1
lant, hip, hip, hurrah ! » 1. Éditions Grasset,
Paris
. 2. L’attitude de M. de Montherlant légitime une telle « simplificat
2
a vraie « question asiatique » étant une question
politique
. On peut prévoir que si le bouddhisme jouit un jour d’un renouveau, c
3
tionale à la fois cause et effet de la libération
politique
. Cause, puisque pour mener à chef cette libération, un Yeats, un A.E.
4
nciers, des industriels. Il y a encore les hommes
politiques
, mais on a si souvent l’impression qu’ils battent la mesure devant un
5
étudiant en théologie, présenta deux ouvriers de
Paris
, Clerville et Janson, dont il a eu l’occasion de partager les conditi
7
Plaisir des Sports de Jean Prévost, et les essais
politiques
de Drieu la Rochelle, les Messages de Fernandez sont les premières co
8
yeux, que ce soit l’idée de la mort ou les soucis
politiques
, sociaux, etc., et il ne met de la gravité que dans les choses volupt
9
ion. 1. Le Dépaysement oriental, chez Grasset,
Paris
. a. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Robert de Traz, Le Dépayse
10
qui tisse la nuit vibrante, intérêts, politesses,
politiques
, regards, musiques — cette vie rapide dans un décor qui est le rêve é
11
et secret assujettissement au moi idéal exige une
politique
des sentiments plus subtile et, je pense, moins vulgaire que cette ag
12
Louis Aragon, Le Paysan de
Paris
(janvier 1927)ab « Je n’admets pas qu’on reprenne mes paroles, qu’
13
ne véritable « mythologie moderne ». Le Paysan de
Paris
est une suite de promenades dont la composition n’est pas sans rappel
14
s de, « [Compte rendu] Louis Aragon, Le Paysan de
Paris
», Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, janvier 1927
15
on Excellence M. Diamanty, ministre de Roumanie à
Paris
. C’est encore mieux dans le style. h. Rougemont Denis de, « Dans l
16
s de l’acte de révocation commencent à se révéler
politiques
(guerre de la confession d’Augsbourg) et surtout morales : car malgré
17
arisiens, et dire qu’elle est née dans un café de
Paris
. « Je n’attends rien du monde, je n’attends rien de rien. » Riez-en d
18
etc., et tout ce qui leur correspond dans l’ordre
politique
par exemple. Parce que c’est très beau, ridiculement, spirituellement
19
pouvez vous libérer de cette manie française, la
politique
, et ne voyez-vous pas que c’est faire le jeu de vos ennemis de discut
20
arisien qui, comme tout ce qui est parisien, hait
Paris
mais ne saurait vivre ailleurs… Mais non, il y aurait trop à dire, et
21
uelques esthètes du machinisme. 13. Le Paysan de
Paris
. o. Rougemont Denis de, « Louis Aragon, le beau prétexte », Revue d
22
uvent fatale aux novateurs. Alors ils s’en vont à
Paris
, ou bien ils se retirent dans une solitude plus effective, quitte à n
23
l administre une feuille religieuse. Il déniche à
Paris
des tableaux mystérieux qu’il relègue dans son atelier, pêle-mêle ave
24
s natal ! — Je vécus d’articles sur la mode et la
politique
, que j’envoyais à divers journaux. Un jour, parcourant un quotidien d
25
de suite ses compliments, ce qui est de mauvaise
politique
, — c’est l’extraordinaire netteté de votre vie. Elle est sans bavures
26
on nom à un établissement de nuit très en vogue à
Paris
. Cambronne (général), 1770-1842. Louis Aragon et Paul Éluard, hommes
27
s derniers jours (juillet 1927)w Ces « cahiers
politiques
et littéraires »17, rédigés par Drieu la Rochelle et Emmanuel Berl, s
28
avaient pas d’autre sens. 17. 20, rue Chalgrin,
Paris
16e. w. Rougemont Denis de, « Les derniers jours », Revue de Belles
29
du livre et sa richesse. L’enfance de Catherine à
Paris
est du roman pur ; la tournée des cours de l’Europe centrale, qu’elle
30
ambon, préface à Henry Ford, Ma vie et mon œuvre,
Paris
, Payot, 1925. 3. L’Illustration, 20 novembre 1926. 4. Ici et là, l
32
n, c’est-à-dire — nous sommes en France — vers la
politique
. Or ces ennemis de toute littérature voient leurs avances dédaignées
33
é condamné à mort, il s’est évadé, on le traque à
Paris
même… Il subjugue le jeune Français par ces évocations et l’espèce de
34
Mon rôle n’est pas de proposer une nouvelle forme
politique
. Je me contente de vitupérer ce que je vois, qui est laid. Quand la s
35
sa forme actuelle, remplit suffisamment son rôle
politique
et social, qui est de fabriquer des électeurs (si possible radicaux,
36
ition. Après tout, peu m’importent les idéologies
politiques
, et peu m’importerait que l’École soit une machine à fabriquer de la
37
plus grave.) L’école s’est vendue à des intérêts
politiques
. C’était là, nous venons de le voir, son unique moyen de parvenir. El
38
ie et rationalisme ne sont que deux aspects, l’un
politique
, l’autre intellectuel, d’une même mentalité. Elle s’est développée au
39
la folie démocratique, à cette danse de Saint-Guy
politique
dont rien de leur temps ne pouvait offrir la moindre préfiguration ?
