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ait Grouchy. » Et Waterloo fut une victoire. Mais
Napoléon
abdiqua et termina ses jours à Sainte-Hélène. Tel est le sujet. En so
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facteur Waterloo, et nous démontre que l’équation
Napoléon
n’en doit pas moins avoir pour second membre l’abdication. Il y a san
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emand : une « imagination » profonde du destin de
Napoléon
, voilà ce que nous propose Robert Aron50. Il a pensé qu’il valait mie
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’au cours des journées qui précèdent la bataille,
Napoléon
a découvert la vie concrète d’un pays et des êtres dont c’est la patr
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toire le condamne. Je simplifie encore la thèse :
Napoléon
gagne Waterloo parce qu’il retrouve le « personnalisme » mais cela mê
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. 50. Jean-Paul rapporte un rêve où il disait à
Napoléon
: « Je ne suis jamais plus intelligent qu’au lit, quand je rêve de vo