1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
1 régime, dans le Corps helvétique. Dès la chute de Napoléon , et malgré la Restauration, l’on s’aperçut que ce beau mouvement d’ho
2 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
2 depuis dix ans, plus qu’il ne l’avait fait depuis Napoléon , c’est une évidence acquise et qui peut figurer d’ores et déjà dans l
3 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
3 l, en tant qu’il est différent des autres hommes. Napoléon , César, Lénine ont un destin. Mais aussi chacun de nous a un destin ;
4 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
4 l, en tant qu’il est différent des autres hommes. Napoléon , César, Lénine ont un destin. Mais aussi chacun de nous a un destin,
5 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
5 l, en tant qu’il est différent des autres hommes. Napoléon , César, Lénine ont un destin. Mais aussi chacun de nous a un destin,
6 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
6 idée nationale de l’héroïsme. Pas seulement sous Napoléon . Justement pas sous Napoléon, dirai-je. Un peu avant… Mais aujourd’hu
7 . Pas seulement sous Napoléon. Justement pas sous Napoléon , dirai-je. Un peu avant… Mais aujourd’hui, si je parle d’héroïsme, je
7 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
8 du compte, Don Juan ne comprend rien aux femmes, Napoléon meurt en se trompant sur le sens de son épopée. Voilà peut-être le gr
8 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
9 ait Grouchy. » Et Waterloo fut une victoire. Mais Napoléon abdiqua et termina ses jours à Sainte-Hélène. Tel est le sujet. En so
10 facteur Waterloo, et nous démontre que l’équation Napoléon n’en doit pas moins avoir pour second membre l’abdication. Il y a san
11 emand : une « imagination » profonde du destin de Napoléon , voilà ce que nous propose Robert Aron50. Il a pensé qu’il valait mie
12 ’au cours des journées qui précèdent la bataille, Napoléon a découvert la vie concrète d’un pays et des êtres dont c’est la patr
13 toire le condamne. Je simplifie encore la thèse : Napoléon gagne Waterloo parce qu’il retrouve le « personnalisme » mais cela mê
14 . 50. Jean-Paul rapporte un rêve où il disait à Napoléon  : « Je ne suis jamais plus intelligent qu’au lit, quand je rêve de vo
9 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
15 si toutefois il ne tient pas à avoir raison comme Napoléon , qui faisait les demandes et les réponses. 51. On me dira que mon p
10 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
16 a première fois au plan de la conscience lyrique. Napoléon à peine vaincu, voici l’envahissement de l’Europe par une plus insidi
11 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
17 e parallèle entre les amours de Bonaparte puis de Napoléon d’une part, et les campagnes d’Italie puis d’Autriche, d’autre part.
18 al-révolutionnaire… Ce qui est certain, c’est que Napoléon fut le premier à tenir compte du facteur passionnel dans la conduite
19 s guerres de libération que mena la Prusse contre Napoléon . Et les philosophies d’essence passionnelle d’un Fichte et d’un Hegel
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
20 a première fois au plan de la conscience lyrique. Napoléon à peine vaincu, voici l’envahissement de l’Europe par une plus insidi
13 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
21 e parallèle entre les amours de Bonaparte puis de Napoléon d’une part, et les campagnes d’Italie puis d’Autriche, d’autre part.
22 al-révolutionnaire… Ce qui est certain, c’est que Napoléon fut le premier à tenir compte du facteur passionnel dans la conduite
23 s guerres de libération que mena la Prusse contre Napoléon . Et les philosophies d’essence passionnelle d’un Fichte et d’un Hegel
14 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
24 a première fois au plan de la conscience lyrique. Napoléon à peine vaincu, voici l’envahissement de l’Europe par une plus insidi
15 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
25 e parallèle entre les amours de Bonaparte puis de Napoléon d’une part, et les campagnes d’Italie puis d’Autriche, d’autre part.
