1 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
1 ait Grouchy. » Et Waterloo fut une victoire. Mais Napoléon abdiqua et termina ses jours à Sainte-Hélène. Tel est le sujet. En so
2 facteur Waterloo, et nous démontre que l’équation Napoléon n’en doit pas moins avoir pour second membre l’abdication. Il y a san
3 emand : une « imagination » profonde du destin de Napoléon , voilà ce que nous propose Robert Aron50. Il a pensé qu’il valait mie
4 ’au cours des journées qui précèdent la bataille, Napoléon a découvert la vie concrète d’un pays et des êtres dont c’est la patr
5 toire le condamne. Je simplifie encore la thèse : Napoléon gagne Waterloo parce qu’il retrouve le « personnalisme » mais cela mê
6 . 50. Jean-Paul rapporte un rêve où il disait à Napoléon  : « Je ne suis jamais plus intelligent qu’au lit, quand je rêve de vo
2 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
7 si toutefois il ne tient pas à avoir raison comme Napoléon , qui faisait les demandes et les réponses. 51. On me dira que mon p