1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 énieur et géographe de Louis XIV, fait imprimer à Paris une Méthode pour apprendre facilement la géographie. On y lit : On n
2 ie universelle de Mantelle et Malte Brun, parue à Paris en 1816 : En sortant des mains de la nature, notre partie du monde n
3 on de l’Europe, t. I, LUF Fribourg, 1944 et Plon, Paris  ; et par Jürgen Fischer : Oriens, Occidens, Europa-Begriffund Gedanke
4 8. V. Bérard : La Résurrection d’Homère, p. 207, Paris , 1930. 9. Notons que cette interprétation « rationaliste » de saint
5 raduction de Delavaud, chez Bossange et consorts, Paris , 1804. 34. Panégyrique, 50. Cf. Georges Mathieu : Les Idées politiq
6 eorges Mathieu : Les Idées politiques d’Isocrate, Paris , 1925. L’auteur fait des réserves sur l’universalisme d’Isocrate… 35
7 XIV. 37. S. Münster, Cosmographia Universalis, Paris 1551, Bâle 1559. 38. L. Moreri, Grand Dictionnaire Historique, prem
8 L’Aventure occidentale de l’homme , Albin Michel, Paris , 1957, p. 26. 41. L’auteur a simplifié. En effet, pour la Chine, la
9 48. Emmanuel Berl, Les Impostures de l’Histoire, Paris 1959. 49. Monumenta germ. Hist., Pœt. Carol. I., i, 368, 59. 50.
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Sur plusieurs siècles de silence « européen »
10 h Heer, de G. de Reynold et de H. Brugmans. 54. Paris , 1941. La date et le lieu sont à noter.
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
11 s ou aux environs. Il étudia dans l’Université de Paris , où il entendit saint Thomas d’Aquin prononcer un sermon et Siger de
12 l’armée des Anglais s’avançât jusqu’aux portes de Paris  ? Et voici qu’elle y est.68 Le roi Georges Podiebrad et Antoine
13 raduction française de la Monarchie, Felix Alcan, Paris , 1933, qu’on va citer. 57. De Monarchia, I, 4. 58. Ibid., I, 5.
14 littéraire de la France, Tome XXVI, Firmin-Didot, Paris , 1873. 64. Siger de Brabant, condamné par l’Église en tant que propa
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
15 la connaissance de l’histoire, publiée en 1566 à Paris , le genre humain forme une unité. Grâce au commerce mondial dont les
16 Ce Hollandais de naissance a vécu à Bruxelles, à Paris , en Angleterre et en Suisse, et il a visité l’Italie et l’Allemagne.
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
17 « moine pédagogue dans on ne sait quel collège de Paris  », enseigna les mathématiques et publia quelques pesants travaux qui
18 pe, dans l’envoi de son grand traité, qui parut à Paris en 1623 : Le Nouveau Cynée ou Discours d’Estat représentant les occas
19 dres mineurs, mais ne reçut jamais la prêtrise. À Paris , il fit carrière sous les auspices de Fontenelle et du salon de la ma
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
20 par le Citoyen Delaunay, Consul de la République, Paris 1794. L’auteur commence par avertir que quand on rêve pour le public,
21 sés par Djuvara dans un livre qui porte ce titre, Paris 1914. 103. Cf. Chr. L. Lange, op. cit., II, p. 183. 104. Texte in R
22 ts d’union européenne in La Révolution française, Paris , 1931, Tome 84, p. 321-35.
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
23 quer son union. Louis XIV appela le jeune homme à Paris , mais ne le reçut pas, les difficultés de la France avec le Sultan s’
24 ait être au but du monde ; Auteuil lui suffisait. Paris suffisait à Racine ; et tous deux, Racine et Boileau, furent bien gên
25 t calviniste à Genève, panégyriste de Louis XIV à Paris , historien d’Angleterre à Londres, pamphlétaire au service des États
26 , comme Antonio Conti, Padouan, qui fut en 1713 à Paris , en 1715 à Londres, où il intervint dans la querelle du calcul infini
27 e.121 108. L. Couturat, Logique de Leibniz, Paris 1901, p. 527-528. Notons ici que Campanella le premier, rêva d’une « 
28 La Crise de la conscience européenne, 1680-1715, Paris , 1935. Nous citons des extraits des pages 5 à 11. 118. Giovanni Paol
29 n de ses amis, contenant une agréable critique de Paris et des Français, 1700 et 1710. 119. Gregorio Leti, Historia e Memor
30 ction Unesco d’œuvres représentatives, Éd. Nagel, Paris 1953.
