1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 t casquée pour la lutte de l’après-guerre. ⁂ Deux philosophies , affirme-t-il, se disputent le monde. L’une vient de l’Orient, et ins
2 progrès, l’humanitarisme, le bolchévisme. L’autre philosophie est celle de l’antique Rome, qui a inspiré le catholicisme, la Renais
3 mble bien paradoxal de vouloir unir dans une même philosophie la morale jésuite, faite de règles et de contraintes imposées dans le
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
4 ent au contraire tirés de quelque terne manuel de philosophie ou de psychanalyse. Ces principes ? Ils se laissent hélas résumer en
5 endances encore un peu vagues d’un groupe tel que Philosophies laissent pressentir des révolutions plus réelles. On souhaite qu’aprè
3 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
6 sanne et directeur de la Revue de théologie et de philosophie , inaugura lundi soir à l’aula, devant un très nombreux public, la sér
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
7 efficace. (Je vois Jean Prévost, deux ou trois de Philosophies , des Cahiers du Mois, et peut-être Drieu la Rochelle, s’il voulait…)
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
8 r les données modernes de la psychologie et de la philosophie . Pour nous prémunir contre le pouvoir d’analyse — une analyse qui ret
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
9 l ; forme qui permet à l’auteur de divaguer de la philosophie au lyrisme le plus échevelé en passant par la description réaliste ou
7 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
10 à notre temps. II. M. Ford a ses idées, ou la philosophie de ceux qui n’en veulent pas Nous avons dit tout à l’heure quel fu
11 isfaction de nos besoins. » — Ford se moque de la philosophie . Il ne peut empêcher que son attitude ne porte un nom philosophique :
12 hommes. » C’est le bonheur, le salut par l’auto. Philosophie réclame. « Ce que j’ai à cœur, aujourd’hui, c’est de démontrer que le
13 fluent le plus sur notre civilisation, possède la philosophie la plus rudimentaire. Le phénomène n’est pas nouveau en Occident, mai
14 ue et pas dangereux du tout. On n’en fait pas une philosophie . Mais, sans qu’on s’en doute, cela en prend la place. Les facultés de
8 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
15 ner son morne triomphe. Certes, la plupart de nos philosophies , officiellement, l’ont renié. Mais pourquoi tant et toujours plus de
16 nschvicg dans Le Progrès de la conscience dans la philosophie occidentale, p. 695.) 8. Les humanités y trouveraient bien leur plac
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
17 ais, c’est que son lyrisme est l’expression d’une philosophie à l’état naissant ; il est la vibration même d’une pensée en travail
10 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
18 caractère assez directement autobiographique. La philosophie de ce Garine, en effet, ressemblait singulièrement à celle que M. Mal
11 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
19 efuse à montrer aucune compensation : « l’art, la philosophie , la politique étant absents, faute d’emploi, il n’y avait aucune corr
20 yse trois attitudes typiquement sécularistes : la philosophie des lumières, celle de la technique, celle du primat de la Vie. Ce lu
21 cette espèce est inévitablement coincé entre une philosophie religieuse concrète d’une part, et le matérialisme historique de l’au
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
22 n, et il s’agit de la résoudre dans le sens d’une philosophie de la vie qui rende aux valeurs spirituelles leur primauté : car c’es
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
23 es, en particulier dans la Revue d’histoire et de philosophie religieuses de Strasbourg (Pascal et Kierkegaard), et dans la Revue d
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
24 belles nattes et de se plonger dans ses livres de philosophie . Il entendait une voix intérieure qui lui disait : « Si tu te mêles d
15 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
25 la composante réelle tend vers zéro, c’est d’une philosophie de l’existence personnelle qu’avant tout nous avons besoin. Kierkegaa
26 st depuis plusieurs années déjà pénétrée de cette philosophie , ainsi qu’en témoigne l’accueil fait à la pensée d’un Karl Barth, gén
27 nous sont peu familiers. Et puis enfin, voilà une philosophie qui postule la vision, c’est-à-dire l’appréhension poétique du monde.
