1 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
1 ns de cette parole quand le Führer est entré dans Paris . Pour ma part, j’écrivis ce jour-là une page qui trouve ici son sens
2 ouve ici son sens de parabole. À cette heure où Paris exsangue voile sa face d’un nuage, et se tait, que son deuil soit le
3 nous sommes tous atteints. Quelqu’un disait : Si Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumièr
4 ur avait prophétisé : le 15 juin, j’entrerai dans Paris . Il y entre en effet, mais ce n’est plus Paris. Et telle est sa défai
5 ns Paris. Il y entre en effet, mais ce n’est plus Paris . Et telle est sa défaite irrémédiable devant l’esprit, devant le sent
6 lque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris . C’est ici l’impuissance tragique de ce conquérant victorieux : tout
2 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
7 ains ci-devant « intellectuels antifascistes » de Paris ont découvert qu’au fond, le nazisme n’était pas si mal que cela ; qu
3 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
8 . C’est elle qui a paru en Suisse en 1946, puis à Paris en 1947. 40. Conférence sur Le diable au xxe siècle, août 1941. 41
9 uthériens du Comtat Venaissien et de la Provence, Paris , 1891. 44. Baudelaire, dans l’Art romantique. Dans le même sens, Nie