26 al-révolutionnaire… Ce qui est certain, c’est que Napoléon fut le premier à tenir compte du facteur passionnel dans la conduite
27 s guerres de libération que mena la Prusse contre Napoléon . Et les philosophies d’essence passionnelle d’un Fichte et d’un Hegel
16 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
28 dictateur ou d’un conquérant, d’un Hitler ou d’un Napoléon , on serait en droit de lui dire : ta prétendue vocation n’est qu’une
17 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
29 l’action d’une grande puissance. Ce fut l’idée de Napoléon . C’est peut-être l’idée d’Hitler. C’est aussi celle de certains neutr
18 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
30 Vouloir la vaincre n’est pas d’un homme sage. » ( Napoléon , en 1802.) L’idée suisse renaissait, contre toute espérance. Un tel p
19 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Le fédéralisme : un fait et une volonté (1941)
31 l’action d’une grande puissance. Ce fut l’idée de Napoléon . C’est peut-être l’idée d’Hitler. C’est aussi celle de certains neutr
20 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
32 e l’ère moderne, Joseph de Maistre, écrivait sous Napoléon  : Lorsqu’une puissance trop prépondérante épouvante l’univers, on s’
21 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
33 e l’ère moderne, Joseph de Maistre, écrivait sous Napoléon  : « Lorsqu’une puissance trop prépondérante épouvante l’univers, on s
22 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
34 e l’ère moderne, Joseph de Maistre, écrivait sous Napoléon  : Lorsqu’une puissance trop prépondérante épouvante l’univers, on s’
23 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVI. Le goût de la guerre
35 re le maréchal de Saxe, a permis les campagnes de Napoléon . Et il est vrai que les bombardiers lourds ont tué beaucoup plus de c
24 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVI . Le goût de la guerre
36 re le maréchal de Saxe, a permis les campagnes de Napoléon . Et il est vrai que les bombardiers lourds ont tué beaucoup plus de c
25 1946, Lettres sur la bombe atomique. Appendice IV. La vérité n’est plus du côté des canons
37 soutenir que Hegel s’était trompé en croyant que Napoléon allait mettre un terme à l’Histoire, parce qu’il avait les plus gros
26 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
38 sous Hitler, les Français sous Louis XIV et sous Napoléon , les Italiens sous Mussolini. Les Américains n’ont pas de chefs de ce
27 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
39 gagnera jamais. C’est le sophisme de l’empereur : Napoléon n’est pas un Bonaparte comblé, mais quelqu’un qui s’est substitué, so
28 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
40 à glisser ensuite entre les deux une remarque de Napoléon sur la nature fédérative de notre État, et tous les trois disent la m
41 it d’Hitler avec plus de pertinence encore que de Napoléon , et les Lettres de Jacob Burckhardt. En 1871, il écrit à l’un de ses
29 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
42 e ne connais qu’un seul descendant authentique de Napoléon  : il est objecteur de conscience. (C’est P. C., qui sort de chez moi.
30 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
43 du compte, Don Juan ne comprend rien aux femmes. Napoléon meurt en se trompant sur le sens de son épopée. Voilà peut-être le gr
31 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
44 it d’Hitler avec plus de pertinence encore que de Napoléon , et les Lettres de Jacob Burckhardt. En 1871, il écrit à l’un de ses
45 e ne connais qu’un seul descendant authentique de Napoléon  : il est objecteur de conscience. (C’est P. C…, qui sort de chez moi.
