1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 lant, hip, hip, hurrah ! » 1. Éditions Grasset, Paris . 2. L’attitude de M. de Montherlant légitime une telle « simplificat
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
2 a vraie « question asiatique » étant une question politique . On peut prévoir que si le bouddhisme jouit un jour d’un renouveau, c
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Simone Téry, L’Île des bardes (décembre 1925)
3 tionale à la fois cause et effet de la libération politique . Cause, puisque pour mener à chef cette libération, un Yeats, un A.E.
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
4 nciers, des industriels. Il y a encore les hommes politiques , mais on a si souvent l’impression qu’ils battent la mesure devant un
5 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
5 étudiant en théologie, présenta deux ouvriers de Paris , Clerville et Janson, dont il a eu l’occasion de partager les conditi
6 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
6 « Confession tendancieuse », Les Cahiers du mois, Paris , juin 1926, p. 144-148.
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
7 Plaisir des Sports de Jean Prévost, et les essais politiques de Drieu la Rochelle, les Messages de Fernandez sont les premières co
8 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
8 yeux, que ce soit l’idée de la mort ou les soucis politiques , sociaux, etc., et il ne met de la gravité que dans les choses volupt
9 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
9 ion. 1. Le Dépaysement oriental, chez Grasset, Paris . a. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Robert de Traz, Le Dépayse
10 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
10 qui tisse la nuit vibrante, intérêts, politesses, politiques , regards, musiques — cette vie rapide dans un décor qui est le rêve é
11 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
11 et secret assujettissement au moi idéal exige une politique des sentiments plus subtile et, je pense, moins vulgaire que cette ag
12 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
12 Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)ab « Je n’admets pas qu’on reprenne mes paroles, qu’
13 ne véritable « mythologie moderne ». Le Paysan de Paris est une suite de promenades dont la composition n’est pas sans rappel
14 s de, « [Compte rendu] Louis Aragon, Le Paysan de Paris  », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, janvier 1927
13 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Dans le Style (janvier 1927)
15 on Excellence M. Diamanty, ministre de Roumanie à Paris . C’est encore mieux dans le style. h. Rougemont Denis de, « Dans l
14 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
16 s de l’acte de révocation commencent à se révéler politiques (guerre de la confession d’Augsbourg) et surtout morales : car malgré
15 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
17 arisiens, et dire qu’elle est née dans un café de Paris . « Je n’attends rien du monde, je n’attends rien de rien. » Riez-en d
18 etc., et tout ce qui leur correspond dans l’ordre politique par exemple. Parce que c’est très beau, ridiculement, spirituellement
19 pouvez vous libérer de cette manie française, la politique , et ne voyez-vous pas que c’est faire le jeu de vos ennemis de discut
20 arisien qui, comme tout ce qui est parisien, hait Paris mais ne saurait vivre ailleurs… Mais non, il y aurait trop à dire, et
21 uelques esthètes du machinisme. 13. Le Paysan de Paris . o. Rougemont Denis de, « Louis Aragon, le beau prétexte », Revue d
16 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
22 uvent fatale aux novateurs. Alors ils s’en vont à Paris , ou bien ils se retirent dans une solitude plus effective, quitte à n
23 l administre une feuille religieuse. Il déniche à Paris des tableaux mystérieux qu’il relègue dans son atelier, pêle-mêle ave
17 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
24 s natal ! — Je vécus d’articles sur la mode et la politique , que j’envoyais à divers journaux. Un jour, parcourant un quotidien d
25 de suite ses compliments, ce qui est de mauvaise politique , — c’est l’extraordinaire netteté de votre vie. Elle est sans bavures
18 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
26 on nom à un établissement de nuit très en vogue à Paris . Cambronne (général), 1770-1842. Louis Aragon et Paul Éluard, hommes
19 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les derniers jours (juillet 1927)
27 s derniers jours (juillet 1927)w Ces « cahiers politiques et littéraires »17, rédigés par Drieu la Rochelle et Emmanuel Berl, s
28 avaient pas d’autre sens. 17. 20, rue Chalgrin, Paris 16e. w. Rougemont Denis de, « Les derniers jours », Revue de Belles
20 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
29 du livre et sa richesse. L’enfance de Catherine à Paris est du roman pur ; la tournée des cours de l’Europe centrale, qu’elle
21 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
30 ambon, préface à Henry Ford, Ma vie et mon œuvre, Paris , Payot, 1925. 3. L’Illustration, 20 novembre 1926. 4. Ici et là, l
31 ougemont Denis de, « Le péril Ford », Foi et Vie, Paris , février 1928, p. 189-202.
