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e fédération continentale ou mondiale. L’échec de
Napoléon
, puis celui d’Hitler, dans leurs tentatives pour faire l’unité de l’E
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e projet de fédération européenne13 que va signer
Napoléon
, — hélas trop tard. Et son fédéralisme européen préfigure le régime q
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lle ne sera pas non plus l’œuvre d’un dictateur :
Napoléon
, Hitler ont échoué pour longtemps. Ni spontanée, ni fatale, ni imposé
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acées, encore moins les départements découpés par
Napoléon
, ni les « Länder » allemands, trop grands, ni les cantons suisses tro
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ois devenus pour le dur malheur de l’Europe, sous
Napoléon
, sous Hitler. Ces « terribles simplificateurs », pour reprendre les t
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devant le corps des fonctionnaires institués par
Napoléon
pour effacer jusqu’au souvenir des autonomies régionales, voilà qui n
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ional par l’appareil étatique, qui est l’œuvre de
Napoléon
, la nationalisation de l’État royal et l’étatisation de la nation rév
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ont des empires manqués, à commencer par celui de
Napoléon
, les seuls empires réussis de notre temps se trouvent être des fédéra
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acées, encore moins les départements découpés par
Napoléon
, ni les « Länder » allemands, trop grands, ni les cantons suisses, tr
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devant le corps des fonctionnaires institués par
Napoléon
pour effacer jusqu’au souvenir des autonomies régionales, voilà qui n
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ersonne ne m’a démontré qu’entre les ambitions de
Napoléon
et celles d’un dictateur du xxe siècle il y ait d’autres différences
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ens techniques de mise au pas d’une nation. Et de
Napoléon
à tout État-nation contemporain, la continuité est indéniable… Ce n’e