32 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
46 mépris des diversités nationales provoquera, sous Napoléon , la naissance des nationalismes. Telle est la cause de presque toutes
33 1947, Vivre en Amérique. I. Vie politique
47 sous Hitler, les Français sous Louis XIV et sous Napoléon , les Italiens sous Mussolini. Or les Américains n’ont pas de chefs de
34 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
48 gagnera jamais. C’est le sophisme de l’empereur : Napoléon n’est pas un Bonaparte comblé, mais quelqu’un qui s’est substitué, so
35 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
49 e fédération continentale ou mondiale. L’échec de Napoléon , puis celui d’Hitler, dans leurs tentatives pour faire l’unité de l’E
36 1947, Combat, articles (1946–1950). « La tâche française c’est d’inventer la paix » (26 décembre 1947)
50 l’impulsion d’une nation, n’est-ce pas le rêve de Napoléon ou de Hitler ? Bien entendu. Aussi n’est-il pas question « d’unifier 
37 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
51 une fédération européenne ou mondiale. L’échec de Napoléon et celui d’Hitler dans leurs tentatives d’unifier l’Europe indiquent
38 1948, Suite neuchâteloise. III
52 gime, dans le Corps helvétique.   Dès la chute de Napoléon , et malgré la Restauration, l’on s’aperçut que ce beau mouvement d’ho
39 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
53 mépris des diversités nationales provoquera, sous Napoléon , la naissance des nationalismes. Telle est la cause de presque toutes
40 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
54 e fédération continentale ou mondiale. L’échec de Napoléon , puis celui d’Hitler, dans leurs tentatives pour faire l’unité de l’E
41 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La neutralité suisse (23 mai 1949)
55 la Suisse elle-même. Au lendemain des guerres de Napoléon , les puissances réunies à Vienne déclarèrent que la neutralité suisse
42 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La guerre impossible (20 février 1950)
56 il n’avait aucune envie. C’est ainsi que le nommé Napoléon apporta le système jacobin à tous les peuples de l’Europe, sur la poi
43 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Centre européen de la culture (9 octobre 1950)
57 e matériel est important. Mais un grand réaliste, Napoléon , avait coutume de répéter : le moral est au matériel comme 3 est à 1.
44 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
58 sseau, à peu près seul, s’en désolidarise). Après Napoléon , tout change. Paraît la race nouvelle des exilés sur place — Kierkega
45 1953, Articles divers (1951-1956). Pourquoi je suis Européen (20 juin 1953)
59 n uniforme noir et brun. Du jacobinisme est sorti Napoléon et des guerres de Napoléon le nationalisme de tout un siècle. Napoléo
60 jacobinisme est sorti Napoléon et des guerres de Napoléon le nationalisme de tout un siècle. Napoléon voulait faire l’Europe, o
61 es de Napoléon le nationalisme de tout un siècle. Napoléon voulait faire l’Europe, oui, mais comme Hitler : il voulait un État e
46 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
62 s simple, et même un peu obscur, comme le voulait Napoléon , s’y prêtera mieux que tout perfectionnisme et que les compromis les
47 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
63 étique une et indivisible » échoua rapidement, et Napoléon reconnaissant l’erreur commise, déclarait aux Suisses en 1802 : « La
48 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
64 onstituer. Hegel est la contrepartie réflexive de Napoléon . Hegel, conformément à l’esprit de Valmy, se représente la nation com
65 vait vu juste, objectivement parlant. À partir de Napoléon , les nations de l’Europe vont se conduire comme des « individus » san
49 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
66 richien. On a souvent noté que les dictateurs, de Napoléon à Staline, en passant par Hitler, viennent des confins de la patrie q
