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e ses lecteurs Peu de temps avant la guerre, à
Paris
, un grand journal du soir qui disposait d’un poste de radio, m’interv
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d’habitants ne possède que neuf grands journaux ;
Paris
en publie proportionnellement sept fois plus, c’est-à-dire 32, qui d’
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ents pathétiques. On me dit qu’il faudrait être à
Paris
pour comprendre. Je suis en Amérique, que voulez-vous ! Et les Améric
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st exaspérant… Mais le fait est qu’une dépêche de
Paris
par un correspondant américain, qui occupe chaque matin une ou deux c
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ago, qui ressemble aux « milieux littéraires » de
Paris
, de Londres, ou de Berlin avant Hitler. Point de salons où l’écrivain
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. Hemingway à Cuba, à Hawaï, quand ce n’est pas à
Paris
. Robert Frost dans une ferme de la Nouvelle-Angleterre. Richard Wrigh
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uropéen, que les écoles de l’entre-deux-guerres à
Paris
, Berlin ou Oxford, plus virulentes, plus théâtrales, surtout moins tr
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accueillent un étranger Le grand bourgeois de
Paris
et ses fils, lorsqu’ils rencontrent une tête nouvelle, ne sourient gu
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u lendemain de la démission d’un énième cabinet à
Paris
, un Américain me disait : — En France, n’importe quel problème d’ajus