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qui démembraient l’Autriche ? Et à Leipzig, avec
Napoléon
ou contre lui ? Il ne suffit pas d’ignorer quand une personne est née
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s peuples et des patriciats dépossédés. Dès 1802,
Napoléon
écrivait aux délégués helvétiques qu’il avait convoqués à Paris : « L
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ux Suisses, dans cette Europe où les campagnes de
Napoléon
venaient de susciter les passions nationales, était celui du renforce
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nique sous la houlette de fer d’un seul berger :
Napoléon
à Sainte-Hélène disait que dans un proche avenir le monde serait une
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venant « patriotes ». Je songe à des hommes comme
Napoléon
, Goethe, Beethoven, Stendhal, Henri Heine, Schopenhauer. Qu’on ne m’e