16 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
28 es machines ? Où tendent nos métaphysiques et nos philosophies mal embrayées ?… Nous voici ramenés aux questions simples, et réputée
17 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
29 te, bavarde impunément à travers les systèmes. La philosophie n’est pas seule responsable d’un divorce que la nature humaine désira
30 Kierkegaard : « Conclusion peu scientifique à la Philosophie en miettes. » 2. Contemporaines d’un Nietzsche, d’un Ibsen, d’un Rim
31 ective. 4. Les attaques de Kierkegaard contre la philosophie dialectique de l’histoire, d’où Marx, Engels et Feuerbach devaient ti
18 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
32 en, par exemple, à militer en faveur du marxisme, philosophie antichrétienne dans son essence, et par suite, dans l’action qu’elle
33 de notions dynamiques. Nietzsche réclamait une «  philosophie à coups de marteau ». Ce peut être le marteau du constructeur, aussi
34 oups d’épingle. Ce qu’il veut dégonfler, c’est la philosophie avec grand P, la doctrine officielle de la Sorbonne, cette pensée fab
35 qui sont posées ici, qui sont retournées ici. La philosophie présente qui dit et croit qu’elle se déroule au profit de l’homme, es
36 en faveur des hommes concrets ? À quoi sert cette philosophie  ? Que fait-elle pour les hommes ? Que fait-elle contre eux ? Selon M
37  ? Que fait-elle contre eux ? Selon M. Nizan, la philosophie régnante est caractérisée par son refus d’aborder les questions dites
38 t, une scandaleuse distance entre ce qu’énonce la philosophie et ce qui arrive aux hommes en dépit de sa promesse. » M. Brunschvicg
39 ence des pouvoirs ; on ne voit pas à quoi mène la philosophie sans matière, la philosophie sans rime ni raison » … « Il n’y a aucun
40 t pas à quoi mène la philosophie sans matière, la philosophie sans rime ni raison » … « Il n’y a aucune raison d’écarter ce genre d
41 . Mais dans la mesure, si faible soit-elle, où la philosophie actuelle exerce une action, ne fût-ce que sur les étudiants forcés de
42 en à l’endroit des résultats « humains » de toute philosophie .) Mais ensuite, et à notre tour, nous demanderons : que fait, que com
43 urgent. Je demande à M. Nizan si son appel à une philosophie vraiment humaine, dont les pensées concernent chaque homme dans chaqu
19 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
44 tes philosophes, certains éléments subsistants de Philosophies , ou naissants, de Réalité. (Et je ne parle ici à peu près que d’amis,
20 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
45 st pas ici pour parler de théologie et de subtile philosophie  ». André Philip, défenseur de Martin, lui répondra non sans violence 
21 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
46 s perpétuelles et urgentes questions ; en face de philosophies qui de Descartes à Kant, ou de Hegel à Marx, ont cru pouvoir nous sau
22 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
47 de et des résultats hautement contradictoires des philosophies . La critique postkantienne ayant fait justice de certaines prétention
48 re d’une vérité absolue, on put se demander si la philosophie n’allait pas démissionner, purement et simplement. W. James ne disait
49 discipline » ? Et d’ailleurs, une démission de la philosophie eût impliqué, au concret, la démission réelle de tous les professeurs
50 t, la démission réelle de tous les professeurs de philosophie , à quoi personne ne peut songer sérieusement. On trouva des solutions
51 On trouva des solutions élégantes. D’une part, la philosophie se transforma en histoire comparée des systèmes ; d’autre part, les «
52 onstitueront peut-être la dogmatique laïque de la philosophie des sciences, durant quelques années encore. Mais ce n’est pas, comme
53 adoxes de l’existence. Ce que nous demandons à la philosophie , c’est de mettre en forme une problématique réelle, existentielle, la
23 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
54 de bolchévisme qu’il décrit ainsi : « Dans cette philosophie et cette morale est délibérément supprimée toute idée de liberté, tou
24 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
55 employer un terme favori de la théologie et de la philosophie allemande contemporaines1 ? L’une des caractéristiques de notre temps
25 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
