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s on ne sait où. Et je me demande, après Aroux et
Péladan
, si le secret de toute cette poésie ne devrait pas être cherché beauc
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s grandes les perspectives entrevues par Aroux et
Péladan
. Et c’est plus qu’il n’en faut pour justifier mon interprétation reli
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s secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn,
Péladan
et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et la mystiqu
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du siècle dernier : Eugène Aroux et, à sa suite,
Péladan
. Aroux expose le résultat de ses inductions dans un ouvrage aujourd’h
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s on ne sait où. Et je me demande, après Aroux et
Péladan
, si le secret de toute cette poésie ne devrait pas être cherché beauc
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our des cathares (comme ont pu le croire Aroux et
Péladan
), ni la Maria-Sophia des hérésies gnostiques (le Principe féminin de
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s secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn,
Péladan
et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et la mystiqu
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troubadours pouvaient être — selon Rahn, Aroux et
Péladan
— une sorte de langage secret du catharisme. Une relecture des chapit
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s on ne sait où. Et je me demande, après Aroux et
Péladan
, si le secret de toute cette poésie ne devrait pas être cherché beauc
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our des cathares (comme ont pu le croire Aroux et
Péladan
), ni la Maria-Sophia des hérésies gnostiques (le Principe féminin de
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s secrètes de l’Église persécutée (thèse de Rahn,
Péladan
et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et la mystiqu
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Lumière, Foi, Église, est tenu par certains (dont
Péladan
et Rahn) pour un indice probable de catharisme chez un troubadour. Le
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troubadours pouvaient être — selon Rahn, Aroux et
Péladan
— une sorte de langage secret du catharisme. Une relecture des chapit
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du siècle dernier : Eugène Aroux et, à sa suite,
Péladan
. Aroux expose le résultat de ses inductions dans un ouvrage aujourd’h
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troubadours pouvaient être — selon Rahn, Aroux et
Péladan
— une sorte de langage secret du catharisme — une relecture des chapi