1 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
1 el Serruys, François-Poncet, Giscard d’Estaing et Michel Debré , en Italie avec La Malfa et E. Falck, en Angleterre avec Sir Harold B
2 1962, Arts, articles (1952-1965). Sartre contre l’Europe (17 janvier 1962)
2 ; et ce n’est pas ma faute si cette phrase est de Michel Debré dans son Projet de pacte pour les États-Unis d’Europe, publié en 1950
3 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
3 r et ce n’est pas ma faute si cette phrase est de Michel Debré dans son Projet de pacte pour une union des États d’Europe, publié en
4 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
4 s en novembre 1962. 134. Cette expression est de Michel Debré , lequel m’écrivait en 1953 que les Six ne seraient — s’ils existaient
5 1970, {Title}. La Suisse et la CEE (28 novembre 1970)
5 Le Monde (1er décembre 1970) cette citation de Michel Debré  : « La politique est affaire de puissance, et la première marque de l
6 1977, Articles divers (1974-1977). « Je suis un pessimiste actif » (17 octobre 1977)
6 tes. Je fais commenter à mes élèves des textes de Michel Debré et de Georges Marchais. Ce sont à peu près les mêmes, encore plus coc
7 1978, Articles divers (1978-1981). Pleine page sur Denis de Rougemont (14-15 mai 1978)
7 on européenne et pour reprendre une expression de Michel Debré  : faut-il « la faire avec des bottes de sept lieues » ? J’aime mieux
8 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
8 l’Europe qui ne soit pas l’Europe française. Pour Michel Debré , les choses sont simples, insupportablement simples, comme elles le s
9 lisme donc, ne cesse d’être utopique, aux yeux de Michel Debré , que lorsqu’il révèle ou plutôt trahit sa vraie nature de « complot c
10 ssuraient que « L’Avenir, c’est notre affaire ! » Michel Debré ne pouvait tout de même pas leur révéler que ce titre était celui d’u
11 eligions abrahamiques.) Quelle est la religion de Michel Debré  ? C’est celle de la France déifiée, de la Puissance divine, donc sans
12 la victime d’une Europe fédérée, si l’on en croit Michel Debré . La réponse est gênante. Pour lui. La France des jacobins et de Napol
13 Le Nouvel Observateur, 13 novembre 1978. 12. Cf. Michel Debré , Projet de Pacte pour une Union d’États européens, Éd. Nagel. Paris,
14 Le Figaro , 19 novembre 1978. 18. Cf. Lettré de Michel Debré , n° 14, octobre 1978. h. Rougemont Denis de, « La chronique europée
9 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
15 te ». Bruère était le pseudonyme de résistance de Michel Debré . À qui se fier ? IV. De Gaulle et les régions S’il est un sujet
10 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
16 ministre, haut-commissaire à l’énergie atomique, Michel Debré , sénateur, membre du Mouvement européen, Jean Sarrailh, recteur de l’
11 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
17 ministre, haut-commissaire à l’énergie atomique, Michel Debré , Sénateur, membre du Mouvement européen, Jean Sarrailh, Recteur de l’
12 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
18 . Cela me rappelle une phrase souvent répétée par Michel Debré , qu’il a encore utilisée dernièrement dans Le Monde, et selon laquell
13 1983, Articles divers (1982-1985). La Suisse et quelle Europe ? (1983)
19 nne ne veut (il ne sert que de punching-ball pour Michel Debré ) et sur le modèle de la Ligue défensive des nations souveraines, où i
14 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
20 ins l’union de l’Europe : ils nous répètent comme Michel Debré qu’un « bon Européen » est celui qui — comme eux — « veut, en fonctio
21 . » Jacquier était le pseudonyme de Résistance de Michel Debré . 79. D. de Rougemont, passim ; Ferdinand Kinsky, L’Europe en formati