56 lques-unes.) Le « monde d’objets » dans lequel la philosophie moderne s’est enfermée ne comporte plus d’autre liberté, pour l’espri
26 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
57 t nous persuade qu’on ne s’atteint jamais. Et les philosophies de l’Occident mettent le comble à cette gigantesque pagaille dont naq
27 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
58 Le processus concret dans lequel Marx a inséré sa philosophie , c’était la lutte des classes provoquée par le premier épanouissement
28 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
59 libéraux — en politique — et les idéalistes — en philosophie — nous l’ont légué, c’est l’homme qui n’a pas de prochain et qui n’es
60 strictement humaine. On peut parler en termes de philosophie du rapport d’un je à un tu. Mais on ne peut le comprendre et le vivre
29 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
61 ui ne les lisent plus. Le public se figure que la philosophie est une activité qui ne le concerne pas. Il ne nie pas sa valeur intr
62 évident que cette phrase, en fait, supprime toute philosophie . Ou bien le primum vivere se trouve être réalisé, et quel besoin alor
63 des considérations sur cet acte ; ou c’est que la philosophie n’est qu’illusion et mystification. Une pensée vivante, une pensée qu
64 vons attendre qu’il fasse passer de l’air dans la philosophie française ; un de ceux pour lesquels philosopher ne figure pas l’acti
65 t, en 1934, un courage véritable pour utiliser en philosophie des motifs tels que le désespoir, l’espérance, la présence ou la fidé
66 que entre l’optimisme du progrès technique et une philosophie du désespoir, — autant de traits qui nous assurent que les problèmes
30 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
67 naliste-idéaliste de la synthèse, qui justifie en philosophie le monisme, en politique les tyrannies abstraites, Dandieu reprend l’
31 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
68 multiforme, et qui va croissant avec le temps. La philosophie allemande contemporaine, avec ses deux grands maîtres, Heidegger et J
69 ands maîtres, Heidegger et Jaspers, procède de sa philosophie de l’existence. La théologie barthienne se réclame de sa thèse princi
32 1934, Politique de la personne. Introduction — 5. En dernier ressort
70 ois pas un instant faire une œuvre ni d’art ni de philosophie . Les objets que diverses occasions tout imprévues — conférences, déba
33 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
71 de bolchévisme qu’il décrit ainsi : « Dans cette philosophie et cette morale est délibérément supprimée toute idée de liberté, tou
34 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
72 employer un terme favori de la théologie et de la philosophie allemandes contemporaines ?40 L’une des caractéristiques de notre te
35 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
73 trines et passions Je parle, dans ce livre, de philosophie politique et de doctrines sociales ; cela paraîtra sans doute un comb
36 1934, Politique de la personne. Appendice — 5. La Révolution nécessaire
74 naliste-idéaliste de la synthèse, qui justifie en philosophie le monisme, en politique les tyrannies abstraites, Dandieu reprend l’
37 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 5. En dernier ressort
75 ois pas un instant faire une œuvre ni d’art ni de philosophie . Les objets que diverses occasions tout imprévues — conférences, déba
38 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
76 de bolchévisme qu’il décrit ainsi : « Dans cette philosophie et cette morale est délibérément supprimée toute idée de liberté, tou
39 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
77 employer un terme favori de la théologie et de la philosophie allemandes contemporaines ?33 L’une des caractéristiques de notre te
40 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
78 trines et passions Je parle, dans ce livre, de philosophie politique et de doctrines sociales ; cela paraîtra sans doute un comb
41 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
79 estime être plus utile à la cité en faisant de la philosophie et de la théologie pures. 4. Mais — la politique est à nos yeux tout
42 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
80 il un seuil entre cité et humanité ? (Archives de philosophie du droit, 1933, p. 212.) 23. L’Ordre nouveau, Paris, n° 9, p. vii.