22 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
32 n, c’est-à-dire — nous sommes en France — vers la politique . Or ces ennemis de toute littérature voient leurs avances dédaignées
23 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
33 é condamné à mort, il s’est évadé, on le traque à Paris même… Il subjugue le jeune Français par ces évocations et l’espèce de
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
34 Mon rôle n’est pas de proposer une nouvelle forme politique . Je me contente de vitupérer ce que je vois, qui est laid. Quand la s
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
35 sa forme actuelle, remplit suffisamment son rôle politique et social, qui est de fabriquer des électeurs (si possible radicaux,
36 ition. Après tout, peu m’importent les idéologies politiques , et peu m’importerait que l’École soit une machine à fabriquer de la
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
37 plus grave.) L’école s’est vendue à des intérêts politiques . C’était là, nous venons de le voir, son unique moyen de parvenir. El
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
38 ie et rationalisme ne sont que deux aspects, l’un politique , l’autre intellectuel, d’une même mentalité. Elle s’est développée au
39 la folie démocratique, à cette danse de Saint-Guy politique dont rien de leur temps ne pouvait offrir la moindre préfiguration ?
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
40 Mon rôle n’est pas de proposer une nouvelle forme politique . Je me contente de vitupérer ce que je vois, qui est laid. Quand la s
29 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
41 sa forme actuelle, remplit suffisamment son rôle politique et social, qui est de fabriquer des électeurs (si possible radicaux,
42 ition. Après tout, peu m’importent les idéologies politiques , et peu m’importerait que l’École soit une machine à fabriquer de la
30 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
43 lus grave).   L’école s’est vendue à des intérêts politiques . C’était là, nous venons de le voir, son unique moyen de parvenir. El
31 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
44 ie et rationalisme ne sont que deux aspects, l’un politique , l’autre intellectuel, d’une même mentalité. Elle s’est développée au
45 à la folie démocratique, cette danse de Saint-Guy politique dont rien de leur temps ne pouvait offrir la moindre préfiguration ?
32 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
46 urs prononcé à l’Académie des sciences morales et politiques , en 1914, a posé le problème en termes fort nets. (Cités par M. Bruns
47 r un humanisme nouveau », Cahiers de Foi et Vie , Paris , 1930, p. 242-245. c. Le texte est précédé de la note suivante : « M
33 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
48 n en souvenir de l’ombrelle rouge de Versailles. Paris la nuit oublie parfois d’être spirituelle, devient tragique ou tout s
49 , son voisin de table, l’arrivée des Mongols dans Paris et leurs établissements Place de la Concorde. Notre conteur est vêtu
50 représentant Mgr le marquis de Carabas, absent de Paris , est là. Si vous enlevez Georges Petit, égaré, en ayant soin d’ajoute
51 bos et de coups de cloche débile au corridor, — à Paris . Bientôt… Mais il est temps de mettre à ces fariboles un terme19. J’
52 érôme Cardan (xvie siècle) à certains moments.   Paris , le 28 avril. 18. ……………… (N. de la R.) 19. L’auteur nous promet po
34 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
53 fait même de s’y essayer définit ce qu’on nomme à Paris prétention. Méditez un peu cette note de Beausire : « Barrès se plain
54 eut-être à le justifier aux yeux de quelques-uns. Paris , avril 1930. 13. C’est ici que paraît tout de même la grandeur d’un
35 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
55 fantômes ne sont pas les miens… », Raison d’être, Paris , juillet 1930, p. 7-8. t. Les réponses à cette enquête, par Raoul Be
36 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
56 magnat, beaucoup de gens comprendraient mieux sa politique . 8. Les coussins Rothermere Le nationalisme de la plupart des É
57 ntiel13. Rien n’est grave, que le sentiment, — en politique comme ailleurs. Songez à ce qui forme l’opinion, cet ensemble de myth
58 rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la politique des peuples ressemble à celle des individus, pour ce qui est du moins
37 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
59 du] André Malraux, La Voie royale  », Foi et Vie, Paris , février 1931, p. 78-81.
