1
plusieurs fois réédité dans les deux Amériques, à
Paris
et à Boudry), chacun sait que le diable n’est jamais où on l’attend.
2
ir à ce que le terrorisme signifie », Construire,
Paris
, n° 1, 4 janvier 1978, p. 11. Propos recueillis par Jean-Louis Kuffer
3
r. c. « Dépolitiser la politique », Le Sauvage,
Paris
, n° 49, janvier 1978, p. 44. Propos recueillis par Anne-Marie de Vila
4
cle que vous aviez écrit sur l’entrée de Hitler à
Paris
et qui avait irrité l’ambassadeur d’Allemagne. Pourquoi dites-vous qu
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Quel avenir voulons-nous », Magazine littéraire,
Paris
, n° 133, 1er février 1978, p. 66-68. Propos recueillis par Agathe Mal
6
un jeune responsable nazi que j’avais rencontré à
Paris
m’avait mis au défi d’aller observer en Allemagne ce qui se passait.
7
lyptique d’un optimiste », Hachette-Informations,
Paris
, n° 11, février-mars 1978, p. 21-24. Propos recueillis par Pierre Mur
8
i êtes-vous ? Fils d’un pasteur, je suis arrivé à
Paris
dans ces années 1930-1931, qu’un certain nombre de critiques et d’his
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imprégnée par ce déchirement. Rédacteur en chef à
Paris
mais tout autant lecteur universitaire à Francfort, il n’a pris posit
10
re un article déplaisant sur l’entrée de Hitler à
Paris
. L’ambassadeur du Reich avait demandé des sanctions à Berne, Denis de
11
pas les construire sur le Champ-de-Mars, en plein
Paris
, au lieu de les reléguer dans le Finistère ou le Haut-Rhin, d’où il e
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toute sa vie, à l’exception de quelques années à
Paris
, avant la guerre de 1914. Il se trouve être Suisse de nationalité, pa
13
its recueils de poèmes. Puis, durant son séjour à
Paris
, il s’était patiemment fait un style où réalisme et poésie se mêlaien
14
us pur : et c’est Présence de la mort. Tôt après,
Paris
le découvrait, le publiait, rééditait ses œuvres anciennes, se passio
15
9. Cf. Kostas Papaioannou, Marx et les marxistes,
Paris
, Flammarion, 1972. 10. Das Kapital, t. l, chap. 13, p. 528 et 529-5
16
e rêve. v. « L’amour, pas la guerre », La Vie,
Paris
, n° 1729, 19-25 octobre 1978, p. 63-64. Propos recueillis par Jean-Pi
17
hénane ou siennoise, ou aujourd’hui de l’École de
Paris
, désignant par là des styles ou des modes, mais comme s’il s’agissait
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duire les nouvelles lois, rédigées en français de
Paris
, dans les langues usitées en Bretagne, Alsace, Corse, Roussillon et P
19
du langage ». Quatre ans plus tard, la commune de
Paris
règne à la place du roi qu’elle a tué. Barère déclare à la Convention
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veut que l’uniformité reste stérile. Vienne et
Paris
Notre époque a fourni deux illustrations mémorables à ces règles t
21
s tout empiriques. Je veux parler de Vienne et de
Paris
, foyers locaux des grands courants de pensée et d’art du xxe siècle.
22
ils caractérisent une époque. Dans le même temps,
Paris
produit Valéry, Gide, Claudel et Marcel Proust, et baptise « École de
23
, Claudel et Marcel Proust, et baptise « École de
Paris
» une génération de grands peintres et sculpteurs venus de toute l’Eu
24
ae. « Un foyer de culture », 30 jours d’Europe,
Paris
, n° 246, janvier 1979, p. 19-20. af. On a ici corrigé la version imp
26
domine nos sociétés, à Moscou ou à Washington, à
Paris
ou à Londres, ou à Bonn… Les États-nations condamnés ! Alors, q
27
nous périrons séparés ! », Panorama aujourd’hui,
Paris
, avril-mai 1979, p. 11-12. Propos recueillis par Claude Goure et conc
28
. Le Serpent et la corde, par Raja Rao, trad. fr.