43 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
81 il la foi ? Qu’est-ce que la foi ? Hegel, dont la philosophie obsède à ce moment l’esprit de Kierkegaard, Hegel esquive la question
44 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
82 ans avant Nietzsche, partait en guerre contre la philosophie de l’Évolution selon Hegel, et dénonçait en elle non seulement un suc
45 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
83 u rationalisme solennel ou vulgaire. (Aufklärung, philosophie des Lumières, claire logique, obscurantisme, etc.). Pour illustrer qu
84 e la métaphysique chrétienne, et après elle toute philosophie qui postule la transcendance de l’éternel, répondent : celui qui voit
85 alité spécifique du monde de l’Incarnation, où la philosophie de l’organique peut trouver ses mesures humaines et sa justification
46 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
86 nvergure. Löwith voit en Hegel l’achèvement de la philosophie classique, aux deux sens du mot achèvement. À partir de Hegel, dit-il
87 d’autre possibilité que celle de « réaliser » la philosophie . Réaliser, c’est s’engager dans l’aventure politique ou religieuse. A
88 tiens, marxistes ou personnalistes. Désormais, la philosophie cessera d’être une simple description : elle va devenir action transf
89 personnalistes soit le fait, provisoire, de toute philosophie naissante qui prétend restituer aux mots leur pouvoir pratiquement bo
90 ntérêt, au sens fort, de l’apport des poètes à la philosophie et à l’éthique. Les études de E. Weil sur l’histoire, de M. Souriau s
47 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
91 r formulé l’équivalent de ce préjugé en termes de philosophie . C’est d’avoir enseigné au peuple un culte de l’esprit intemporel — c
92 niser en belles séries, selon les exigences d’une philosophie tantôt matérialiste, tantôt idéaliste, tantôt marxiste et tantôt hégé
93 et désordonnée des gestes de l’humanité. Pour la philosophie , non contente d’avoir sophistiqué l’histoire, elle veut se réduire à
94 t sans précision, c’est un grand résultat pour la philosophie  ; mais c’est une abdication de tout rôle actif. L’avenir est à ceux q
95 « La science maîtresse, le souverain… ce sera la philosophie , c’est-à-dire la science qui recherche le but et les conditions de la
96 e que le passage du droit au fait (du droit de la philosophie au fait de son gouvernement) s’opérera sans qu’il y mette les mains.
97 u à peu, Renan découvre (« grand résultat pour la philosophie  ») que la science ne saurait régner qu’in partibus, dans un monde pur
48 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
98 gueur le passage de la dialectique de Boehme à la philosophie de Fichte et de Hegel, d’où sont effectivement sortis un certain nati
49 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
99 dans la mesure où ils annoncent le lyrisme et la philosophie d’une des plus hautes périodes de l’esprit humain. J’entends le premi
50 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
100 n pressent chez Kafka des intentions morales, une philosophie , et la recherche au moins d’une théologie. Tout cela, qui n’est pas e
51 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
101 rain de devenir une sorte de pont aux ânes de nos philosophies politiques (Berdiaev, Maritain, Dandieu, Mounier, préface de Malraux
52 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
102 estime être plus utile à la cité en faisant de la philosophie et de la théologie pures. En résumé : si la politique n’est que ce qu
53 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
103 e l’Église, pour la débarrasser des intrusions de philosophies passagères quelles qu’elles soient. Pour Barth, c’est Dieu qui met l’
104 s’il ne tenait, par ailleurs, à l’étayer par une philosophie qui ne saurait plus être la nôtre : j’entends le criticisme à peine c
105 é. Le contenu de la Révélation, malgré toutes les philosophies , doit rester pour tous les croyants : « Emmanuel ! » qui signifie : D
54 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
106 t en sens inverse. Elle agit tout d’abord dans la philosophie  : la ruine des grands idéalismes est consommée par le triomphe des ph
55 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
107 fait pas un art avec un point de vue d’art, ou de philosophie , ou de morale, mais en refaisant une société où l’art exerce une fonc
56 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — III. Fatalités du rationalisme bourgeois
108 iècle devait flétrir du nom d’obscurantisme. La «  philosophie des lumières » en est l’illustration fameuse. Or c’est elle qui est à
57 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VI. L’Arche de l’Alliance
109 » Que reste-t-il de ce que nous nommons culture ? Philosophie , beaux-arts, fictions écrites, science, industrie, tout cela est sacr
58 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
110 érêts sous peine de mort. La Diesseitigkeit de la philosophie hitlérienne a été fort bien exprimée par Rosenberg dans un discours o