38 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
60 aucune compensation : « l’art, la philosophie, la politique étant absents, faute d’emploi, il n’y avait aucune correction à faire
61 tes dans Sodome. 12. Aden Arabie, chez Rieder, Paris . 13. Mais Bouddha, c’est l’Asie. Les grèves, c’est encore l’Europe.
62 s de, « [Compte rendu] Sécularisme », Foi et Vie, Paris , mars 1931, p. 184-189.
39 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
63 on d’artistes protestants modernes », Foi et Vie, Paris , avril 1931, p. 274-277.
40 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
64 « Conférences du comte Keyserling », Foi et Vie, Paris , avril 1931, p. 287-288.
41 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
65 incesse Blanche par Maurice Baring », Foi et Vie, Paris , mai 1931, p. 344-350.
42 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
66 Rougemont Denis de, « Kierkegaard », Foi et Vie, Paris , mai 1931, p. 351-352. j. Texte non signé.
43 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
67 Compte rendu] Littérature alpestre », Foi et Vie, Paris , juillet 1931, p. 548-551.
44 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
68 e les résultats considérables de l’œuvre sociale, politique et religieuse suscitée par Kagawa. Nous savions que ce pasteur d’une
69 moment où Kagawa débouche dans la vie publique et politique . Espérons qu’une biographie complète suivra cette « genèse » à vrai d
70 nte que celle qu’impose n’importe quelle attitude politique . Aux yeux d’un incroyant, ceci peut sembler vague. Mais le sens chrét
71 du] Toyohiko Kagawa, Avant l’Aube  », Foi et Vie, Paris , septembre 1931, p. 623-632. m. Une note précise : « Éditions “Je se
45 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
72 ndu] André Gide ou le style exquis », Foi et Vie, Paris , octobre 1931, p. 725-729. o. Une note précise : « Divers (« Caractè
73 lection « Les Essais », à la Librairie Gallimard, Paris . »
46 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
74 Denis de, « Le protestantisme jugé », Foi et Vie, Paris , octobre 1931, p. 751-754.
47 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
75 grandeur humaine  », La Nouvelle Revue française, Paris , octobre 1931, p. 640‑643.
48 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
76 an Cassou, Sarah  », La Nouvelle Revue française, Paris , novembre 1931, p. 804-805.
49 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
77 r le baron W. de Münchhausen, au bar des Vikings ( Paris ), fin septembre 1931. » ae. Rougemont Denis de, « La pluie et le be
50 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
78 iques. Mais d’autre part certaines « célébrités » politiques ou intellectuelles plus récentes et discutables, dont nos apologètes
79 i sont souvent les plus éclatants. Car un système politique , une doctrine, une éthique, s’ils s’abandonnent de tout leur poids à
80 Denis de, « Romanciers protestants », Foi et Vie, Paris , janvier 1932, p. 56-63.
51 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
81 ignes parmi nous  », La Nouvelle Revue française, Paris , janvier 1932, p. 144-149.
52 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
82 silence de Goethe », La Nouvelle Revue française, Paris , mars 1932, p. 480-494.