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
31 pape. A. — Je les excepte aussi ; mais songez que Paris , qui n’est que d’un dixième moins grand que Londres, n’était alors qu
32 126. De l’Esprit des Lois. Firmin Didot et Cie, Paris , Livre XXI, chap. XXI, p. 316. 127. De l’Esprit des Lois, Livre XVI
33 aits de deux lettres à Madame d’Épinay), tome II, Paris , I. G. Dentu, 1818. Les fragments cités sont datés l’un du 12 octobre
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
34 et de la chute de l’Empire romain, Éd. A. Desrez, Paris . Tome I. Observations générales, p. 935. Le premier volume en anglais
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
35 voir et dire dans une série de lettres écrites de Paris à ses compatriotes : Toute l’Europe est gagnée à notre cause (la cré
36 nde ! 141. Benjamin Franklin, Lettre écrite de Paris , 1777.
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — La Révolution française et l’Europe
37 jusqu’aux confins de la Chine. On ira en poste de Paris à Pékin, comme de Bordeaux à Strasbourg, sans que rien ne nous arrête
38 qu’un seul corps, la nation unique… La commune de Paris sera le point de réunion, le fanal central de la communauté universel
39 erait pas difficile de régir le monde à partir de Paris  : Quand un Lama de Rome et un Lama de la Mecque donnent des lois aux
40 la facilité avec laquelle une Assemblée séante à Paris conduirait le char du genre humain. La formule fédéraliste lui paraî
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
41 l’ensemble Europe dans le monde. Hors du drame de Paris , on les distingue mieux. Les plans d’union de l’Anglais Bentham, de l
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
42 iter. 149. Traduction française par J. Gibelin, Paris , 1940. 150. Op. cit., II, 2. 151. Op. cit., III, 3. 152. Op. ci
43 genre humain. Vingt-unième discours, conclusion. Paris , 1827. Traduit par Edgard Quinet.
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Napoléon et l’Europe
44 quis de Laplace : Exposition du système du monde, Paris , 1813, I, 142. 165. Cf. Jean Paul : Sämtliche Werke, Bd. 14, p. 6, W
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
45 I, chap. 2 : « Inconvéniens de la Souveraineté », Paris , 1821. 169. Œuvres complètes de la baronne de Staël, tome IV, De la
46 la baronne de Staël, tome IV, De la Littérature, Paris , 1820. 170. De l’Allemagne, op. cit., T. XI. Cet ouvrage, confisqué
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
47 ècle, Europa, de 1803 à 1805. (Il la dirigeait de Paris , mais elle paraissait à Francfort.) Il y développa les mêmes idées gé
48 agnole, toujours solidaires depuis Charlemagne. —  Paris 1850. Cependant, dans son œuvre capitale, le Cours de philosophie po
49 duction par l’abbé Léchât), Ed. Parent-Desbarres, Paris , 1836. Tome II, Leçon XII, p. 123-129. 187. G. W. F. Hegel : Leçons
50 histoire. Traduction par J. Gibelin, Éd. H. Vrin, Paris , 1946. 188. Sämtliche Werke I, Abt. 3, S. 586 f. 189. Aus dem Nac
