1 1964, Articles divers (1963-1969). Les arts dans la vie en Suisse (1964)
1 ometti pour la sculpture, d’un Dürrenmatt et d’un Max Frisch pour le théâtre, d’un chef d’orchestre comme Ernest Ansermet, d’un hi
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
2 e allemande le dominent : Friedrich Dürrenmatt et Max Frisch . Tous les deux romanciers, d’ailleurs. Le premier très lié au pays :
3 rd’hui relèvent peu ou prou de ces influences-là. Max Frisch est au contraire un scientifique, nullement théologien, architecte de
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
4 e d’admettre ce qui ne lui ressemble pas. Enfin Max Frisch  : Notre patrie est l’homme ; c’est à lui en premier lieu que doit al
4 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
5 u beaucoup mieux de dire : l’architecte zurichois Max Frisch , le catholique Belloc, le Gallois non-conformiste Powys, le Souabe Hö
5 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
6 u beaucoup mieux de dire : l’architecte zurichois Max Frisch , le catholique Belloc, le Gallois non conformiste Powys, le Souabe Hö
6 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
7 uely ; du théâtre de Dürrenmatt, et des romans de Max Frisch … Mais je dois me réduire à l’essentiel : la Suisse est le pays des gr
7 1996, Articles divers (1982-1985). « Plaise aux dieux que je sois un faux prophète » (automne 1996)
8 coûtera 50 francs le litre d’ici 1990 ? Comme dit Max Frisch  : « il ne suffit pas de ne pas avoir d’idées pour être réaliste ».