53 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
83 enis de, « Goethe, chrétien, païen », Foi et Vie, Paris , avril–mai 1932, p. 304-309.
54 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
84 ne épître au préfet de Police sur les Embarras de Paris . Sujet de pastiche facile : décrire l’état d’esprit du Français moyen
85 elles de famille  », La Nouvelle Revue française, Paris , mai 1932, p. 913-915.
55 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
86 Denis de, « Sur la violence bourgeoise », Plans, Paris , 15 mai 1932, p. 6-8.
56 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
87 suite, ne comportent nulle allusion à la position politique de ce journal. Le titre : La Crise est dans l’homme 38, s’oppose d’em
88 rtout que M. Thierry Maulnier révèle ses origines politiques , et peut-être aussi sa jeunesse. Il critique des erreurs au nom d’une
89 t suffisamment justifiée. Pour le reste, c’est la politique , et dans un sens plus vaste, la religion, que cela regarde. M. Nizan
90 itions de la Revue française, chez Alexis Rédier, Paris 1932. 39. Chez Rieder, collection « Europe ». 40. Et pourtant, M. N
91 Denis de, « Penser dangereusement », Foi et Vie, Paris , juin 1932, p. 478-484.
57 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
92 Rougemont Denis de, « Les ‟petits purs” », Plans, Paris , 15 juin 1932, p. 6-7.
58 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)
93 n, ton serviteur  », La Nouvelle Revue française, Paris , juillet 1932, p. 149.
59 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
94 de l’imprudence  », La Nouvelle Revue française, Paris , septembre 1932, p. 442-444.
60 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alexandre, par Klaus Mann (septembre 1932)
95 Mann, Alexandre  », La Nouvelle Revue française, Paris , septembre 1932, p. 477.
61 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
96 cord sans résolution Il arrive qu’au sortir de Paris le train de banlieue qui emmène son chargement de somnambules énervés
97 ococo des sentiments qu’à l’hypocrite gravité des politiques . Ce projet, d’autre part, flattait un certain goût du graphique et de
98 , tout indépendamment des réalités économiques et politiques , l’on peut nommer ici Allemagne, et là, France. Il reste qu’un Empédo
99 ient de guérir par des moyens appropriés, par une politique ou par une morale. D’une part l’on tient la déficience pour essentiel
62 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
100 magnat, beaucoup de gens comprendraient mieux sa politique . viii Les coussins Rothermere Le nationalisme de la plupart de
101 entiel8. Rien n’est grave, que le sentiment, — en politique comme ailleurs. Songez à ce qui forme l’opinion, cet ensemble de myth
102 rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la politique des peuples ressemble à celle des individus, pour ce qui est du moins
63 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
103 ient récemment encore, dans un grand quotidien de Paris , ces junkers qui, d’après eux, constituent la fraction d’humanité la
104 epuis la chute de Bismarck, coupées de tous liens politiques avec une Europe bourgeoise, résignée à laisser ce monde aux Juifs, pu
105 ceux qu’on envoyait à l’armée, font parfois de la politique  : Hitler les flatte mais ne vainc pas souvent leurs méfiances. Certai
64 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
106 du Brambilla-Club (1930) Pour Albert Béguin. Paris la nuit oublie parfois d’être spirituelle, devient tragique ou tout s
107 , son voisin de table, l’arrivée des Mongols dans Paris et leurs établissements place de la Concorde. Notre conteur est vêtu
108 représentant Mgr le marquis de Carabas, absent de Paris , est là. Peut-être aussi Jean de Boschère, en dépit de certaines appa
109 d’anarchie permanente — sentimentale et non point politique  — dont l’esprit s’apparente beaucoup plus à celui des Wandervogel qu’
65 1932, Esprit, articles (1932–1962). À l’index (Première liste) : Candide (octobre 1932)
110 Marne, la mesure de ce qu’on pourrait appeler la politique des « laquais de forges ». On nous entendra. Six grandes pages de des
111  À l’index (Première liste) : Candide  », Esprit, Paris , octobre 1932, p. 194-195.