67 — que celui plus profond de deux qualités d’âme. Napoléon , Hitler, ont rêvé de « faire l’Europe ». Ils l’ont presque faite, par
50 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
68 ont établi, de très grands et de très sanglants : Napoléon , Hitler, Mussolini, Staline. Ces tyrans n’ont été abattus que par la
69 onstituer. Hegel est la contrepartie réflexive de Napoléon . Hegel se représente la nation comme une croisade pour l’idée. « Ce n
51 1956, Articles divers (1951-1956). Un exemple pour l’Europe (octobre 1956)
70 étique une et indivisible » échoua rapidement, et Napoléon reconnaissant l’erreur commise, déclarait aux Suisses en 1802 : « La
52 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IV. Le Château aventureux
71 ont établi, de très grands et de très sanglants : Napoléon , Hitler, Mussolini, Staline. Ces tyrans n’ont été abattus que par la
72 onstituer. Hegel est la contrepartie réflexive de Napoléon . Hegel se représente la nation comme une croisade pour l’idée. « Ce n
53 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VIII. L’aventure technique
73 le prolétariat, lorsque l’ambition déchaînée des Napoléon de l’industrie s’en empare sans plus de scrupules. Le paradoxe profon
54 1957, Articles divers (1957-1962). Lettre en réponse à Emmanuel Berl (mai 1957)
74 qui démembraient l’Autriche ? Et à Leipzig, avec Napoléon ou contre lui ? Il ne suffit pas d’ignorer quand une personne est née
55 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
75 a politique concrète de notre temps. L’Europe, Napoléon et les intellectuels Dans une autre revue, je lis ceci : « L’Europ
76 ous rappelle qu’Hitler a voulu faire l’Europe, et Napoléon avant lui. Où prend-on cela ? Ces dictateurs rêvaient sans doute d’an
77 s hommes les plus libres de tous nos peuples ? Si Napoléon avait vraiment voulu créer les États-Unis d’Europe, il l’aurait dit a
56 1958, {Title}. Liberté et littérature (août 1958)
78 érature. Exemples modernes : la terreur jacobine, Napoléon , Hitler, Staline. Durant de telles périodes, tout ce qui reste vivant
57 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
79 fier. La France réelle, depuis 150 ans : celle de Napoléon en 1808, de la Restauration et de la Charte, de Gavroche sur les barr
58 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
80 s peuples et des patriciats dépossédés. Dès 1802, Napoléon écrivait aux délégués helvétiques qu’il avait convoqués à Paris : « L
81 ux Suisses, dans cette Europe où les campagnes de Napoléon venaient de susciter les passions nationales, était celui du renforce
59 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Heinz Gollwitzer, Europabild und Europagedanke (septembre 1959)
82 avec la pensée d’un Rousseau, d’un Burke ou d’un Napoléon , ou encore avec l’orthodoxie russe, l’Inde, l’Italie renaissante et l
60 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
83 nique sous la houlette de fer d’un seul berger : Napoléon à Sainte-Hélène disait que dans un proche avenir le monde serait une
84 venant « patriotes ». Je songe à des hommes comme Napoléon , Goethe, Beethoven, Stendhal, Henri Heine, Schopenhauer. Qu’on ne m’e
61 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
85 aurée par des moyens dictatoriaux : les échecs de Napoléon et d’Hitler l’ont bien fait voir. L’union de l’Europe suppose en fait
62 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
86 ur. Or, ni la passion érotique d’un Byron ou d’un Napoléon — cités peu avant — ni l’amour qu’on invoque ici, ne sont, à parler p
63 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
87 ur. Or, ni la passion érotique d’un Byron ou d’un Napoléon — cités peu avant —, ni l’amour qu’on invoque ici, ne sont à parler p
64 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 3. Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
88 de Tribunal européen, comptant cette fois-ci sur Napoléon pour le réaliser. Et là encore, le démenti le plus cruel ne tardera p
65 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 3. Synthèses historico-philosophiques (I)