40
Mon rôle n’est pas de proposer une nouvelle forme
politique
. Je me contente de vitupérer ce que je vois, qui est laid. Quand la s
41
sa forme actuelle, remplit suffisamment son rôle
politique
et social, qui est de fabriquer des électeurs (si possible radicaux,
42
ition. Après tout, peu m’importent les idéologies
politiques
, et peu m’importerait que l’École soit une machine à fabriquer de la
43
lus grave). L’école s’est vendue à des intérêts
politiques
. C’était là, nous venons de le voir, son unique moyen de parvenir. El
44
ie et rationalisme ne sont que deux aspects, l’un
politique
, l’autre intellectuel, d’une même mentalité. Elle s’est développée au
45
à la folie démocratique, cette danse de Saint-Guy
politique
dont rien de leur temps ne pouvait offrir la moindre préfiguration ?
46
urs prononcé à l’Académie des sciences morales et
politiques
, en 1914, a posé le problème en termes fort nets. (Cités par M. Bruns
47
r un humanisme nouveau », Cahiers de Foi et Vie ,
Paris
, 1930, p. 242-245. c. Le texte est précédé de la note suivante : « M
48
n en souvenir de l’ombrelle rouge de Versailles.
Paris
la nuit oublie parfois d’être spirituelle, devient tragique ou tout s
49
, son voisin de table, l’arrivée des Mongols dans
Paris
et leurs établissements Place de la Concorde. Notre conteur est vêtu
50
représentant Mgr le marquis de Carabas, absent de
Paris
, est là. Si vous enlevez Georges Petit, égaré, en ayant soin d’ajoute
51
bos et de coups de cloche débile au corridor, — à
Paris
. Bientôt… Mais il est temps de mettre à ces fariboles un terme19. J’
52
érôme Cardan (xvie siècle) à certains moments.
Paris
, le 28 avril. 18. ……………… (N. de la R.) 19. L’auteur nous promet po
53
fait même de s’y essayer définit ce qu’on nomme à
Paris
prétention. Méditez un peu cette note de Beausire : « Barrès se plain
54
eut-être à le justifier aux yeux de quelques-uns.
Paris
, avril 1930. 13. C’est ici que paraît tout de même la grandeur d’un
55
fantômes ne sont pas les miens… », Raison d’être,
Paris
, juillet 1930, p. 7-8. t. Les réponses à cette enquête, par Raoul Be
56
magnat, beaucoup de gens comprendraient mieux sa
politique
. 8. Les coussins Rothermere Le nationalisme de la plupart des É
57
ntiel13. Rien n’est grave, que le sentiment, — en
politique
comme ailleurs. Songez à ce qui forme l’opinion, cet ensemble de myth
58
rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la
politique
des peuples ressemble à celle des individus, pour ce qui est du moins
60
aucune compensation : « l’art, la philosophie, la
politique
étant absents, faute d’emploi, il n’y avait aucune correction à faire
61
tes dans Sodome. 12. Aden Arabie, chez Rieder,
Paris
. 13. Mais Bouddha, c’est l’Asie. Les grèves, c’est encore l’Europe.
66
Rougemont Denis de, « Kierkegaard », Foi et Vie,
Paris
, mai 1931, p. 351-352. j. Texte non signé.
