1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
1 « À cette heure où Paris … » (17 juin 1940)b À cette heure où Paris exsangue voile sa face d
2 e où Paris… » (17 juin 1940)b À cette heure où Paris exsangue voile sa face d’un nuage, et se tait, que son deuil soit le
3 nous sommes tous atteints. Quelqu’un disait : si Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumièr
4 ur avait prophétisé : le 15 juin, j’entrerai dans Paris . Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Paris. Et telle est sa défa
5 s Paris. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Paris . Et telle est sa défaite irrémédiable devant l’esprit, devant le sent
6 lque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris . C’est ici l’impuissance tragique de ce conquérant victorieux : Tout
7 font. » Le 15 juin 1940. b. « À cette heure où Paris … », Gazette de Lausanne, Lausanne, n° 168, 17 juin 1940, p. 1.
2 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
8 at étranger. En outre, j’ai des éditeurs à voir à Paris et en Suisse. Et je serais rentré il y a un an déjà si les circonstan
9 tement ? Oui, à part un arrêt de quelques jours à Paris . Votre impression de la capitale française ? J’ai été frappé par son
10 ar en Suisse je n’ai rien éprouvé de semblable. À Paris c’était véritablement oppressant… Remontons le cours de votre voyage.
11 , dont trois sont terminés et vont être publiés à Paris . Ce sont des essais sur les mythes grecs : Doctrine fabuleuse  ; un
3 1947, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)
12 en Amérique exactement le contraire d’Oltramare à Paris . Si Me Duperrier ne sent pas la différence, essayons de l’éclairer pa
4 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les écrivains romands et Paris (10 septembre 1949)
13 Les écrivains romands et Paris (10 septembre 1949)h Questions 1 et 2. — Nous avons tout ce qu’il
14 aturellement autour des « grands », et ils sont à Paris . Nous faisons partie de la littérature française. Or, il se trouve qu
15 ne va pas de soi. Question 3. – « Le départ vers Paris … » Il n’y a pas que Paris, mais c’est le départ qui importe. Combien
16 n 3. – « Le départ vers Paris… » Il n’y a pas que Paris , mais c’est le départ qui importe. Combien de grandes œuvres ont-elle
17 son inspiration. h. « Les écrivains romands et Paris  », Gazette de Lausanne, Lausanne, n° 215, 10 septembre 1949, p. 12. L
18 eau suivant : « Récemment, notre correspondant de Paris , Jean-Pierre Moulin, a posé dans nos colonnes les trois questions sui
19 blic ? Des appuis ? Un milieu ? 3. Le départ vers Paris n’est-il pas, en même temps qu’une tentative de retrouver ailleurs ce
5 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
20 emières universités européennes, en Italie puis à Paris . (Quant à savoir dans quelle mesure l’apparition de l’Université est
6 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
21 ares » baudelairiens de notre adolescence loin de Paris , puis un symbole (refusé mais sacré) de la révolte inefficace, aux ye
7 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
22 dans sa loge, puis leurs rencontres à Genève et à Paris , sont décrites dans le registre d’un comique assez vif, mais l’amitié
8 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
23 ’un l’autre en question. Mon premier livre paru à Paris s’ouvrait par un chapitre sur « l’engagement du clerc », sa nécessité
9 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Vers l’Europe des régions [Entretien]
24 e pour la France sur une dizaine de régions, plus Paris . Notre idée de fédéralistes européens est que ces régions, définies s
10 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Témoignage sur Bernard Barbey (7-8 février 1970)
25 romouvoir » la présence culturelle de la Suisse à Paris , puis à l’échelon mondial à l’Unesco. Tous ces services, rendus à son
26 e. 7. « Bernard Barbey : La Maladère (Grasset, Paris ) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, février 1927