1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
1 , Ramuz ; les Genevois Calvin, de Bèze, Rousseau, Madame de Staël , Töpffer, Amiel… Je ne parle pas des vivants ; et je ne cite que ceux
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
2 érieuses de la fantaisie de ce peuple ? Rousseau, Madame de Staël , Constant, Vinet… Cette énumération, pourtant inévitable, se révèle,
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
3 se romande, donc la défendre. Rousseau, Constant, Madame de Staël , Vinet n’ont pas eu peur du germanisme, l’ont étudié et l’ont aimé. C
4 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
4 se romande, donc la défendre. Rousseau, Constant, Madame de Staël , Vinet n’ont pas eu peur du germanisme, l’ont étudié et l’ont aimé. C
5 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
5 hateaubriand eut de la gloire, mais non Stendhal. Madame de Staël en eut, mais non Constant (comme écrivain). Or personne ne lit plus L
6 1947, Tapuscrits divers (1936-1947). Il y a aussi des gens en Suisse (15 mai 1947)
6 d Byron, l’empereur Charles d’Autriche, Voltaire, Madame de Staël , Stravinsky, Gibbon, l’Aga Khan, la reine d’Espagne, le roi des Belge
7 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
7 hateaubriand eut de la gloire, mais non Stendhal. Mme de Staël en eut, mais non Constant (comme écrivain). Or personne ne lit plus l
8 1948, Articles divers (1946-1948). Ce sont les Français qui ont commencé (La querelle des « condensés… ») (14 février 1948)
8 uerelle des « condensés… ») (14 février 1948)v Mme de Staël priait Schelling de lui exposer sa philosophie en un quart d’heure, e
9 1948, Suite neuchâteloise. VI
9 , Ramuz ; les Genevois Calvin, de Bèze, Rousseau, Madame de Staël , Töpffer, Amiel… Je ne parle pas des vivants ; et je ne cite que ceux
10 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
10 e. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël . Il s’appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl Barth. Son c
11 1953, La Confédération helvétique. Chapitre VI. Le peuple suisse et le monde
11 ais, s’il atteint la stature d’un Rousseau, d’une Mme de Staël , d’un Benjamin Constant, d’un Amiel45 ; moralement, il est un protest
12 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
12 C. G. Jung, et Rousseau comme Jacob Burckhart, et Madame de Staël comme personne. « Pays de gens moyens, oui, disait Lucien Febvre, mai
13 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
13 ationale de l’Europe. Calvin, Rousseau, Voltaire, Mme de Staël , et la pédagogie nouvelle ont rayonné de là sur toute l’Europe modern
14 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Carlo Curcio, Europa, Storia di un’idea (septembre 1959)
14 François d’Assise entre « D’Argenson » et Dawson, Madame de Staël entre Descartes et Vogüé, tandis que Fontenelle et Fénelon figurent s
15 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
15 e. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël . Il s’appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl Barth. Son c
16 . G. Jung, et Rousseau comme Jacob Burckhardt, et Madame de Staël comme personne. Jean de Müller, historien des Suisses, fut aussi le p
17 ean de Müller à Vienne et à Berlin, Jean-Jacques, Madame de Staël et Benjamin Constant à Paris. Quant à un C. G. Jung, à un C. F. Ramuz
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 2. L’Europe des lumières
18 a rien inventé, mais il a tout enflammé », disait Mme de Staël , et c’est un de ces jugements qui caractérisent leur auteur mieux que
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 5. L’Europe des adversaires de l’empereur
19 on française : deux libéraux suisses, Constant et Mme de Staël  ; un ultramontain savoyard, Joseph de Maistre ; et un économiste pré-
20 la Fichte, les deux Schlegel, Hegel et Schelling. Mme de Staël servira de trait d’union entre les deux domaines. Et Goethe les domin
21 formelle et coercitive que les jacobins exécrés ? Mme de Staël est de l’école fédéraliste, qui est aussi œcuménique : Il y a dans l
22 mment contribué.169 Le rôle historique joué par Mme de Staël a bien moins consisté dans son opposition impuissante à Napoléon, que
23 aineté », Paris, 1821. 169. Œuvres complètes de la baronne de Staël , tome IV, De la Littérature, Paris, 1820. 170. De l’Allemagne, op. 