89 grand renouvellement des valeurs dont la chute de Napoléon , après leur mort, semblera déclencher le processus européen. Johann C
90 évolution française (qu’il défend dès 1793) et de Napoléon (qu’il attaquera violemment) s’ouvre par un projet de Société des Nat
91 berrantes que les voies militaires par lesquelles Napoléon va tenter d’imposer la révolution jacobine à l’Europe. Dans l’un et l
92 yens apparaissent contraires aux fins alléguées : Napoléon apportera la liberté à la pointe des baïonnettes, Fichte veut l’insta
66 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 4. Napoléon et l’Europe
93 tres… On sait d’ailleurs de quel étrange prestige Napoléon bénéficia auprès des grands esprits de Weimar et de Iéna, un Goethe,
94 était sorti victorieux de la campagne de Russie, Napoléon répond : La paix dans Moscou accomplissait et terminait mes expéditi
67 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 5. L’Europe des adversaires de l’empereur
95 5.L’Europe des adversaires de l’empereur Napoléon avait raison sur ce dernier point : le seul « équilibre possible » ap
96 l’Europe se mit donc à parler de l’Europe, contre Napoléon qui avait voulu la faire. Mais ce concert des Intellectuels est aussi
97 mais non pas de son influence. C’est au moment où Napoléon vient de quitter l’île d’Elbe que Benjamin Constant (1767-1830) publi
98 e : elle est le sous-entendu de l’ouvrage entier. Napoléon , c’est l’esprit de conquête et d’uniformité imposé par les armes, c’e
99 Fichte, théoricien du nationalisme autarcique, où Napoléon partait pour Sainte-Hélène tandis que Gentz, le « chevalier de l’Euro
100 fanatique à la Révolution libérale ou jacobine, à Napoléon , au nationalisme et à la démocratie. Convaincu que l’Europe (audax Ja
101 moins consisté dans son opposition impuissante à Napoléon , que dans l’usage fécond qu’elle a fait de son exil. Coppet devint gr
102 s plus tard, lorsqu’il rédigera sur la demande de Napoléon lui-même, l’Acte additionnel aux Constitutions de l’Empire, dans lequ
68 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
103 on, et finalement « l’empire de Satan », celui de Napoléon . Tous les thèmes favoris de Joseph de Maistre (Du pape vient de paraî
104 e loi collective. En 1806, il écrit, à propos de Napoléon  : Je forme des vœux pour la réconciliation complète de tous les peup
69 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
105 ution, imposée à toute l’Europe par les armées de Napoléon , l’ère des Nations a succédé à l’ère du cosmopolitisme des Élites. El
106 re de Heine écrite deux ans plus tôt. Ce qu’a dit Napoléon à Sainte-Hélène sur l’avenir prochain du monde, qui sera République a
70 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 2. Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
107 combattaient pour les libertés de l’Europe contre Napoléon , qui plus tard formèrent la Sainte-Alliance, n’étaient pas des conféd
71 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 3. Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
108 rtiendra soit à la Russie, soit à l’Amérique » : Napoléon , dans le Mémorial de Sainte-Hélène, prévoit que le monde sera sous pe
72 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
109 iberté, qu’elle s’agenouillait enfin aux pieds de Napoléon . Comme tous ces sentiments pâlissent vite, comme il nous est difficil
110 t été le grand entracte, le passage de Rousseau à Napoléon et à la démocratie montante. […] Schuman était déjà, en musique, un f
111 venant « patriotes ». Je songe à des hommes comme Napoléon , Goethe, Beethoven, Stendhal, Henri Heine, Schopenhauer. Qu’on ne m’e
112 vinrent patriotes. Je pense à des hommes tels que Napoléon , Goethe, Beethoven, Stendhal, Henri Heine, Schopenhauer. Cependant, à
73 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
113 st même pas douté en temps utile qu’elle existât. Napoléon semble être le seul qui ait pressenti ce qui devait se produire et ce
74 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 2. Crépuscule ou nouvelle aurore ?
