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.) a. « La voie et l’aventure », La Table ronde,
Paris
, n° 109, janvier 1957, p. 9-22. Il s’agit du chapitre I de L’Aventur
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re en réponse à Emmanuel Berl] », La Table ronde,
Paris
, n° 113, mai 1957, p. 31. Introduit par la note suivante de l’éditeur
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qui paraît simultanément à New York, Londres et
Paris
est destinée, me dit Denis de Rougemont, à répandre un peu plus les r
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s qu’on va lire, Hitler réoccupait la Rhénanie. À
Paris
, le président du Conseil criait au monde : « Nous opposerons au droit
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aux délégués helvétiques qu’il avait convoqués à
Paris
: « La Suisse ne ressemble à aucun autre État, soit par les événement
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à un délégué grec ou scandinave pour se rendre à
Paris
ou à Bruxelles ? L’Europe actuelle est pratiquement plus petite que l
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ch, 1916 ; William Martin, Histoire de la Suisse,
Paris
1930 ; Gonzague de Reynold, Conscience de la Suisse, Neuchâtel, 1938
14
enis de Rougemont, La Confédération helvétique ,
Paris
, 1953 ; André Siegfried, La Suisse, démocratie témoin, Neuchâtel, 194
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54. 22. William Martin, Histoire de la Suisse,
Paris
, 1926, p. 241. 23. Au facteur fédéralisant que représentèrent alors
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é mortel : la désunion des chrétiens », Réalités,
Paris
, n° 170, mars 1960, p. 66-67. Cet article paraît dans le dossier « Le
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par une République mondiale dont le centre serait
Paris
: Un corps ne se fait pas la guerre à lui-même, et le genre humain v
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qu’un seul corps, la nation unique… La commune de
Paris
sera le point de réunion, le fanal central de la communauté universel
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aux conspirations républicaines de 1833, exilé à
Paris
et à Bruxelles, puis réhabilité par le Piémont dont il devint le Prem
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sus-Christ […] et c’est ainsi qu’Athènes, Rome et
Paris
sont pléiades. Lois immenses. La Grèce s’est transfigurée, et est dev
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d’une aînée. […] Cette nation aura pour capitale
Paris
, et ne s’appellera point la France ; elle s’appellera l’Europe. Elle
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ossene Handelsstaat, trad. franç. par J. Gibelin,
Paris
, 1940. 29. Dans ses Grundzüge des gegenwärtigen Zeitalters, 1804-180
23
Heine. 34. Jean Variot, Propos de Georges Sorel,
Paris
, 1935. m. « Le nationalisme et l’Europe », La Table ronde, Paris, n°
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iberté et le sens de la vie », France catholique,
Paris
, n° 710, 8 juillet 1960, p. 1 et 6. Présenté par cette note : « Du 16
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é 1961)u Notre rencontre date de l’été 1947, à
Paris
. Nous étions quelques-uns dans le hall d’un hôtel, vers quatre heures
29
n-Jacques, Madame de Staël et Benjamin Constant à
Paris
. Quant à un C. G. Jung, à un C. F. Ramuz, à un Karl Barth ou à un Jea
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manique. En sortant du studio, nous apprenons que
Paris
vient d’être bombardé pour la première fois. Dans le train qui nous r
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tendre à la radio que les Allemands sont entrés à
Paris
. » — Merci. Repos ! Il est sorti, me voyant incapable de rien dire de
32
it deux pages sur la confrontation d’Hitler et de
Paris
, les ai recopiées et envoyées à la Gazette de Lausanne . « Voyez si l
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nçaises. Au lendemain de l’entrée des Allemands à
Paris
, Denis de Rougemont, alors incorporé à l’Adjudance générale de l’Armé
34
igue. Puis il y eut l’incident de mon article sur
Paris
. Je n’étais certes plus persona grata. Pourtant, le 16 juillet, Pro H
35
l — pour avoir écrit, au lendemain de la chute de
Paris
, un papier à la gloire de la capitale française qui n’était pas tendr
36
ielle de notre civilisation », Communes d’Europe,
Paris
, n° 29, novembre-décembre 1962, p. 5 et 20.
37
. « Dans vingt ans une Europe neuve », Problèmes,
Paris
, n° 83, novembre 1962, p. 9-14. Présenté par cette note : « Né à Neuc
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des dans diverses villes européennes, participa à
Paris
, en 1931, à la fondation des revues Esprit et L’Ordre nouveau , et
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reçoit une bonne instruction générale, puis va à
Paris
étudier la théologie, à Orléans et à Bourges étudier le droit. Quand
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es restent liées dans ma mémoire avec tout ce que
Paris
comptait de plus précieux et de plus émouvant sous la menace, en ces