1 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
1 ne est pleine de contradictions, elle aussi, mais Paul les a toutes rassemblées dans une formule unique qui renvoie au fonde
2 ais le mal que je hais. » C’est pourquoi, lorsque Paul critique la vie des chrétiens de son temps, il parle avec autorité, t
2 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
3 lvin et Luther ont fait leur temps, — que dire de Paul bien plus ancien ! — tous ceux qui tiennent la prédestination pour un
4 incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de Paul et des apôtres. D’abord, le langage scolastique, qui n’est pas propre
5 nstant (dans un « atome » de temps, comme l’écrit Paul ) (I Cor. 15 : 52) ? Qui t’assure que notre raison, tout attachée à no
6 mais qui est au cœur même de l’Évangile. L’apôtre Paul l’a formulé avant toute « tradition ecclésiastique », et tous les Pèr
7 orrespondre, terme à terme, à celui que Luther et Paul — et l’Évangile — posent à notre foi. C’est qu’il a poussé, comme Lut
3 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
8 c’est dans ses appels à l’union, précisément, que Paul établit avec le plus de force la légitimité des diversités. Ce qui me