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il vous demandait un article pour cette Revue de
Paris
qu’il faisait presque seul, on aimait se laisser convaincre de lui d
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jà donné, l’on pourrait paver une route allant de
Paris
à Bâle », l’officier répliqua : « Avec le sang que nos hommes ont ver
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ce, on pourrait remplir un canal allant de Bâle à
Paris
. » Mais on trouve bientôt des corps suisses au service de bien d’autr
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2. Quant aux amiraux suisses, qui ont fait rire à
Paris
: le Bernois d’Erlach commande la flotte du Danemark à la fin du xvii
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ressants commentaires et souvenirs personnels), à
Paris
, 1782, tome II, p. 313. 30. En réalité, la corruption des électeurs,
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la sanctionnent sont les traités de Vienne et de
Paris
, au lendemain de la chute de Napoléon. Et ce n’est guère « qu’au cour
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neutralité octroyé en 1815 et joint au traité de
Paris
: Les Puissances signataires… reconnaissent authentiquement par le p
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ubi des altérations fondamentales. Les traités de
Paris
et de Vienne l’avaient défini par rapport à l’Europe. Mais la créatio
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» Je crois que c’est Paul Bourget qui a dit que «
Paris
en eût fait un dieu ». Mais ce n’eût été qu’un dieu de salons, un die
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Berlin, Jean-Jacques, Mme de Staël et Constant à
Paris
. Quant à un Jung, à un Ramuz, à un Barth, qui, après de longs séjours
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ècle, à Saint-Martial de Limoges, à Notre-Dame de
Paris
, puis plus tard en Champagne et dans le Nord — Philippe de Vitry, Gui
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Lasso à Rome et à Naples, puis Roland de Lassus à
Paris
et en Bavière. Plus tard, les Allemands comme Heinrich Schütz viennen
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a musique occidentale, en imposant leurs œuvres à
Paris
… L’évolution de la peinture suit à peu de choses près les mêmes voies
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er que ce grand écrivain s’est formé à l’école de
Paris
, mais aussi à l’école de Cézanne, puis des romanciers russes, enfin d
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u extravagants, dont le succès nous est revenu de
Paris
, de Londres ou de Munich, cela ne fait pas encore une peinture suisse
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années de sa vie à Stampa, puis l’internat, puis
Paris
. Mais il revient souvent ici. Clocher très aigu de Stampa, peupliers
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Le Corbusier dans le bureau d’une jeune revue, à
Paris
, vers 1932, je lui dis que nous étions compatriotes. « Oui, me répond
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Ils ont donc laissé leur compatriote travailler à
Paris
, puis dans le monde entier, avant de lui passer une première commande
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ce deux ans. » Après quoi toute sa vie se passe à
Paris
. Mais ce ne fut pas Paris, ce fut la Suisse qui lui donna l’occasion
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toute sa vie se passe à Paris. Mais ce ne fut pas
Paris
, ce fut la Suisse qui lui donna l’occasion de découvrir et de manifes
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es et les esprits, loin de se mettre à l’école de
Paris
— où il a si longtemps vécu et qu’il a aimé —, on dirait qu’il décide
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es siens, auxquels il répétait : « N’imitez point
Paris
! », Ramuz ne se vit accepté qu’une fois sa gloire faite à Paris. Mai
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z ne se vit accepté qu’une fois sa gloire faite à
Paris
. Mais bien avant cet ironique retour des choses, il avait su créer au
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ison en Italie, une enfilade de pièces désertes à
Paris
, une petite villa à Montreux, enfin « des appartements avec, puis san
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hé à Vienne dans sa jeunesse et chef de mission à
Paris
dans son âge mûr —, négociateur ou président de la Croix-Rouge intern
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, il est professeur à l’École des hautes études à
Paris
. À 34 ans, il refuse une chaire au Collège de France, préférant reste
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30 le pavillon suisse de la cité universitaire de
Paris
, et c’était une commande de nos autorités, mais pas en Suisse. 93. O
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%. 95. Étienne Le Gal (Écrivez ? n’écrivez pas ?
Paris
, 1928) cite un arrêté ministériel du 26 février 1901 prescrivant l’us
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voise du sentiment. Sa langue déliée doit plus au
Paris
de sa jeunesse qu’à l’accent du terroir, et il en va de même pour le
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ient tous les deux à la Bibliothèque nationale de
Paris
, pour le compte d’un érudit genevois, Pierre-Paul Plan, auteur de tra
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ges Gusdorf, Signification humaine de la liberté,
Paris
, 1962, p. 27. 112. Aurélien Paracelse Théophraste Bombaste de Hohenh
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1960, dans Cahiers internationaux de sociologie,
Paris
, 1961. L’auteur prépare un ouvrage sur ce sujet. Le physicien nucléai
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s français par une reine d’Angleterre en visite à
Paris
. 128. Je lis dans une étude de Mgr Ignaz Staub, o.s.b., abbé d’Einsi
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ai donnée dans mes Vingt-huit siècles d’Europe (
Paris
, 1961) : Reynold est largement cité dans le premier chapitre, tandis
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J’ai écrit ce livre à la demande d’un éditeur de
Paris
pour un public français qui connaît peu la Suisse, et dans ce peu, pr
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tu didactique du contraste. Avant d’aller vivre à
Paris
, à 25 ans, je ne crois pas que j’avais rien écrit sur la Suisse : tan
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ainte de ne pas suivre assez vite la mode faite à
Paris
, Berkeley ou Berlin, cependant qu’il se trouve que ces mêmes vertus d