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ns de cette parole quand le Führer est entré dans
Paris
. Pour ma part, j’écrivis ce jour-là une page qui trouve ici son sens
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rouve ici son sens de parabole. À cette heure où
Paris
exsangue voile sa face d’un nuage, et se tait, que son deuil soit le
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nous sommes tous atteints. Quelqu’un disait : Si
Paris
est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumièr
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ur avait prophétisé : le 15 juin, j’entrerai dans
Paris
. Il y entre en effet, mais ce n’est plus Paris. Et telle est sa défai
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ns Paris. Il y entre en effet, mais ce n’est plus
Paris
. Et telle est sa défaite irrémédiable devant l’esprit, devant le sent
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lque chose d’indéfinissable et que nous appelions
Paris
. C’est ici l’impuissance tragique de ce conquérant victorieux : tout