51 Cours de Philosophie Positive, 1830-42, tome V, Paris , 1894.
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
52 nde, déclenchée par les idées révolutionnaires de Paris  : Quel serait l’aboutissement de ce mouvement, dont Paris, comme tou
53 Quel serait l’aboutissement de ce mouvement, dont Paris , comme toujours, aurait donné le signal ? Ce serait la guerre, la plu
54 cendre ? Quant au grand poète polonais réfugié à Paris , Adam Mickiewicz (1798-1855) il élève la plainte séculaire des pays d
55 aux conspirations républicaines de 1833, exilé à Paris et Bruxelles, puis réhabilité par le Piémont dont il devint le Premie
56  » de l’empire français qui viennent contempler à Paris l’exposition universelle de 1867, il a des phrases qui découragent la
57 autour de lui, et c’est ainsi qu’Athènes, Rome et Paris sont pléiades. Lois immenses. La Grèce s’est transfigurée, et est dev
58 d’une aînée. […] Cette nation aura pour capitale Paris , et ne s’appellera point la France ; elle s’appellera l’Europe. Elle
59 entre chez elle. Qu’elle prenne possession de ce Paris qui lui appartient, et auquel elle appartient ! Qu’elle ait ses aises
60 rejettent sur leur moraine les blocs erratiques, Paris a mis dehors toutes les immondices, la voirie, les abattoirs, la pein
61 ermanique. Cette Confédération a été faite contre Paris , qui était la cité révolutionnaire, la cité maudite ; et en faveur de
62 de février, s’est étendue de Saint-Pétersbourg à Paris . Mais depuis la révolution de février les choses ont changé de face ;
63 la Russie, qui s’étendait de Saint-Pétersbourg à Paris , a succédé l’influence démagogique de Paris, qui s’étend jusqu’en Pol
64 urg à Paris, a succédé l’influence démagogique de Paris , qui s’étend jusqu’en Pologne… Ce n’est pas mon opinion cependant que
65 logne, in Œuvres complètes, Patries et Portraits, Paris , 1868. 194. Romantische Schule, 2. Buch, 1833. 195. « Salon », 4,
66 Michelet : Introduction à l’histoire universelle, Paris , 1831. 204. Article intitulé « Le Droit et la Loi », 1875, in Œuvres
67 i », 1875, in Œuvres complètes, Actes et Paroles, Paris , Hetzel et Cie et Quantin, 1882, tome I, p. 4 et 5. 205. Article int
18 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
68 xte, et lorsque éclata la Révolution de février à Paris , cependant que les cantons suisses décidaient de se fédérer, qu’un Pa
69 o, nommé président du Congrès de la paix, réuni à Paris , avait proclamé sa foi dans la venue « inévitable » de l’union europé
70 paraîtra aussi absurde et aussi impossible entre Paris et Londres, entre Pétersbourg et Berlin, entre Vienne et Turin, qu’el
71 s nations sœurs ayant pour cité et pour chef-lieu Paris , c’est-à-dire la liberté ayant pour capitale la lumière. En un mot, l
72 tribuns, comme de l’absorption des capitales. Que Paris fasse, dans l’enceinte de ses murs, des révolutions : à quoi bon si L
73 partements, maîtres d’eux-mêmes, ne suivent pas ? Paris en sera pour ses frais… La fédération devient ainsi le salut du peupl
74 ora Melegari, La Jeune Italie et la Jeune Europe, Paris , 1908, p. 241. 211. Foi et Avenir, 1850, édité par le Bureau du Nou
75 enir, 1850, édité par le Bureau du Nouveau Monde, Paris (brochure de 104 p. écrite en français). 212. V. Hugo, Œuvres compl
76 res complètes, tome VIII : Du Principe fédératif, Paris 1868, p. 177. 216. J C. Bluntschli : Die schweizerische Nationalitä
19 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
77 Impératrice que le premier gazetier littéraire de Paris , Melchior Grimm, peut écrire cette prophétie sensationnelle, que tant
78 ne recommencée en grand. Depuis de longues années Paris lit des journaux révolutionnaires, révolutionnaires dans tous les sen
79 ne sommes pas la France qui est tout entière dans Paris , nous ne sommes pas l’Europe qui tout entière dépend des Bourses de s
80 cratie en Amérique, pages 430-431. Éd. Gallimard, Paris . 224. L. v. Ranke : Geschichte der romanischen und germanischen Völk
81 aev : Les Sources et le sens du communisme russe, Paris , 1938, p. 15-16. Éditions Gallimard. 231. Lettres sur la Philosophi
82 ier 1877. 240. Trad. française de Pierre Pascal, Paris 1934. 241. Cf. Dimitri Merejkowsky, dans son Règne de l’Antéchrist,
83 itri Merejkowsky, dans son Règne de l’Antéchrist, Paris 1921 : « Les Européens, en Europe, sont Anglais, Italiens, Français,
20 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
84 auss », 16 sept. 1870, in Réforme intellectuelle, Paris , 1884. 246. E. Renan, « Deuxième Lettre à M. David Strauss », 15 sep
85 Sorbonne, le 11 mars 1882, Réédition, R. Helleu, Paris , 1934. 248. Historische Fragmente, B. Schwabe, Basel, 1925, p. 225.