66 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
112 rsonnalisme de l’éthique bourgeoise. 3° Les actes politiques déduits par accident des principes fondamentaux du régime sont en con
113 a religion chrétienne et la religion de l’Écho de Paris . « Nous avons proposé un maître à ce jeune homme, dit le pasteur Coor
114 mont Denis de, « On oubliera les juges », Esprit, Paris , novembre 1932, p. 297-301. c. Signé : Jean-Pierre Cartier.
67 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
115 Rougemont Denis de, « Hic et nunc », Hic et Nunc, Paris , novembre 1932, p. 1-3. b. Texte signé par Henry Corbin, Roger Jézéq
68 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
116 Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)c …que nous faisons du paradoxe
117 , nous ne sommes pas du monde. Toute construction politique qui ne prend pas au sérieux ce qu’impliquent les deux termes de l’ant
118 pe. Ainsi se trouvent définies les trois hérésies politiques que nous avons à dénoncer. 1° L’hérésie pessimiste abandonne à lui-mê
119 nnent au sérieux leur foi, participer à un effort politique quelconque ? Ayons le courage de l’affirmer ; il n’est pas de réponse
120 es exigences absolues), tandis qu’au contraire la politique est l’art d’accommoder les relations dans le sens de la plus grande f
121 ens de la plus grande facilité de réalisation. La politique est un art de synthèses pratiques ; son office est de résoudre dans l
122 ales. Doit-on conclure au refus de toute activité politique  ? Ce serait admettre que les deux termes de l’antinomie s’équivalent
123 ls qu’ils sont, — des hommes qui ont besoin d’une politique pour suppléer à leur faiblesse, qui ont besoin tout autant qu’on leur
124 . Telle est, dans son principe, la seule attitude politique que puisse adopter le protestant : la politique du pessimisme actif,
125 e politique que puisse adopter le protestant : la politique du pessimisme actif, — ou si l’on veut de l’activisme sans illusions.
126 est peut-être vis-à-vis d’eux seulement que notre politique pourra se fixer un programme : la devise de Guillaume d’Orange est l’
127 .) Je ne veux parler ici que du principe de notre politique  ; il est bien clair qu’elle condamne, dans la mesure où ces idolâtrie
128 ’abri des touches fulgurantes du Saint-Esprit. La politique romaine est la recherche d’une harmonie statique des relations humain
129 la foi. c. Rougemont Denis de, « Principe d’une politique du pessimisme actif », Hic et Nunc, Paris, novembre 1932, p. 23-29.
130 une politique du pessimisme actif », Hic et Nunc, Paris , novembre 1932, p. 23-29.
69 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
131 de revendications », La Nouvelle Revue française, Paris , décembre 1932, p. 801.
70 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
132 ésignent-ils la notion de personne ! — aux forces politiques et historiques qui selon eux déterminent entièrement le devenir révol
133 , le fascisme, leurs mystiques et leurs créations politiques (nationalisme, SDN, etc.), condamnation de l’individu, de la « pensée
134 ceptable » ? (Roland de Pury, dans Hic et Nunc , Paris , n° 1). j. Rougemont Denis de, « À prendre ou à tuer », La Nouvelle
135 prendre ou à tuer », La Nouvelle Revue française, Paris , décembre 1932, p. 838-845.
