1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
1 us rare qu’on ne le pense pour un intellectuel. À Paris , on fréquente et on ignore qui l’on veut. On se fait très facilement
2 gne-pain, j’avais perdu la possibilité de vivre à Paris . J’eus l’idée de demander autour de moi si l’on ne connaissait pas un
2 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
3 le. ⁂ Île de R. — La nuit ! Je l’avais oubliée à Paris . La nuit des villes n’est pas cette mort opaque dont il faut redouter
4 éputation sera faite ! Fuyons, fuyons ! ⁂ (Été à Paris .) Impossibilité du libre-échange humain. — Considération irritée et d
3 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
5 is si j’ai rêvé. Mais au matin, oui, c’était bien Paris , et les sirènes d’une fin d’alerte. ⁂ Imaginez un Paris englouti dans
6 et les sirènes d’une fin d’alerte. ⁂ Imaginez un Paris englouti dans l’épaisse nuit des campagnes, mais une nuit sans clair
4 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
7 ur l’admirable morceau que de Rougemont a dédié à Paris envahi par les Allemands et qui, paru dans la Gazette en juin 1940, l
8 Peu de temps auparavant, les Éditions Fontaine, à Paris , avaient publié le recueil des conférences prononcées l’hiver dernier
9 en Amérique exactement le contraire d’Oltramare à Paris . Si Me Duperrier ne sent pas la différence, essayons de l’éclairer pa