Paris
, 1950. 31. Dans Notes towards a definition of culture. 32. Motif in
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cerveau d’un vaste corps ? » (Variétés I, p. 24,
Paris
, 1924) est la reprise d’un thème ancien, que l’on trouve déjà dans le
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uve déjà dans le Grand Dictionnaire de L. Moreri (
Paris
, 1974) : « Quoique l’Europe soit la moindre des trois parties du cont
31
e par des gouvernements — en l’occurrence ceux de
Paris
, Berne et Genève. Dès ses premières séances, la Commission s’est donn
32
qui ne peut que transmettre ses vœux à Berne et à
Paris
, d’instituts sans pouvoir et de chercheurs isolés, risquent bien de n
33
e formation : Instituts européens de l’éducation (
Paris
) et de l’environnement (Bonn), dus à l’initiative de la Fondation eur
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24. La Part du diable , 1944, New York ; 1946,
Paris
et Neuchâtel. ac. « Notes pour une éthique du fédéralisme », Mensche
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l’engagement politique », Le Magazine littéraire,
Paris
, n° 161, 1er mai 1980, p. 54-56. Propos recueillis par Gérard Valbert
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en Allemagne puis en Belgique, jusqu’au retour à
Paris
en avril. Travail intermittent sur des écrits politiques. Mais, à par
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on monte rapidement, que « Buonaparte », rentré à
Paris
, semble reprendre en main la situation, et que grandissent les risque
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de Staël l’y pousse, elle imagine une régence que
Paris
confierait à Bernadotte… Courant après le prince et le succès de son
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éédité à Londres en février, comme il va l’être à
Paris
en avril, Constant est à Liège, puis à Bruxelles, où il apprend l’abd
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il note, rapide et sec à sa coutume : Arrivée à
Paris
… Il y a de la ressource pour la liberté. Il n’y en a plus pour notre
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l donc à rien ? 30 avril. Toutes mes relations à
Paris
sont brisées. Je ne crois pas qu’il y ait rien à faire. 5 mai. Visit
43
be, puis la veille même de l’entrée de Napoléon à
Paris
, Benjamin publie dans les Débats deux articles violents en faveur des
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ette ville vient de passer à l’empereur. Retour à
Paris
le 28 mars, à la faveur d’une amnistie. Journées de trouble profond,
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blicains, se rallie aux Bourbons dès son retour à
Paris
; qu’il soit le dernier à les défendre quand Louis XVIII et les siens
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e faire harakiri, lui seul, quand le roi a quitté
Paris
? « On m’a reproché de ne pas m’être fait tuer auprès du trône que, l
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, c’est l’empereur. De Golfe-Juan à Lyon, jusqu’à
Paris
, Napoléon a été accueilli aux cris de « Vive l’empereur ! » mais auss
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par Sébastiani la présence de Benjamin Constant à
Paris
: Il faut le faire arrêter ! s’écrie-t-il. — Y pensez-vous ? répliqu
49
nommer dans ses Principes de politique publiés à
Paris
pendant les Cent-Jours : Je n’hésite pas à le dire : il faut introdu
50
formaient le principal des écrits de 1806. 46.