71 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
136 cord sans résolution Il arrive qu’au sortir de Paris le train de banlieue qui emmène son chargement de somnambules énervés
137 ococo des sentiments qu’à l’hypocrite gravité des politiques . Ce projet, d’autre part, flattait un certain goût du graphique et de
138 , tout indépendamment des réalités économiques et politiques , l’on peut nommer ici Allemagne, et là, France. Il reste qu’un Empédo
139 ient de guérir par des moyens appropriés, par une politique ou par une morale. D’une part l’on tient la déficience pour essentiel
72 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
140 magnat, beaucoup de gens comprendraient mieux sa politique . Les coussins Rothermere Le nationalisme de la plupart des État
141 sentiel. Rien n’est grave, que le sentiment, — en politique comme ailleurs. Songez à ce qui forme l’opinion, cet ensemble de myth
142 rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la politique des peuples ressemble à celle des individus, pour ce qui est du moins
73 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
143 ient récemment encore, dans un grand quotidien de Paris , ces junkers qui, d’après eux, constituent la fraction d’humanité la
144 epuis la chute de Bismarck, coupées de tous liens politiques avec une Europe bourgeoise, résignée à « laisser ce monde aux Juifs »
145 ceux qu’on envoyait à l’armée, font parfois de la politique  : Hitler essaie de les flatterb mais ne vainc pas souvent leurs méfia
74 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
146 i ? Mais oui, peut-être vivons-nous, ici, dans ce Paris de mars 1939, les derniers jours du bon vieux temps européen. Jours d
147 je le lus l’année dernière. À cette heure où Paris … Berne, 15 juin 1940 « À cette heure où Paris exsangue voile sa fa
148 Paris… Berne, 15 juin 1940 « À cette heure où Paris exsangue voile sa face d’un nuage et se tait, que son deuil soit le d
149 nous sommes tous atteints. Quelqu’un disait : Si Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumièr
150 eur avait prophétisé : le 15 juin j’entrerai dans Paris . Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Paris. Et telle est sa défa
151 s Paris. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Paris . Et telle est sa défaite irrémédiable devant l’esprit, devant le sent
152 lque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris . C’est ici l’impuissance tragique de ce conquérant victorieux : tout
153 Terre promise à tout l’homme ! Premier retour Paris , début avril 1946 LaGuardia Field dans une matinée bleue, c’était
154 ils viennent. 2 avril 1946 Les oiseaux de Paris . — Nous roulons dans un petit autobus, du terrain d’Orly vers Paris.
155 ons dans un petit autobus, du terrain d’Orly vers Paris . Sept ans bientôt, depuis que je l’ai quitté… Par quelle porte allons
156 nous dépose, j’ai retrouvé les grandes mesures de Paris . Dans quel silence, à quatre heures du matin. Trouverons-nous quelque
157 rcher ailleurs. Crise des logements. — Est-ce que Paris a été bombardé ? me demandent-ils non sans inquiétude. — Et New York
158 grosses valises, se hâtent vers la gare d’Orsay. Paris a reculé d’un siècle, en direction d’une beauté oubliée. Plus Suis
159 t cela dans la vie quotidienne autant que dans la politique . Ces vertus, cette prudence avare, s’explique sans doute par les dime
75 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
160 e, voyageur anglais, auteur de Lettres sur l’état politique , civil et naturel de la Suisse, écrit en 1776 : « La constitution de
76 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
161 mais là encore les traditions intellectuelles et politiques restent les plus marquées. François-Antoine III, mon quadrisaïeul, ép
162 uit, en d’autres temps, vers une carrière d’homme politique ou d’homme de loi, dans un style dignified à l’anglaise. Le ministère
77 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
163 térature qui tient à la fois de l’histoire, de la politique , de la morale et de la religion. Des livres comme l’Essai sur la Fran
164 toires du monde, s’il vous plaît ! », Foi et Vie, Paris , janvier–février 1933, p. 134-139.
