1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
1 e en travers de l’effort centralisateur des rois. Napoléon devait achever cette œuvre à la faveur de ses guerres, et pour elles.
2 tés Le modèle de société génialement bâclé par Napoléon en vue de la guerre et de rien d’autre, c’est l’état de siège en perm
3 « sauvage » ne durera pas longtemps : à partir de Napoléon , la dialectique de la croissance du pouvoir ne comportera plus seulem
4 ux aggravations successives de la guerre ; enfin, Napoléon l’achève en organisant l’État-nation, d’abord en vue de la guerre et
5 gent une discipline sans cesse accrue du citoyen. Napoléon l’avait prévue dès son accession au pouvoir : il entendait tout mettr
6 eligion. Tout cela, qui était le grand dessein de Napoléon , mais qui après lui avait soulevé tant de résistances dans les élites
7 tait en train de l’oublier. S’il n’a cessé depuis Napoléon d’étendre ses pouvoirs sur toute la société et d’accroître ses préten
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
8 assé. C’est Louis XIV, les jacobins, Bonaparte et Napoléon , et ce sont les États-nations qui voudraient bien être totalitaires,
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
9 nante. Lénine compris195. L’État-nation — formule Napoléon , Bismarck, Lénine, Staline, Mussolini, Hitler, Mao — égale police plu
10 chines ne savent réagir qu’à nos humeurs.) Depuis Napoléon , l’État-nation s’est toujours révélé beaucoup plus fort que les mouve
11 se qu’une tyrannie accrue — la Terreur jacobine à Napoléon , la Révolution d’octobre à Staline. Quant à ceux qui aiment à répéter