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est celle de Jean-Paul à la mort de ses amis, de
Novalis
perdant Sophie von Kuhn, de Guérin méditant sur la mort de Marie, ou
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ie des sublimations — sauf peut-être Jean-Paul et
Novalis
. Ils n’arrivent pas à retrouver, dans leur au-delà, une présence qui
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que. Et je ne dis pas du tout que les écrits d’un
Novalis
ou d’un Jean Paul soient à sa source, ce serait absurde et injurieux