78 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
165 is trop bien que, sous la plume d’un stalinien de Paris , elle exprime le désir de déconsidérer à peu de frais l’adversaire, p
166 enis de, « Sur un certain front unique », Europe, Paris , 15 février 1933, p. 303-304. e. Précédé de la notice suivante : « M
79 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
167 a rupture que nous voulons n’aura de conséquences politiques que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa d
168 dans tout programme prétendu chrétien, dans toute politique humaine organisée — fût-ce à la gloire de Dieu ! — qui poursuivrait s
169 alité ils rendaient à César. Entraînée dans cette politique , la théologie se fait servante de la chose publique. Et que voit-on d
170 llons pas chercher si loin. Ouvrons un journal de Paris . Un discours chaleureux du Père de la Brière4 voudrait nous enflammer
171 contre une force de même ordre. Assez de cette «  politique chrétienne » où l’on embarque une prétendue foi dans les plus discuta
172 je ne puis engager que moi-même, hic et nunc. La politique est affaire de systèmes ; mais l’ordre, pour le chrétien, sera toujou
173 Rougemont Denis de, « Comment rompre ? », Esprit, Paris , mars 1933, p. 909-916.
80 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
174 devenues les officines d’un conformisme social et politique plus scandaleux encore que celui des églises catholiques, puisque il
175 iste (Vitus Heller) nombreux sont les groupements politiques , résolus à la rupture, qui se réclament hautement de leur foi. Les él
176 re », on est surpris de trouver dans le quotidien politique de combat ou dans les revues berlinoises les plus « avancées » des pr
177 ésintéressement radical à l’endroit des problèmes politiques et sociaux. La parution coup sur coup, de trois livres importants de
178 , de Brunner et de de Quervain sur la « théologie politique  » fait justice de ce reproche et démontre une fois de plus que le par
179 démontre une fois de plus que le paradoxe de la «  politique du pessimisme actif » inspirera toujours les constructions les plus v
180 riedrich Gogarten en particulier dans son Éthique politique pose tous les problèmes de l’heure avec une lucidité et un courage in
181 ctuel qu’on rencontre rarement chez les écrivains politiques . Si certaines de ses conclusions sont nettement étatistes, il n’en re
182 uère d’écho à l’effort critique de la « théologie politique  » allemande que dans le mince bulletin du groupe Hic et Nunc , et da
183 e. Rougemont Denis de, « Protestants », Esprit, Paris , mars 1933, p. 1034-1037.
81 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
184 itif » ! Comme si le christianisme n’était qu’une politique possible, entre autres ! Comme si les situations humaines comportaien
185 Denis de, « Solutions pratiques ? », Hic et Nunc, Paris , mars 1933, p. 37-42.
82 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
186 cis, qui désigne une conception générale de vie — politique , économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par
187 e n’ait pas ses doctrines, et même une expression politique cohérente. On a cité dans les Débats, ces jours derniers, les écrits
188 is de, « Humanisme et christianisme », Le Semeur, Paris , mars 1933, p. 286-293. b. La première note indique : « Introduction
189 r 1933. » Le Foyer international se situe alors à Paris , au boulevard Saint-Michel.
83 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
190 ngria, Pétrarque  », La Nouvelle Revue française, Paris , avril 1933, p. 676-678.
84 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
191 is de, « Liberté ou chômage ? », L’Ordre nouveau, Paris , mai 1933, p. 10-15.
85 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
192 ançaise devant l’Allemagne », La Revue du siècle, Paris , mai 1933, p. 7-9. g. Précédé de la notice suivante : « Nous sommes
86 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
193 Ramuz, Une main  », La Nouvelle Revue française, Paris , juin 1933, p. 1001-1002.
87 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
194 jet est plus grave. Non pas du point de vue de la politique , car les partis de gauche ne prennent guère au sérieux leur intellige
195 a Légion étrangère soviétique », L’Ordre nouveau, Paris , juin 1933, p. 19-23.
88 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
196 ont Denis de, « Loisir ou temps vide ? », Esprit, Paris , juillet 1933, p. 604-608.
89 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
197 et quelles conséquences il entraîne dans l’ordre politique , par exemple, que notre temps croit devoir considérer comme plus réel
198 is déjà trouvé. » 4. Dans les travaux du groupe politique et philosophique de L’Ordre nouveau. 5. Qu’on nomme en France « path
199 « Dialectique des fins dernières », Hic et Nunc, Paris , juillet 1933, p. 95-101.