114 isissante dans Bismarck qui, contre-pied exact de Napoléon , entend, par ses conquêtes, faire sa nation à lui, repousse résolumen
115 t européen : ainsi en fut-il de Jules César et de Napoléon , de Pétrarque et de Kant, de la musique allemande de Bach à Beethoven
75 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
116 ception de ceux des jacobins. Il a certes inspiré Napoléon , puis Hitler, dans leurs brèves tentatives avortées — une douzaine d’
76 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
117 rophéties analogues de Jean de Müller en 1797, de Napoléon (Mémorial de Sainte-Hélène), de l’abbé de Pradt en 1823 (« Au-delà de
77 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Enquête sur l’enseignement civique dans les pays européens [Avant-propos] (mai 1963)
118 aurée par des moyens dictatoriaux : les échecs de Napoléon et d’Hitler l’ont bien fait voir. L’union de l’Europe suppose en fait
78 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
119 e fédération continentale ou mondiale. L’échec de Napoléon , puis celui d’Hitler, dans leurs tentatives pour faire l’unité de l’E
79 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
120 e projet de fédération européenne13 que va signer Napoléon , — hélas trop tard. Et son fédéralisme européen préfigure le régime q
80 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
121 ofessionnels. Certes, les tentatives unitaires de Napoléon et d’Hitler ont avorté, au prix qu’on sait, mais rien ne prouve que l
122 r en pâtirait et se sentirait appauvri. Au reste, Napoléon n’a réussi qu’à provoquer des réactions nationalistes, et Hitler des
123 éenne137 que signe — hélas ! il est trop tard ! —  Napoléon . Et son fédéralisme préfigure le régime qui va triompher à l’échelle
81 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Puissance du mythe
124 dans les Alpes lombardes, César dans l’Engadine, Napoléon dans le Saint-Bernard. Au-dessous de moi, dans la vallée, au fond du
82 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Ce « petit peuple pacifique… »
125 s voit encore couvrir héroïquement la retraite de Napoléon , au passage de la Bérézina, et invoquer avant ce dernier fait d’armes
126 richienne du maréchal Bubna. Le régime imposé par Napoléon est abrogé, l’ancienne confédération restaurée. En 1815, les régiment
83 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Un pays traditionnellement neutre »
127 e Vienne et de Paris, au lendemain de la chute de Napoléon . Et ce n’est guère « qu’au cours du xviie siècle que ce mot étranger
128 upes dans les cantons. La Révolution française et Napoléon vinrent bouleverser ce jeu d’intérêts convergents. Les idéologies ne
129 39. Hitler estimait sans nul doute, à l’instar de Napoléon , que la neutralité n’était plus qu’« un mot vide de sens », et ce n’e
84 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
130 olas Flugi d’Aspermunt, avait fait les guerres de Napoléon , suivi Murat à Naples, où il était resté après le retour des Bourbons
85 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
131 ofessionnels. Certes, les tentatives unitaires de Napoléon et d’Hitler ont avorté, au prix qu’on sait, mais rien ne prouve que l
132 r en pâtirait et se sentirait appauvri. Au reste, Napoléon n’a réussi qu’à provoquer des réactions nationalistes, et Hitler des
133 opéenne133 que signe — hélas ! il est trop tard —  Napoléon . Et son fédéralisme préfigure le régime qui va triompher à l’échelle
86 1967, Articles divers (1963-1969). Au-delà des nations (1967)
134 acées, encore moins les départements découpés par Napoléon , ni les « Länder » allemands, trop grands, ni les cantons suisses tro
135 ois devenus pour le dur malheur de l’Europe, sous Napoléon , sous Hitler. Ces « terribles simplificateurs », pour reprendre les t
136 devant le corps des fonctionnaires institués par Napoléon pour effacer jusqu’au souvenir des autonomies régionales, voilà qui n
87 1967, Articles divers (1963-1969). Le civisme européen : notes pour un « Petit Livre rouge » (été 1967)
137 lle ne sera pas non plus l’œuvre d’un dictateur : Napoléon , Hitler ont échoué pour longtemps. Ni spontanée, ni fatale, ni imposé
88 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
138 ional par l’appareil étatique, qui est l’œuvre de Napoléon , la nationalisation de l’État royal et l’étatisation de la nation rév
139 ont des empires manqués, à commencer par celui de Napoléon , les seuls empires réussis de notre temps se trouvent être des fédéra
140 acées, encore moins les départements découpés par Napoléon , ni les « Länder » allemands, trop grands, ni les cantons suisses, tr
141 devant le corps des fonctionnaires institués par Napoléon pour effacer jusqu’au souvenir des autonomies régionales, voilà qui n
