1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 s on ne sait où. Et je me demande, après Aroux et Péladan , si le secret de toute cette poésie ne devrait pas être cherché beauc
2 s grandes les perspectives entrevues par Aroux et Péladan . Et c’est plus qu’il n’en faut pour justifier mon interprétation reli
3 s secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn, Péladan et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et la mystiqu
2 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
4 du siècle dernier : Eugène Aroux et, à sa suite, Péladan . Aroux expose le résultat de ses inductions dans un ouvrage aujourd’h
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
5 s on ne sait où. Et je me demande, après Aroux et Péladan , si le secret de toute cette poésie ne devrait pas être cherché beauc
6 our des cathares (comme ont pu le croire Aroux et Péladan ), ni la Maria-Sophia des hérésies gnostiques (le Principe féminin de
7 s secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn, Péladan et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et la mystiqu
8 troubadours pouvaient être — selon Rahn, Aroux et Péladan  — une sorte de langage secret du catharisme. Une relecture des chapit
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
9 s on ne sait où. Et je me demande, après Aroux et Péladan , si le secret de toute cette poésie ne devrait pas être cherché beauc
10 our des cathares (comme ont pu le croire Aroux et Péladan ), ni la Maria-Sophia des hérésies gnostiques (le Principe féminin de
11 s secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn, Péladan et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et la mystiqu
12 Lumière, Foi, Église, est tenu par certains (dont Péladan et Rahn) pour un indice probable de catharisme chez un troubadour. Le
13 troubadours pouvaient être — selon Rahn, Aroux et Péladan  — une sorte de langage secret du catharisme. Une relecture des chapit
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
14 du siècle dernier : Eugène Aroux et, à sa suite, Péladan . Aroux expose le résultat de ses inductions dans un ouvrage aujourd’h
6 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
15 troubadours pouvaient être — selon Rahn, Aroux et Péladan — une sorte de langage secret du catharisme — une relecture des chapi