59 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
111 t en sens inverse. Elle agit tout d’abord dans la philosophie  : la ruine des grands idéalismes est consommée par le triomphe des ph
60 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
112 trice. Trop de penseurs inoffensifs secrètent des philosophies correctes, trop de drames inoffensifs se nouent par jeu dans nos roma
113 ifique que se conforment l’art, les lettres et la philosophie modernes. Et la morale qui correspond à tout cela ? — On fait l’amour
114 ’arguments, traités de rhétorique, histoire de la philosophie , table de logarithmes, statistiques, commentaires, Larousse même ! Je
115 te, bavarde impunément à travers les systèmes. La philosophie n’est pas seule responsable d’un divorce que la nature humaine désire
116 ercle est vicieux. L’histoire, la psychologie, la philosophie telles qu’ils les comprennent, c’est cela qu’on enseigne à l’universi
61 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
117 e activité. Les attaques de Kierkegaard contre la philosophie dialectique de l’histoire, d’où Marx, Engels et Feuerbach devaient ti
118 sses. Retour à la personne, tel est le sens de la philosophie « existentielle » sous toutes ses formes, et des mouvements théologiq
119 daient un peu plus que méfiants à l’endroit d’une philosophie qui, après coup, les légitime… Une fois de plus, je rappellerai qu’il
120 enace. 97. C’est le thème le plus frappant de la philosophie sociale actuelle. Pour me borner au domaine français, je citerai : Re
62 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
121 teraient l’inquisition ? Qu’on ne dise pas que la philosophie d’un grand poète importe moins que son humanité, que son lyrisme, ou
63 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — III. Fatalités du rationalisme bourgeois
122 iècle devait flétrir du nom d’obscurantisme. La «  philosophie des lumières » en est l’illustration fameuse. Or c’est elle qui est à
64 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VI. L’Arche de l’Alliance
123 » Que reste-t-il de ce que nous nommons culture ? Philosophie , beaux-arts, fictions écrites, science, industrie, tout cela est sacr
65 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
124 érêts sous peine de mort. La Diesseitigkeit de la philosophie hitlérienne a été fort bien exprimée par Rosenberg dans un discours o
66 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
125 t en sens inverse. Elle agit tout d’abord dans la philosophie  : la ruine des grands idéalismes est consommée par le triomphe des ph
67 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
126 trice. Trop de penseurs inoffensifs secrètent des philosophies correctes, trop de drames inoffensifs se nouent par jeu dans nos roma
127 ifique que se conforment l’art, les lettres et la philosophie modernes. Et la morale qui correspond à tout cela ? — On fait l’amour
128 ’arguments, traités de rhétorique, histoire de la philosophie , table de logarithmes, statistiques, commentaires, Larousse même ! Je
129 yé, bavarde impunément à travers les systèmes. La philosophie n’est pas seule responsable d’un divorce que la nature humaine désire
130 ercle est vicieux. L’histoire, la psychologie, la philosophie telles qu’ils les comprennent, c’est cela qu’on enseigne à l’universi
68 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
131 e activité. Les attaques de Kierkegaard contre la philosophie dialectique de l’histoire, d’où Marx et Engels devaient tirer le maté
132 sses. Retour à la personne, tel est le sens de la philosophie « existentielle » sous toutes ses formes, et des mouvements théologiq
133 daient un peu plus que méfiants à l’endroit d’une philosophie qui, après coup, les légitime… Une fois de plus, je rappellerai qu’il
134 nace. 100. C’est le thème le plus frappant de la philosophie sociale actuelle. Pour me borner à ce qui est paru en français : Reno
69 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
135 (Thèses sur Feuerbach). 43. Marx, Critique de la philosophie hégélienne du droit. 44. Au sens le plus large du terme, qui peut dé
136 cer la critique des armes » (Marx, Critique de le philosophie hégélienne). Il faut en user, certes, mais elle ne suffit pas. « Être
70 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
137 » Que reste-t-il de ce que nous nommons culture ? Philosophie , beaux-arts, fictions écrites, science, industrie, tout cela est sacr
71 1937, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
138 uvons plus éprouver en présence de la plupart des philosophies de naguère et d’aujourd’hui, telles qu’elles se présentent à nous. Av
139 Si notre monde tient encore debout, c’est que les philosophies qui le partagent restent gratuites, relativistes et inactuelles dans
140 nne, précisément, d’actualisations partielles des philosophies que nous repoussons ? Nous serions mal venus à le nier. Si le monde d
141 qu’il y a dans le monde plus d’actualité que nos philosophies n’en peuvent concevoir. Et s’il y a du désordre, c’est que ces philos
