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us rare qu’on ne le pense pour un intellectuel. À
Paris
, on fréquente et on ignore qui l’on veut. On se fait très facilement
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gne-pain, j’avais perdu la possibilité de vivre à
Paris
. J’eus l’idée de demander autour de moi si l’on ne connaissait pas un
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le. ⁂ Île de R. — La nuit ! Je l’avais oubliée à
Paris
. La nuit des villes n’est pas cette mort opaque dont il faut redouter
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éputation sera faite ! Fuyons, fuyons ! ⁂ (Été à
Paris
.) Impossibilité du libre-échange humain. — Considération irritée et d
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is si j’ai rêvé. Mais au matin, oui, c’était bien
Paris
, et les sirènes d’une fin d’alerte. ⁂ Imaginez un Paris englouti dans
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et les sirènes d’une fin d’alerte. ⁂ Imaginez un
Paris
englouti dans l’épaisse nuit des campagnes, mais une nuit sans clair
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ur l’admirable morceau que de Rougemont a dédié à
Paris
envahi par les Allemands et qui, paru dans la Gazette en juin 1940, l
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Peu de temps auparavant, les Éditions Fontaine, à
Paris
, avaient publié le recueil des conférences prononcées l’hiver dernier
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en Amérique exactement le contraire d’Oltramare à
Paris
. Si Me Duperrier ne sent pas la différence, essayons de l’éclairer pa