi qu’il fait, par occasion, d’un terme roturier, commun , non littéraire. Ramuz, c’est le contraire : s’il écrit « Autarchie »
179 veau, puis retrouvé pour un instant) : où on a en commun un Père et une Mère, où la grande parenté des hommes est entr’aperçue
98 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
180 er la fidélité au parti avant la fidélité au bien commun de la nation. Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît roul
181 itoyens de se désintéresser, en pratique, du bien commun . Et l’on admet alors qu’il existe deux morales, l’une privée et l’aut
182 rt du temps contradictoires, ou en tous cas, sans commune mesure. 5. Pour nous, personnalistes, c’est tout le contraire : la v
183 ’État — secteur organisé — et de la nation, idéal commun . Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant être normalemen
184 e réponse efficace, donneront du même coup un but commun aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les partis et leurs pauv
185 nt enfin une base et une perspective et un avenir communs à la politique, à la culture, à toutes forces créatrices de ce pays.
99 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
186 d’un tout autre progrès. Que si les staliniens de Commune ou d’Europe, comme c’est l’usage, ne répondent que par des injures à
100 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
187 e de réalisme, d’un ensevelissement dans la fosse commune . Le mérite capital de cette vision totalitaire du réel, c’est qu’elle