142 concevoir. Et s’il y a du désordre, c’est que ces philosophies sont tout de même moins inopérantes que souvent elles ne voudraient l
143 agesse vulgaire appelle « prendre les choses avec philosophie  »… Ceci nous amène à constater que : 1° Si on ne part pas de l’acte,
144 onnaître qu’un tel discours, dans l’état de notre philosophie , paraîtra peu philosophique. Personne, mieux que Kierkegaard, n’a su
145 ouvons faire comprendre la véritable valeur d’une philosophie de l’acte qu’en montrant comment ses caractères principaux, tels que
72 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
146 cte comporte de risque dans la création. 4. De la philosophie , qu’à la suite du Dr Minkowski, l’on serait tout disposé à traiter co
147 e, enfin de la cosmologie. (J’en passe.) 7. D’une philosophie du jeu, et de l’attitude du sérieux… Arrêtons-nous à ce chiffre sacré
73 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
148 re, fécondant de vastes domaines : poésie, roman, philosophie et sciences de l’homme. Il était temps qu’un ouvrage d’ensemble repre
74 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
149 rnier événement nietzschéen : L’Introduction à la philosophie de N. publiée par Karl Jaspers. Je signale ce grand livre à ceux qui
75 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
150 précédent.) — Du rationalisme considéré comme la philosophie des célibataires9 — des États malthusiens — et de la classe des retra
76 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
151 poser ce problème, très brièvement, en termes de philosophie et d’éthique personnalistes. On a souvent opposé à notre attitude, et
77 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
152 , dans la musique ou la peinture, la poésie ou la philosophie . Et peut-être ne serons-nous jamais aussi grands qu’aucune d’entre el
78 1937, Articles divers (1936-1938). « Subjectivité et transcendance », Lettre de M. Denis de Rougemont (décembre 1937)
153 Pourquoi voulez-vous — ou veulent-ils — que la philosophie se purifie de théologie ? La théologie vaut bien la science. C’est mê
154 Rougemont », Bulletin de la Société française de philosophie , Paris, décembre 1937, p. 204. x. Lettre publiée parmi les réactions
79 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
155 entifiant avec les groupes, avec le forum, que ma philosophie a pris une consistance inébranlable… Je suis sûr de moi depuis que je
80 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
156 ord, mais aussi dans celui de la culture et de sa philosophie . Au terme de cet essai, il suffira sans doute de dégager le principe
81 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
157 hie d’abstractions mystiques, figurant d’abord la philosophie , puis la Science, puis la Science sacrée. Un petit fait encore : deux
82 1939, L’Amour et l’Occident. Livre III. Passion et mystique
158 assomption finale de la Nuit par le Jour dans sa Philosophie . (Cf. trad. française par H. Corbin dans Hermès, I, 1938.)
83 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
159 son caractère d’art. De même pour telle ou telle philosophie . Mais le cas est tout différent lorsqu’il s’agit d’une littérature do
160 nte n’est jamais plus passionné qu’en chantant la Philosophie , si ce n’est quand elle devient la Science sacrée. Sincérité bien pro
161 ne première éclipse du mythe dans les mœurs et la philosophie . La mise en ordre (pour ne pas dire mise au pas) de la société féodal
162 du meurtre telle que la présente Dolmancé dans la Philosophie du Boudoir : « Eh quoi ! un souverain ambitieux pourra détruire à son
163 troubadours. Béatrice deviendra successivement la Philosophie , la Sagesse et la Science sacrée qui mène au Paradis et en explique l
84 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
164 ration que mena la Prusse contre Napoléon. Et les philosophies d’essence passionnelle d’un Fichte et d’un Hegel, par exemple, furent
85 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VII. L’Amour action, ou de la fidélité
165 ord, mais aussi dans celui de la culture et de sa philosophie . Au terme de cet ouvrage, il suffira sans doute de dégager le princip
86 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
166 avec lequel ils définissent leurs sentiments. La philosophie de Motse (taoïste) — la seule un peu chrétienne, qui a pour fondement
167 ossowski : le Mal et la négation d’autrui dans la philosophie de D. A. F. de Sade et Temps et Agressivité. (Recherches philosophiqu
87 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
168 es régions de l’être obscur que le bon sens et la philosophie prétendaient mettre au ban de l’humanité. Et tandis que dans sa paniq
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
169 hie d’abstractions mystiques, figurant d’abord la philosophie , puis la Science, puis la Science sacrée. Un petit fait encore : deux
89 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre III. Passion et mystique
170 assomption finale de la Nuit par le Jour dans sa Philosophie . (Cf. trad. française par H. Corbin dans Hermès, I, 1938.)
