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« À cette heure où
Paris
… » (17 juin 1940)b À cette heure où Paris exsangue voile sa face d
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e où Paris… » (17 juin 1940)b À cette heure où
Paris
exsangue voile sa face d’un nuage, et se tait, que son deuil soit le
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nous sommes tous atteints. Quelqu’un disait : si
Paris
est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumièr
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ur avait prophétisé : le 15 juin, j’entrerai dans
Paris
. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Paris. Et telle est sa défa
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s Paris. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus
Paris
. Et telle est sa défaite irrémédiable devant l’esprit, devant le sent
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lque chose d’indéfinissable et que nous appelions
Paris
. C’est ici l’impuissance tragique de ce conquérant victorieux : Tout
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font. » Le 15 juin 1940. b. « À cette heure où
Paris
… », Gazette de Lausanne, Lausanne, n° 168, 17 juin 1940, p. 1.
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at étranger. En outre, j’ai des éditeurs à voir à
Paris
et en Suisse. Et je serais rentré il y a un an déjà si les circonstan
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tement ? Oui, à part un arrêt de quelques jours à
Paris
. Votre impression de la capitale française ? J’ai été frappé par son
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ar en Suisse je n’ai rien éprouvé de semblable. À
Paris
c’était véritablement oppressant… Remontons le cours de votre voyage.
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, dont trois sont terminés et vont être publiés à
Paris
. Ce sont des essais sur les mythes grecs : Doctrine fabuleuse ; un
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en Amérique exactement le contraire d’Oltramare à
Paris
. Si Me Duperrier ne sent pas la différence, essayons de l’éclairer pa
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Les écrivains romands et
Paris
(10 septembre 1949)h Questions 1 et 2. — Nous avons tout ce qu’il
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aturellement autour des « grands », et ils sont à
Paris
. Nous faisons partie de la littérature française. Or, il se trouve qu
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ne va pas de soi. Question 3. – « Le départ vers
Paris
… » Il n’y a pas que Paris, mais c’est le départ qui importe. Combien
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n 3. – « Le départ vers Paris… » Il n’y a pas que
Paris
, mais c’est le départ qui importe. Combien de grandes œuvres ont-elle
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son inspiration. h. « Les écrivains romands et
Paris
», Gazette de Lausanne, Lausanne, n° 215, 10 septembre 1949, p. 12. L
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eau suivant : « Récemment, notre correspondant de
Paris
, Jean-Pierre Moulin, a posé dans nos colonnes les trois questions sui
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blic ? Des appuis ? Un milieu ? 3. Le départ vers
Paris
n’est-il pas, en même temps qu’une tentative de retrouver ailleurs ce
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emières universités européennes, en Italie puis à
Paris
. (Quant à savoir dans quelle mesure l’apparition de l’Université est
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ares » baudelairiens de notre adolescence loin de
Paris
, puis un symbole (refusé mais sacré) de la révolte inefficace, aux ye
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dans sa loge, puis leurs rencontres à Genève et à
Paris
, sont décrites dans le registre d’un comique assez vif, mais l’amitié
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’un l’autre en question. Mon premier livre paru à
Paris
s’ouvrait par un chapitre sur « l’engagement du clerc », sa nécessité
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e pour la France sur une dizaine de régions, plus
Paris
. Notre idée de fédéralistes européens est que ces régions, définies s
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romouvoir » la présence culturelle de la Suisse à
Paris
, puis à l’échelon mondial à l’Unesco. Tous ces services, rendus à son
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e. 7. « Bernard Barbey : La Maladère (Grasset,
Paris
) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, février 1927