18 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 6. Goethe
24 rfois presque dans les mêmes termes, qu’exprimait Mme de Staël  : Les diversités innées de conceptions et de sentiments… propres à d
19 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
25 été nos meilleurs Européens : Rousseau, Constant, Mme de Staël dans le passé, et de nos jours, Robert de Traz, Charles-Albert Cingri
20 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
26 gnes. De Coppet rayonne sur la France le génie de Mme de Staël et de sa cour cosmopolite, où brillent Sismondi et Benjamin Constant,
21 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
27 été nos meilleurs Européens : Rousseau, Constant, Mme de Staël dans le passé, et de nos jours, parmi nos aînés, Robert de Traz, Char
22 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
28 artiendra « soit à la Russie soit à l’Amérique ». Germaine de Staël est suisse dans la mesure où elle ouvre des perspectives européennes,
23 1964, Articles divers (1963-1969). Les arts dans la vie en Suisse (1964)
29 e. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël . Il s’appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl Barth. Son c
24 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
30 rtiendra « soit à la Russie, soit à l’Amérique ». Germaine de Staël est Suisse dans la mesure où elle ouvre des perspectives européennes,
25 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
31 e. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël . Il s’appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl Barth. Son c
32 ean de Müller à Vienne et à Berlin, Jean-Jacques, Mme de Staël et Constant à Paris. Quant à un Jung, à un Ramuz, à un Barth, qui, ap
26 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
33 e. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël . Il s’appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl Barth. Son c
34 ean de Müller à Vienne et à Berlin, Jean-Jacques, Mme de Staël et Constant à Paris. Quant à un Jung, à un Ramuz, à un Barth, qui, ap
35 e siècle, c’est par Coppet, château de Necker où Germaine de Staël tient sa cour, que vont passer d’est en ouest les grands courants du
36 usseau a fécondé le préromantisme allemand, c’est Germaine de Staël et c’est Benjamin Constant qui, par la « trouée de Coppet », révélero
27 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
37 rtiendra « soit à la Russie, soit à l’Amérique ». Germaine de Staël est suisse dans la mesure où elle ouvre des perspectives européennes,
28 1969, {Title}. L’esprit romand (années 1960)
38 libre alliance de très petites communautés, puis Germaine de Staël et Benjamin Constant : par « la trouée de Coppet », ils vont faire en
29 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
39 plus tard, c’est par Coppet, château de Necker où Germaine de Staël tient sa cour, que vont passer d’est en ouest les grands courants du
40 l voyait dans le cénacle de Coppet, rassemblé par Mme de Staël , « les états généraux de l’opinion européenne », et c’est bien là le
30 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
41 Bon Dieu ! pour qui nous prenez-vous ? Rousseau, Mme de Staël , Benjamin Constant, Amiel, C. F. Ramuz, C.-A. Cingria, G. de Reynold,
31 1973, Articles divers (1970-1973). Une possibilité européenne : la région genevoise (novembre 1973)
42 Sales, Rousseau et Voltaire, Joseph de Maistre et Madame de Staël , Benjamin Constant et Stendhal. Rien de plus aisé, si l’on songe qu’i
32 1977, Articles divers (1974-1977). Du passé à l’avenir d’une région (27 juin 1977)
43 l’Europe, successivement, Jean-Jacques Rousseau, Germaine de Staël et Benjamin Constant. Jean-Jacques est sans nul doute le premier théo
44 antages des grands et des petits États ». Quant à Madame de Staël et à Benjamin Constant, ce sont eux qui, par « la trouée de Coppet »,
33 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
