1 s’agit maintenant de le transformer. Et l’apôtre Paul écrit dans sa Lettre aux Romains (12, 2) : Ne vous conformez pas à c

2 st-à-dire en tant que l’on obéit à l’Esprit, pour Paul , et en tant que l’on fait la révolution, pour Marx). Il s’agit donc d

3 ition de Marx et de l’apôtre éclate en ceci : que Paul veut transformer l’homme d’abord — et le monde par lui — tandis que M

4 indivisibles de la « transformation » dont parle Paul . L’un n’est pas concevable, sérieusement, sans l’autre. « Toute droit

5 donner du pain et des spectacles à la foule. Mais Paul était apôtre et non pas dictateur. C’est pourquoi son message nous es

6 alvin et Luther ont fait leur temps — que dire de Paul , bien plus ancien — tous ceux qui tiennent la prédestination pour un

7 incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de Paul et des Apôtres. D’abord, le langage scolastique, qui n’est pas propre

8 nstant (dans un « atome » de temps, comme l’écrit Paul ) ?33 Qui t’assure que notre raison tout attachée à notre chair, à not

9 mais qui est au cœur même de l’Évangile. L’apôtre Paul l’a formulé avant toute « tradition ecclésiastique » ; et tous les Pè

10 orrespondre, terme à terme, à celui que Luther et Paul — et l’Évangile — posent à notre foi. C’est qu’il a poussé comme Luth