Paris
et le désert français sera le titre, cent-vingt ans plus tard, d’un o
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st retenue. Nous discuterons pendant trois mois à
Paris
, à Genève, à Royaumont, à Londres, finalement à La Haye, à la veille
52
ropéen, Jean Sarrailh, Recteur de l’Université de
Paris
, René L’Huillier, Responsable syndicaliste, secrétaire général du Mou
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el, Doyen honoraire de la Faculté des sciences de
Paris
, président de la Commission nationale française pour l’éducation, la
54
s Salleron, Professeur à l’Institut catholique de
Paris
, président des « Amitiés européennes », Jacques Enoch, Secrétaire de
55
r l’interview que Kowarski donnait à L’Express de
Paris
, en septembre 1973. Dans la préface à un précieux recueil de ses écri
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encontrais quelques fois dans l’avion de Genève à
Paris
: il y allait pour l’OCDE plutôt que pour l’EURATOM, et déjà nous nou
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t le body art. Et tout cela explose en mai 1968 à
Paris
: la grande fête, la représentation, la politique devenue spectacle —
58
s de Prague par Ariane Mnouchkine Mal accueilli à
Paris
en 1972, El nost Milan de Strehler est plus qu’un mélodrame. Ces tro
59
pensée, qui caractérise le phénomène de Mai 68 à
Paris
, survient après les événements souvent plus violents mais non moins s
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cela qu’il s’agit de « faire passer ». Dès 1968 à
Paris
, ce nouveau style trouve ses lois : la philosophie gestuelle de l’étu
61
thieu Galey, p. 48 et 49. 53. B. Dort, Le Monde,
Paris
, 17 janvier 1980. 54. M. Cournot, Le Monde, 27 janvier 1980. az. «
62
on révolutionnaire de la jeunesse universitaire à
Paris
était dirigée entre autres contre l’État-nation. Edgar Faure l’a bien
63
erminus d’une ligne de chemin de fer qui vient de
Paris
! Defferre a compris que les communes étaient la base du fédéralis
64
lpes, par exemple, on en a dessiné les contours à
Paris
, sur une carte, sans aucune concertation sur place. Et ce que vous av
65
rmule approuvée par Defferre : « Le préfet, c’est
Paris
à domicile », mais il corrige aussitôt : Il ne faut peut-être pas pre
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pauvres qu’elles n’étaient. La centralisation sur
Paris
a détruit beaucoup de richesses régionales, c’est certain. Le fédéral
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ement ne demandera pas la permission à Berne ou à
Paris
. Il fera lui-même sa propagande, expliquera aux gens pourquoi le Léma
68
i lui sont chers : On ne créera pas les régions à
Paris
. Elles ne se feront pas au nom d’une doctrine mais pour répondre à de
69
a et Alain Minc, L’Informatisation de la société,
Paris
, La Documentation française, 1978. 85. Cf. Du côté de chez Swann, to
70
ont, Lettres sur la bombe atomique , New York et
Paris
, 1946. 90. Georg C. Lichtenberg (1742-1799), physicien et auteur d’a
72
a et Alain Minc, L’Informatisation de la société,
Paris
, 1978. 72. The Global 2000 Report to the President — Entering the T
73
: Lettres sur la bombe atomique , New York 1946,
Paris
1947. 79. Georg C. Lichtenberg (1742-1799), physicien et auteur d’ap
74
directeur de la recherche à l’Institut Pasteur à
Paris
: « Il est un fait que la complexité de plus en plus grande de la soc
75
. En 1914, un Pourtalès préside le Jockey Club de
Paris
, tandis que son cousin Frédéric, ambassadeur à Pétersbourg, remet au
76
e vers les Allemagnes, puis s’installe dès 1905 à
Paris
, où il commence à publier. Ayant recouvré la nationalité française de
77
Zurich, 1954. 60. H. Corbin, Sohrawardi d’Alep,
Paris
, 1939, p. 19 et 24. 61. Cf. En islam iranien, tome I, p. 26-38. Ibid
78
di d’Alep, fondateur de la doctrine illuminative,
Paris
, Maisonneuve, 1939, p. 23, 24, 28. 65. En islam iranien, t. I, p. 8
79
es les religions, unissez-vous ! », Henry Corbin,
Paris
, L’Herne, 1981, p. 298-303. Nouvelle édition du texte publié sous le
80
Aron, pour moi, fut l’un des premiers visages du
Paris
intellectuel que je découvrais au seuil des années 1930, et où j’alla
81
r avoir publié un article sur l’entrée d’Hitler à
Paris
, qualifié d’« insulte à chef d’État étranger ». Après quoi l’on va m’