68
e les résultats considérables de l’œuvre sociale,
politique
et religieuse suscitée par Kagawa. Nous savions que ce pasteur d’une
69
moment où Kagawa débouche dans la vie publique et
politique
. Espérons qu’une biographie complète suivra cette « genèse » à vrai d
70
nte que celle qu’impose n’importe quelle attitude
politique
. Aux yeux d’un incroyant, ceci peut sembler vague. Mais le sens chrét
71
du] Toyohiko Kagawa, Avant l’Aube », Foi et Vie,
Paris
, septembre 1931, p. 623-632. m. Une note précise : « Éditions “Je se
72
ndu] André Gide ou le style exquis », Foi et Vie,
Paris
, octobre 1931, p. 725-729. o. Une note précise : « Divers (« Caractè
77
r le baron W. de Münchhausen, au bar des Vikings (
Paris
), fin septembre 1931. » ae. Rougemont Denis de, « La pluie et le be
78
iques. Mais d’autre part certaines « célébrités »
politiques
ou intellectuelles plus récentes et discutables, dont nos apologètes
79
i sont souvent les plus éclatants. Car un système
politique
, une doctrine, une éthique, s’ils s’abandonnent de tout leur poids à
84
ne épître au préfet de Police sur les Embarras de
Paris
. Sujet de pastiche facile : décrire l’état d’esprit du Français moyen
87
suite, ne comportent nulle allusion à la position
politique
de ce journal. Le titre : La Crise est dans l’homme 38, s’oppose d’em
88
rtout que M. Thierry Maulnier révèle ses origines
politiques
, et peut-être aussi sa jeunesse. Il critique des erreurs au nom d’une
89
t suffisamment justifiée. Pour le reste, c’est la
politique
, et dans un sens plus vaste, la religion, que cela regarde. M. Nizan
90
itions de la Revue française, chez Alexis Rédier,
Paris
1932. 39. Chez Rieder, collection « Europe ». 40. Et pourtant, M. N
96
cord sans résolution Il arrive qu’au sortir de
Paris
le train de banlieue qui emmène son chargement de somnambules énervés
97
ococo des sentiments qu’à l’hypocrite gravité des
politiques
. Ce projet, d’autre part, flattait un certain goût du graphique et de
98
, tout indépendamment des réalités économiques et
politiques
, l’on peut nommer ici Allemagne, et là, France. Il reste qu’un Empédo
99
ient de guérir par des moyens appropriés, par une
politique
ou par une morale. D’une part l’on tient la déficience pour essentiel
100
magnat, beaucoup de gens comprendraient mieux sa
politique
. viii Les coussins Rothermere Le nationalisme de la plupart de
101
entiel8. Rien n’est grave, que le sentiment, — en
politique
comme ailleurs. Songez à ce qui forme l’opinion, cet ensemble de myth
102
rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la
politique
des peuples ressemble à celle des individus, pour ce qui est du moins
103
ient récemment encore, dans un grand quotidien de
Paris
, ces junkers qui, d’après eux, constituent la fraction d’humanité la
104
epuis la chute de Bismarck, coupées de tous liens
politiques
avec une Europe bourgeoise, résignée à laisser ce monde aux Juifs, pu
105
ceux qu’on envoyait à l’armée, font parfois de la
politique
: Hitler les flatte mais ne vainc pas souvent leurs méfiances. Certai
106
du Brambilla-Club (1930) Pour Albert Béguin.
Paris
la nuit oublie parfois d’être spirituelle, devient tragique ou tout s
107
, son voisin de table, l’arrivée des Mongols dans
Paris
et leurs établissements place de la Concorde. Notre conteur est vêtu
108
représentant Mgr le marquis de Carabas, absent de
Paris
, est là. Peut-être aussi Jean de Boschère, en dépit de certaines appa
109
d’anarchie permanente — sentimentale et non point
politique
— dont l’esprit s’apparente beaucoup plus à celui des Wandervogel qu’
110
Marne, la mesure de ce qu’on pourrait appeler la
politique
des « laquais de forges ». On nous entendra. Six grandes pages de des
112
rsonnalisme de l’éthique bourgeoise. 3° Les actes
politiques
déduits par accident des principes fondamentaux du régime sont en con
113
a religion chrétienne et la religion de l’Écho de
Paris
. « Nous avons proposé un maître à ce jeune homme, dit le pasteur Coor
114
mont Denis de, « On oubliera les juges », Esprit,
Paris
, novembre 1932, p. 297-301. c. Signé : Jean-Pierre Cartier.