86 t ». 262. Jean Variot : Propos de Georges Sorel, Paris , 1935. 263. Cf., p. 288. 264. Jules Romains, Les Hommes de Bonne Vo
21 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
87  Valéry : Regards sur le monde actuel. Éd. Stock, Paris . 267. Le Déclin de l’Occident, I, p. 114. Trad. française, Gallimar
88 ’Occident, I, p. 114. Trad. française, Gallimard, Paris . 268. Ibid., dernière page. 269. Paul Valéry : Variété I. « La cri
89 sprit » (deux lettres datées de 1919), Gallimard, Paris , 1924. 270. C. J. Burckhardt, Hugo von Hofmannsthal : Briefwechsel,
90 el, Frankfurt, 1956. Trad. franç. Librairie Plon, Paris , 1960. 271. Thomas Mann : Avertissement à l’Europe, Gallimard, Paris
91 homas Mann : Avertissement à l’Europe, Gallimard, Paris , 1937. 272. Vérités arbitraires, chapitre sur « L’Européanisation »
22 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
92 u près au même moment, André Malraux prononçait à Paris une conférence dont l’écho fut grand. Il y ramasse et porte au plus h
93 lle a Oxford, elle a Séville, elle a Rome, elle a Paris . Il y a des cités pour l’Art, d’autres pour la Science, d’autres qui
94 é de Zurich, nov. 1922. Cf. Variété I, Gallimard, Paris , 1924. 279. Dans un bref et dense ouvrage sur Nietzsche et le christ
95 aux en 1954. 284. La Source grecque, Gallimard, Paris , 1953, p. 39 à 42 (chapitre intitulé : « L’Iliade ou le poème de la f
96 de la force »). 285. L’Enracinement, Gallimard, Paris , 1949. 286. Le Déclin de l’Occident, trad. Tazerout, coll. « Biblio
97 289. Formation de l’Europe, t. VII, 340, Plon, Paris , 1937. 290. Cette expression que nous avons citée plus haut (rex pat
98 Extraits du chap. I. Trad. franç. Librairie Plon, Paris , 1960. 297. L’Esprit de l’Europe, édité par le Mouvement européen,
99 ences de l’Unesco, Éditions de la revue Fontaine, Paris , 1947. 304. Extraits de The World and the West, Oxford University Pr
100 ançaise par M. Pomès. Le Rapt de l’Europe, Stock, Paris , 1960. 307. Spektrum Europas, 19. 308. Publié par la Librairie Sto
101 Europas, 19. 308. Publié par la Librairie Stock, Paris , 1960. 309. The Making of Europe, Meridian Books, New York. 310.
102 e des Masses, passim, trad. franç. Édition Stock, Paris . 314. Spektrum Europas, passim. Trad. franç. Éditions Stock, Paris.
103 rum Europas, passim. Trad. franç. Éditions Stock, Paris . 315. Ernst Jünger, Der Friede, 1946, p. 38-40 et 56-60. 316. Note
104 par l’auteur. 323. L’Esprit de Genève, Grasset, Paris 1929, p. 259-260.