89 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
142 eil étatique — qui est l’œuvre des jacobins et de Napoléon —, la nationalisation de l’État royal et l’étatisation de la nation r
143 ont des empires manqués, à commencer par celui de Napoléon , les seuls empires réussis de notre temps se trouvent être des fédéra
144 acées, encore moins les départements découpés par Napoléon , ni les « Länder » allemands, trop grands, ni les cantons suisses, tr
145 devant le corps des fonctionnaires institués par Napoléon pour effacer jusqu’au souvenir des autonomies régionales, voilà qui n
90 1969, {Title}. L’union de l’Europe, modèle d’union dans la liberté (fin des années 1960)
146 s en système par les jacobins et mis en œuvre par Napoléon . Paix, garantie des droits civiques, pluralisme des régimes, union da
147 pectables, de l’histoire de l’Europe : Louis XIV, Napoléon , Hitler. « Une foi, une loi, un roi », disait-on sous Louis XIV pour
148 opéens sous la seule loi de son parti, tout comme Napoléon (et d’abord Bonaparte) avait rêvé de le faire au nom de la Révolution
149 llement aux yeux des élites bourgeoises, mais que Napoléon et Bismarck avaient illustré d’une manière plus convaincante aux yeux
150 es de la terre, l’Europe réelle et historique, de Napoléon jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire durant l’ère impéria
151 — César et ses successeurs, Othon, Charles-Quint, Napoléon , Hitler, et tel qu’à l’Est s’y essaya Staline, serait régie par quelq
152 ui peut donner à croire que c’est un mal — César, Napoléon , Hitler, Staline — ont été en réalité des dictateurs et unificateurs
91 1969, Articles divers (1963-1969). Les résistances mentales à l’Europe des régions (avril 1969)
153 ersonne ne m’a démontré qu’entre les ambitions de Napoléon et celles d’un dictateur du xxe siècle il y ait d’autres différences
154 ens techniques de mise au pas d’une nation. Et de Napoléon à tout État-nation contemporain, la continuité est indéniable… Ce n’e
92 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
155 nous instruit grandement. La première a abouti à Napoléon , pouvoir personnel. La seconde à Louis-Napoléon, pouvoir personnel. L
93 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
156 iste fabriquée par la Révolution française et par Napoléon . Il ne faut pas nous raconter d’histoires, c’est la religion qui abou
94 1969, {Title}. Les chances de l’Europe : huit ans après (novembre 1969)
157 est assez récente puisque ce n’est qu’à partir de Napoléon que l’on peut vraiment parler d’État-nation, c’est-à-dire de la confi
158 é le modèle même de l’État-nation centralisé avec Napoléon . La France est beaucoup trop grande pour animer toutes ses régions, c
159 ut la nation telle que la Révolution française et Napoléon l’ont définie, mais qui sont beaucoup plus petites. Ces deux réalités
160 nière militaire. Vous connaissez les ambitions de Napoléon  : transformer l’université, détruire les anciennes universités, en fa
161 néral de division ou qu’un préfet, et ceci depuis Napoléon . » Napoléon a voulu faire, d’après un de mes collègues de Strasbourg,
162 ision ou qu’un préfet, et ceci depuis Napoléon. » Napoléon a voulu faire, d’après un de mes collègues de Strasbourg, une « genda
95 1970, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Préface 1970
163 t heureux est illustré par la fameuse question de Napoléon quand on lui proposait un candidat à quelque promotion civile ou mili
96 1970, {Title}. 1931-1937 ou les années tournantes (années 1970)
164 istes inventés par la Révolution française et par Napoléon  : frontières « naturelles » définies par les fleuves et les crêtes mo
97 1970, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
165 ersonne ne m’a démontré qu’entre les ambitions de Napoléon et celles d’un dictateur du xxe siècle il y ait d’autres différences
166 ens techniques de mise au pas d’une nation. Et de Napoléon à tout État-nation contemporain, la continuité est indéniable… Ce n’e
98 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
167 fédérale) n’est autre que l’État-nation, tel que Napoléon en a posé le modèle, intégralement centralisé en vue de la guerre. C’
99 1970, Articles divers (1970-1973). « S’unir, au-delà de nos fausses souverainetés, pour préserver nos vraies diversités » (mai-juin 1970)
168 héorie est le mythe de l’« État-nation », tel que Napoléon en a posé le modèle, intégralement centralisé en vue de la guerre. C’
100 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
169 mité qui fut celle de Louis XIV, des jacobins, de Napoléon et de nos États totalitaires de toute couleur. Je vois que la formul