115
Rougemont Denis de, « Hic et nunc », Hic et Nunc,
Paris
, novembre 1932, p. 1-3. b. Texte signé par Henry Corbin, Roger Jézéq
117
, nous ne sommes pas du monde. Toute construction
politique
qui ne prend pas au sérieux ce qu’impliquent les deux termes de l’ant
118
pe. Ainsi se trouvent définies les trois hérésies
politiques
que nous avons à dénoncer. 1° L’hérésie pessimiste abandonne à lui-mê
119
nnent au sérieux leur foi, participer à un effort
politique
quelconque ? Ayons le courage de l’affirmer ; il n’est pas de réponse
120
es exigences absolues), tandis qu’au contraire la
politique
est l’art d’accommoder les relations dans le sens de la plus grande f
121
ens de la plus grande facilité de réalisation. La
politique
est un art de synthèses pratiques ; son office est de résoudre dans l
122
ales. Doit-on conclure au refus de toute activité
politique
? Ce serait admettre que les deux termes de l’antinomie s’équivalent
123
ls qu’ils sont, — des hommes qui ont besoin d’une
politique
pour suppléer à leur faiblesse, qui ont besoin tout autant qu’on leur
124
. Telle est, dans son principe, la seule attitude
politique
que puisse adopter le protestant : la politique du pessimisme actif,
125
e politique que puisse adopter le protestant : la
politique
du pessimisme actif, — ou si l’on veut de l’activisme sans illusions.
126
est peut-être vis-à-vis d’eux seulement que notre
politique
pourra se fixer un programme : la devise de Guillaume d’Orange est l’
127
.) Je ne veux parler ici que du principe de notre
politique
; il est bien clair qu’elle condamne, dans la mesure où ces idolâtrie
128
’abri des touches fulgurantes du Saint-Esprit. La
politique
romaine est la recherche d’une harmonie statique des relations humain
129
la foi. c. Rougemont Denis de, « Principe d’une
politique
du pessimisme actif », Hic et Nunc, Paris, novembre 1932, p. 23-29.
132
ésignent-ils la notion de personne ! — aux forces
politiques
et historiques qui selon eux déterminent entièrement le devenir révol
133
, le fascisme, leurs mystiques et leurs créations
politiques
(nationalisme, SDN, etc.), condamnation de l’individu, de la « pensée
134
ceptable » ? (Roland de Pury, dans Hic et Nunc ,
Paris
, n° 1). j. Rougemont Denis de, « À prendre ou à tuer », La Nouvelle
136
cord sans résolution Il arrive qu’au sortir de
Paris
le train de banlieue qui emmène son chargement de somnambules énervés
137
ococo des sentiments qu’à l’hypocrite gravité des
politiques
. Ce projet, d’autre part, flattait un certain goût du graphique et de
138
, tout indépendamment des réalités économiques et
politiques
, l’on peut nommer ici Allemagne, et là, France. Il reste qu’un Empédo
139
ient de guérir par des moyens appropriés, par une
politique
ou par une morale. D’une part l’on tient la déficience pour essentiel
140
magnat, beaucoup de gens comprendraient mieux sa
politique
. Les coussins Rothermere Le nationalisme de la plupart des État
141
sentiel. Rien n’est grave, que le sentiment, — en
politique
comme ailleurs. Songez à ce qui forme l’opinion, cet ensemble de myth
142
rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la
politique
des peuples ressemble à celle des individus, pour ce qui est du moins
143
ient récemment encore, dans un grand quotidien de
Paris
, ces junkers qui, d’après eux, constituent la fraction d’humanité la
144
epuis la chute de Bismarck, coupées de tous liens
politiques
avec une Europe bourgeoise, résignée à « laisser ce monde aux Juifs »
145
ceux qu’on envoyait à l’armée, font parfois de la
politique
: Hitler essaie de les flatterb mais ne vainc pas souvent leurs méfia
146
i ? Mais oui, peut-être vivons-nous, ici, dans ce
Paris
de mars 1939, les derniers jours du bon vieux temps européen. Jours d
147
je le lus l’année dernière. À cette heure où
Paris
… Berne, 15 juin 1940 « À cette heure où Paris exsangue voile sa fa
148
Paris… Berne, 15 juin 1940 « À cette heure où
Paris
exsangue voile sa face d’un nuage et se tait, que son deuil soit le d
149
nous sommes tous atteints. Quelqu’un disait : Si
Paris
est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumièr
150
eur avait prophétisé : le 15 juin j’entrerai dans
Paris
. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Paris. Et telle est sa défa
151
s Paris. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus
Paris
. Et telle est sa défaite irrémédiable devant l’esprit, devant le sent
152
lque chose d’indéfinissable et que nous appelions
Paris
. C’est ici l’impuissance tragique de ce conquérant victorieux : tout
153
Terre promise à tout l’homme ! Premier retour
Paris
, début avril 1946 LaGuardia Field dans une matinée bleue, c’était
154
ils viennent. 2 avril 1946 Les oiseaux de
Paris
. — Nous roulons dans un petit autobus, du terrain d’Orly vers Paris.