90 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
171 son caractère d’art. De même pour telle ou telle philosophie . Mais le cas est tout différent lorsqu’il s’agit d’une littérature do
172 nte n’est jamais plus passionné qu’en chantant la Philosophie , si ce n’est quand elle devient la Science sacrée. Sincérité bien pro
173 ne première éclipse du mythe dans les mœurs et la philosophie . La mise en ordre (pour ne pas dire mise au pas) de la société féodal
174 du meurtre telle que la présente Dolmancé dans la Philosophie du Boudoir : « Eh quoi ! un souverain ambitieux pourra détruire à son
175 troubadours. Béatrice deviendra successivement la Philosophie , la Sagesse et la Science sacrée qui mène au Paradis et en explique l
91 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
176 ration que mena la Prusse contre Napoléon. Et les philosophies d’essence passionnelle d’un Fichte et d’un Hegel, par exemple, furent
92 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
177 ord, mais aussi dans celui de la culture et de sa philosophie . Au terme de cet ouvrage, il suffira sans doute de dégager le princip
93 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
178 hie d’abstractions mystiques, figurant d’abord la philosophie , puis la Science, puis la Science sacrée. Un petit fait encore : deux
94 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre III. Passion et mystique
179 assomption finale de la Nuit par le Jour dans sa Philosophie . (Cf. trad. française par H. Corbin dans Hermès, I, 1938.)
95 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
180 son caractère d’art. De même pour telle ou telle philosophie . Mais le cas est tout différent lorsqu’il s’agit d’une littérature do
181 nte n’est jamais plus passionné qu’en chantant la Philosophie , si ce n’est quand elle devient la Science sacrée. Sincérité bien pro
182 ne première éclipse du mythe dans les mœurs et la philosophie . La mise en ordre (pour ne pas dire mise au pas) de la société féodal
183 du meurtre telle que la présente Dolmancé dans la Philosophie dans le Boudoir : « Eh quoi ! un souverain ambitieux pourra détruire
184 troubadours. Béatrice deviendra successivement la Philosophie , la Sagesse et la Science sacrée qui mène au Paradis et en explique l
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
185 ration que mena la Prusse contre Napoléon. Et les philosophies d’essence passionnelle d’un Fichte et d’un Hegel, par exemple, furent
97 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
186 ord, mais aussi dans celui de la culture et de sa philosophie . Au terme de cet ouvrage, il suffira sans doute de dégager le princip
98 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
187 avec lequel ils définissent leurs sentiments. La philosophie de Motse (taoïste) — la seule un peu chrétienne, qui a pour fondement
188 ossowski : le Mal et la négation d’autrui dans la philosophie de D. A. F. de Sade et Temps et Agressivité. (Recherches philosophiqu
99 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
189 , dans la musique ou la peinture, la poésie ou la philosophie . Et peut-être ne serons-nous jamais aussi grands qu’aucune d’entre el
100 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
190 ît au concret le problème, ou la nécessité, d’une philosophie fédéraliste. Car lorsqu’il s’agit de prévoir, l’empirisme ne suffit p
191 ques. (C’est pourquoi l’on ne peut concevoir une philosophie fédéraliste que sous une forme non logique : aphoristique. Telle que
192 st en quoi il est véritablement personnaliste. La philosophie de la personne est d’ailleurs la seule philosophie acceptable pour le
193 hilosophie de la personne est d’ailleurs la seule philosophie acceptable pour le fédéraliste. Je définis la personne comme l’homme