45 njamin vient de rompre pour la dernière fois avec Mme de Staël à Lausanne, le 10 mai.) Sur ces 231 jours, le mot « travaillé » revie
46 arlotte de Hardenberg, aux mauvaises nouvelles de Mme de Staël , au souvenir ou aux rencontres d’autres amies, 50 fois ; les allusion
47 attente anxieuse des lettres de « la voyageuse » ( Mme de Staël est en Russie, puis en Suède), et querelles incessantes avec Charlott
48 t tout : on assiste aux progrès du détachement de Mme de Staël et à la passion subite pour Mme Récamier, en contrepoint avec l’avent
49 Béarnais et tenter avec lui sa chance politique : Mme de Staël l’y pousse, elle imagine une régence que Paris confierait à Bernadott
34 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Madame de Staël et « l’esprit européen » (été 1980)
50 Madame de Staël et « l’esprit européen » (été 1980)o « Il faut, dans nos temps mod
51 qui est en effet parmi les plus souvent citées de Mme de Staël , sait-on qu’elle ne figure que tout incidemment, à titre d’amicale mi
52 , pourrait se définir assez bien, dans l’œuvre de Mme de Staël , comme le contraire de tous ces esprits-là. Tout au long de ses deux
53 n eût été l’inspiratrice et la présidente idéale, Germaine de Staël . 2. Au principe dynamique et structurant de l’esprit européen, Madam
54 pe dynamique et structurant de l’esprit européen, Madame de Staël retrouve le secret de la complémentarité des différences, voire des a
55 nglais, français, italien et allemand, conduisent Mme de Staël par un mouvement qu’on dirait simplement de sensibilité, à épouser et
56 nos nations dans on ne sait quel magma informe ». Mme de Staël conçoit l’esprit européen comme un tableau dont les contrastes mêmes
57 ir tout à l’heure, que le problème ainsi posé par Mme de Staël aux débuts du xixe siècle est devenu le problème économique le plus
58 réformé, Sud catholique et orthodoxe ? Réponse de Mme de Staël  : Le protestantisme et le catholicisme ne viennent point de ce qu’il
59 nels, mais sur les intérêts publics et nationaux. Mme de Staël précise : L’intérêt national lui-même doit être subordonné aux pensé
60 ui est déjà bien assez scandaleuse pour l’époque, Mme de Staël ajoute une exigence encore plus neuve, et qui prend de nos jours sa p
61 viens à la critique de la nation. Après Rousseau, Mme de Staël a très bien vu que plus la nation sera grande, plus grande sera la te
62 lus moderne et le plus large du mot « culture » — Mme de Staël n’ait pu donner pour suite une Politique déduite de la culture. Un te
63 ontemporain sur la fédération européenne. Certes, Mme de Staël n’a pas prévu que l’économie, au xxe siècle prendrait le pas non seu
64 ident, dictatures et famines dans le tiers-monde. Mme de Staël , de nos jours, n’eût pas préconisé l’union de l’Europe sur la base d’
65 de l’enthousiasme ! Il était temps, je crois, que Mme de Staël vienne nous rappeler ce que cela pourrait bien être : — une tâche pou
66 Op. cit., Tome XI, De l’Allemagne, p. 537. 57. Mme de Staël , Sur les traductions, 1814, Œuvres complètes, Tome XVII, et Goethe :
67 (zu Mickiewicz), 1829. o. Rougemont Denis de, «  Madame de Staël et “l’esprit européen” », Cadmos, Genève, été 1980, p. 5-11.
35 1982, Tapuscrits divers (1980-1985). De l’unité de culture à l’union fédérale de l’Europe (18 octobre 1982)
68 un nom de créateur quitte la France de Napoléon ( Mme de Staël , Benjamin Constant, Chateaubriand, Joseph de Maistre…). Ces mauvais s
36 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
69 Trouée de Coppet, du nom du château de Necker où Germaine de Staël tient sa cour, que vont passer d’est en ouest les grands courants eur
70 e. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël . Il s’appelle Jakob Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl Barth.
71 ean de Müller à Vienne et à Berlin, Jean-Jacques, Madame de Staël et Constant à Paris. Quant à un Jung, à un Ramuz, à un Barth, qui, ap