155
ons dans un petit autobus, du terrain d’Orly vers
Paris
. Sept ans bientôt, depuis que je l’ai quitté… Par quelle porte allons
156
nous dépose, j’ai retrouvé les grandes mesures de
Paris
. Dans quel silence, à quatre heures du matin. Trouverons-nous quelque
157
rcher ailleurs. Crise des logements. — Est-ce que
Paris
a été bombardé ? me demandent-ils non sans inquiétude. — Et New York
158
grosses valises, se hâtent vers la gare d’Orsay.
Paris
a reculé d’un siècle, en direction d’une beauté oubliée. Plus Suis
159
t cela dans la vie quotidienne autant que dans la
politique
. Ces vertus, cette prudence avare, s’explique sans doute par les dime
160
e, voyageur anglais, auteur de Lettres sur l’état
politique
, civil et naturel de la Suisse, écrit en 1776 : « La constitution de
161
mais là encore les traditions intellectuelles et
politiques
restent les plus marquées. François-Antoine III, mon quadrisaïeul, ép
162
uit, en d’autres temps, vers une carrière d’homme
politique
ou d’homme de loi, dans un style dignified à l’anglaise. Le ministère
163
térature qui tient à la fois de l’histoire, de la
politique
, de la morale et de la religion. Des livres comme l’Essai sur la Fran
165
is trop bien que, sous la plume d’un stalinien de
Paris
, elle exprime le désir de déconsidérer à peu de frais l’adversaire, p
166
enis de, « Sur un certain front unique », Europe,
Paris
, 15 février 1933, p. 303-304. e. Précédé de la notice suivante : « M
167
a rupture que nous voulons n’aura de conséquences
politiques
que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa d
168
dans tout programme prétendu chrétien, dans toute
politique
humaine organisée — fût-ce à la gloire de Dieu ! — qui poursuivrait s
169
alité ils rendaient à César. Entraînée dans cette
politique
, la théologie se fait servante de la chose publique. Et que voit-on d
170
llons pas chercher si loin. Ouvrons un journal de
Paris
. Un discours chaleureux du Père de la Brière4 voudrait nous enflammer
171
contre une force de même ordre. Assez de cette «
politique
chrétienne » où l’on embarque une prétendue foi dans les plus discuta
172
je ne puis engager que moi-même, hic et nunc. La
politique
est affaire de systèmes ; mais l’ordre, pour le chrétien, sera toujou
174
devenues les officines d’un conformisme social et
politique
plus scandaleux encore que celui des églises catholiques, puisque il
175
iste (Vitus Heller) nombreux sont les groupements
politiques
, résolus à la rupture, qui se réclament hautement de leur foi. Les él
176
re », on est surpris de trouver dans le quotidien
politique
de combat ou dans les revues berlinoises les plus « avancées » des pr
177
ésintéressement radical à l’endroit des problèmes
politiques
et sociaux. La parution coup sur coup, de trois livres importants de
178
, de Brunner et de de Quervain sur la « théologie
politique
» fait justice de ce reproche et démontre une fois de plus que le par
179
démontre une fois de plus que le paradoxe de la «
politique
du pessimisme actif » inspirera toujours les constructions les plus v
180
riedrich Gogarten en particulier dans son Éthique
politique
pose tous les problèmes de l’heure avec une lucidité et un courage in
181
ctuel qu’on rencontre rarement chez les écrivains
politiques
. Si certaines de ses conclusions sont nettement étatistes, il n’en re
182
uère d’écho à l’effort critique de la « théologie
politique
» allemande que dans le mince bulletin du groupe Hic et Nunc , et da
184
itif » ! Comme si le christianisme n’était qu’une
politique
possible, entre autres ! Comme si les situations humaines comportaien
186
cis, qui désigne une conception générale de vie —
politique
, économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par
187
e n’ait pas ses doctrines, et même une expression
politique
cohérente. On a cité dans les Débats, ces jours derniers, les écrits
188
is de, « Humanisme et christianisme », Le Semeur,
Paris
, mars 1933, p. 286-293. b. La première note indique : « Introduction
192
ançaise devant l’Allemagne », La Revue du siècle,
Paris
, mai 1933, p. 7-9. g. Précédé de la notice suivante : « Nous sommes
194
jet est plus grave. Non pas du point de vue de la
politique
, car les partis de gauche ne prennent guère au sérieux leur intellige
197
et quelles conséquences il entraîne dans l’ordre
politique
, par exemple, que notre temps croit devoir considérer comme plus réel
198
is déjà trouvé. » 4. Dans les travaux du groupe
politique
et philosophique de L’Ordre nouveau. 5. Qu’on nomme en France « path
201
œur à gauche et qui croient y voir une indication
politique
: c’est une espèce de fétichisme sentimental. (Voir Lévy-Brühl : La M
202
rmi les camarades : quand on s’avance dans la vie
politique
sans autre intention claire que de prendre toujours à gauche, on arri
204
us réelle, le pouvoir même. VII. — Tout pouvoir
politique
, militaire, juridique dans la mesure où il est efficace et valable, s
205
Denis de, « Spirituel d’abord », L’Ordre nouveau,
Paris
, juillet 1933, p. 13-17. e. Texte rédigé avec Daniel-Rops.
206
ut faire que les tyrannies sociales, mondaines ou
politiques
, trahissent par leur raffinement, par leur perfection même, une anarc
208
sont comme ce poisson qui, expédié de nos ports à
Paris
, revient, pour être consommé, dépourvu de fraîcheur et grevé de frais
209
mentaires contre le Parlement », L’Ordre nouveau,
Paris
, octobre 1933, p. 7-9. g. Texte rédigé avec Jean Jardin.
211
cte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine
politique
: la petite patrie décentralisatrice et le centre de contrôle doctrin
212
nis de, « Positions d’attaque », L’Ordre nouveau,
Paris
, décembre 1933, p. II-III. i. Texte rédigé avec Arnaud Dandieu.
213
étendu à tous les ordres de l’activité humaine :
politique
, économique et culturel. Telle est la base de notre ordre. Cet ordre
214
sous son vrai jour, comme le conservatoire de la
politique
bourgeoise, avec ses monarchistes et ses communistes, figurants indis
215
deux indications très générales : Dans le domaine
politique
, nous revendiquons une organisation régionaliste de l’Europe. Cela su
216
rontières douanières, et du centre administratif,
politique
, financier et policier où viennent se congestionner les énergies du p
217
. Ce que nous voulons, c’est rétablir sur le plan
politique
la tension nécessaire et créatrice entre la petite patrie décentralis
218
e de répartition, tout à fait distinct du pouvoir
politique
. Ainsi se trouve sauvegardée la tension nécessaire, et assuré, en fon
219
cte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine
politique
: la petite patrie décentralisatrice et le centre de contrôle doctrin
221
vait pas encore trouvé, à cette époque, une forme
politique
adéquate. Cette « civilisation quantitative » telle que M. Guglielmo
222
et parole humaine », Les Nouvelles littéraires,
Paris
, 30 décembre 1933, p. 4. b. Traduit de l’allemand par Pierre Maury e
224
et qui mettent en œuvre sur le plan économique et
politique
les mêmes méthodes de synthèse. En vérité, ces deux ouvrages sont dan
225
, Blake et Keats, il devait aboutir à une éthique
politique
. Cette trajectoire très singulière parcourt les domaines les plus var
226
en fait dans les Cahiers du Sud, et repris dans
Politique
de la personne . g. Titre de l’ouvrage que publiera en 1936 Robert A