90 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
200 nt Denis de, « Poésie dialectique », Hic et Nunc, Paris , juillet 1933, p. 116-117.
91 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Pourquoi ils sont socialistes (juillet 1933)
201 œur à gauche et qui croient y voir une indication politique  : c’est une espèce de fétichisme sentimental. (Voir Lévy-Brühl : La M
202 rmi les camarades : quand on s’avance dans la vie politique sans autre intention claire que de prendre toujours à gauche, on arri
203 Pourquoi ils sont socialistes », L’Ordre nouveau, Paris , juillet 1933, p. 5-6.
92 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
204 us réelle, le pouvoir même.   VII. — Tout pouvoir politique , militaire, juridique dans la mesure où il est efficace et valable, s
205 Denis de, « Spirituel d’abord », L’Ordre nouveau, Paris , juillet 1933, p. 13-17. e. Texte rédigé avec Daniel-Rops.
93 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
206 ut faire que les tyrannies sociales, mondaines ou politiques , trahissent par leur raffinement, par leur perfection même, une anarc
207 ’humaniste impur  », La Nouvelle Revue française, Paris , octobre 1933, p. 621-622.
94 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
208 sont comme ce poisson qui, expédié de nos ports à Paris , revient, pour être consommé, dépourvu de fraîcheur et grevé de frais
209 mentaires contre le Parlement », L’Ordre nouveau, Paris , octobre 1933, p. 7-9. g. Texte rédigé avec Jean Jardin.
95 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
210 r de la Création  », La Nouvelle Revue française, Paris , décembre 1933, p. 927-929.
96 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Positions d’attaque (décembre 1933)
211 cte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine politique  : la petite patrie décentralisatrice et le centre de contrôle doctrin
212 nis de, « Positions d’attaque », L’Ordre nouveau, Paris , décembre 1933, p. II-III. i. Texte rédigé avec Arnaud Dandieu.
97 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
213 étendu à tous les ordres de l’activité humaine : politique , économique et culturel. Telle est la base de notre ordre. Cet ordre
214 sous son vrai jour, comme le conservatoire de la politique bourgeoise, avec ses monarchistes et ses communistes, figurants indis
215 deux indications très générales : Dans le domaine politique , nous revendiquons une organisation régionaliste de l’Europe. Cela su
216 rontières douanières, et du centre administratif, politique , financier et policier où viennent se congestionner les énergies du p
217 . Ce que nous voulons, c’est rétablir sur le plan politique la tension nécessaire et créatrice entre la petite patrie décentralis
218 e de répartition, tout à fait distinct du pouvoir politique . Ainsi se trouve sauvegardée la tension nécessaire, et assuré, en fon
219 cte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine politique  : la petite patrie décentralisatrice et le centre de contrôle doctrin
220 que pour l’ordre nouveau », La Revue des vivants, Paris , décembre 1933, p. 1821-1827.
98 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
221 vait pas encore trouvé, à cette époque, une forme politique adéquate. Cette « civilisation quantitative » telle que M. Guglielmo
99 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
222 et parole humaine  », Les Nouvelles littéraires, Paris , 30 décembre 1933, p. 4. b. Traduit de l’allemand par Pierre Maury e
223 Éditions “Je sers”) », Les Nouvelles littéraires, Paris , n° 585, 30 décembre 1933, p. 4.
100 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
224 et qui mettent en œuvre sur le plan économique et politique les mêmes méthodes de synthèse. En vérité, ces deux ouvrages sont dan
225 , Blake et Keats, il devait aboutir à une éthique politique . Cette trajectoire très singulière parcourt les domaines les plus var
226 en fait dans les Cahiers du Sud, et repris dans Politique de la personne . g. Titre de l’ouvrage que publiera en 1936 Robert A