2
éface des Mariés de la tour Eiffel. Et une note d’
Orphée
précise : « Inutile de dire qu’il n’y a pas un seul symbole dans la p
3
us ou moins consciemment concerté la possibilité.
Orphée
, par exemple, serait un poète surréaliste. « Il faut jeter une bombe,
4
isateur », disait le photographe des Mariés. Dans
Orphée
, le mystère ne peut plus dépasser l’auteur : il l’a trop bien organis
5
t pur » n’est pas respirable. Il ne manque rien à
Orphée
, sinon peut-être cette indispensable « part de Dieu » — comme dit Gid
6
ans la Gazette de Lausanne . Et même il appelait
Orphée
« une tragédie de l’amour conjugal ». Vraiment, nous n’en demandions
7
». Vraiment, nous n’en demandions pas tant… g. «
Orphée
sans charme », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fri