1
r les pays de l’Est, et pour ceux de l’Ouest, MM.
P.-H. Spaak
, van Kleffens et Kerstens, Trygvie Lie, Bech, Aghnides, Dejean, et pl
2
n ensemble de pays qui vivent, comme le dit alors
P.-H. Spaak
, « dans la peur des Russes et de la charité des Américains » ? C’est
3
s 1963, où je cite textuellement les arguments de
P.-H. Spaak
. b. Édition réalisée sur la base d’un tapuscrit conservé à la Biblio
4
oignent en tiers égal. Mais l’entente que redoute
P.-H. Spaak
est celle qui s’est déjà produite à Téhéran, puis à Yalta entre Roose
5
qui n’ajouta rien à La Haye, à part l’adhésion de
P.-H. Spaak
; puis un congrès économique à Westminster, en avril 1949, qui précis
6
mistes comme Pierre Uri, ou d’hommes d’État comme
P.-H. Spaak
. Mais le traité instituant la Communauté de défense européenne s’élab
7
ate du 23 août 1950, je trouve ce bref échange :
P.-H. Spaak
: — Les fédéralistes veulent tout, mais ils ne tiennent pas compte de