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aard, pas plus que Luther et Calvin, pas plus que
Paul
ou Jérémie. Que cela suffise aussi à écarter les toutes superficielle
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bien réel, s’il est bien tel que l’ont formulé un
Paul
, un Luther, un Calvin, ce sont alors ces appréciations toutes humaine
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rses formes de la croyance à la résurrection chez
Paul
et Jean, puis chez les rédacteurs des évangiles, enfin chez les premi
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ne est pleine de contradictions, elle aussi, mais
Paul
les a toutes rassemblées dans une formule unique qui renvoie au fonde
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ais le mal que je hais. » C’est pourquoi, lorsque
Paul
critique la vie des chrétiens de son temps, il parle avec autorité, t
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nous l’attendons avec persévérance », dit encore
Paul
. Cette attente persévérante, cette action d’espérance, voilà le sens
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hèse provisoire (ce que n’avait pas fait l’apôtre
Paul
, autorisant en fin de compte le mariage), il renvoie à cette synthèse
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oir en appelle d’autres. Kagawa recueille dans sa
case
, des malades, des chômeurs, des vieillards, des enfants abandonnés, d
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r ses crimes ; ce n’est pas au nom d’un parti que
Paul
ébranle l’Empire romain, ce n’est pas au nom d’un parti que Luther et
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encore, nous ne sommes pas tous des Jérémie, des
Paul
, des Luther, des Calvin, ni même des Kagawa, ni même des salutistes,
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e qu’apporta dans le monde le message de l’apôtre
Paul
, idée centrale de la doctrine de Calvin. Ordonner toutes choses, et d
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s’agit maintenant de le transformer. Et l’apôtre
Paul
écrit dans sa Lettre aux Romains (12, 2) : Ne vous conformez pas à c
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st-à-dire en tant que l’on obéit à l’Esprit, pour
Paul
, et en tant que l’on fait la révolution, pour Marx). Il s’agit donc d
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ition de Marx et de l’apôtre éclate en ceci : que
Paul
veut transformer l’homme d’abord — et le monde par lui — tandis que M
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indivisibles de la « transformation » dont parle
Paul
. L’un n’est pas concevable, sérieusement, sans l’autre. « Toute droit
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donner du pain et des spectacles à la foule. Mais
Paul
était apôtre et non pas dictateur. C’est pourquoi son message nous es
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alvin et Luther ont fait leur temps — que dire de
Paul
, bien plus ancien — tous ceux qui tiennent la prédestination pour un
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incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de
Paul
et des Apôtres. D’abord, le langage scolastique, qui n’est pas propre
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nstant (dans un « atome » de temps, comme l’écrit
Paul
) ?33 Qui t’assure que notre raison tout attachée à notre chair, à not
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mais qui est au cœur même de l’Évangile. L’apôtre
Paul
l’a formulé avant toute « tradition ecclésiastique » ; et tous les Pè
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orrespondre, terme à terme, à celui que Luther et
Paul
— et l’Évangile — posent à notre foi. C’est qu’il a poussé comme Luth
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lvin et Luther ont fait leur temps, — que dire de
Paul
bien plus ancien ! — tous ceux qui tiennent la prédestination pour un
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incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de
Paul
et des apôtres. D’abord, le langage scolastique, qui n’est pas propre
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nstant (dans un « atome » de temps, comme l’écrit
Paul
) (I Cor. 15 : 52) ? Qui t’assure que notre raison, tout attachée à no
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mais qui est au cœur même de l’Évangile. L’apôtre
Paul
l’a formulé avant toute « tradition ecclésiastique », et tous les Pèr
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orrespondre, terme à terme, à celui que Luther et
Paul
— et l’Évangile — posent à notre foi. C’est qu’il a poussé, comme Lut
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jamais de querelles de familles ! Les épîtres de
Paul
suffiraient à dissiper cette illusion. Il n’en reste pas moins que ce
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d totalitaire. On peut aussi les nommer Pierre et
Paul
, ou moi et l’autre, ou nous et l’ennemi : car « la seule chose qui im
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leur sérieux : où est la différence ? « L’apôtre
Paul
avait-il un emploi officiel ? — Non, Paul n’avait pas un emploi offic
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’apôtre Paul avait-il un emploi officiel ? — Non,
Paul
n’avait pas un emploi officiel. — Avait-il une autre manière de gagne
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e de l’argent. — Était-il au moins marié ? — Non,
Paul
n’était pas marié. — Mais alors, Paul n’était pas un homme sérieux ?
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ié ? — Non, Paul n’était pas marié. — Mais alors,
Paul
n’était pas un homme sérieux ? — Non, Paul n’était pas un homme série
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alors, Paul n’était pas un homme sérieux ? — Non,
Paul
n’était pas un homme sérieux. » Ici paraît la dialectique du sérieux
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alvin et Luther ont fait leur temps — que dire de
Paul
, bien plus ancien ! — tous ceux qui tiennent la prédestination pour u
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incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de
Paul
et des apôtres. D’abord le langage scolastique, qui n’est pas du tout
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nstant (dans un « atome » de temps, comme l’écrit
Paul
). Qui t’assure que notre raison, tout attachée à notre chair, à notre
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mais qui est au cœur même de l’Évangile. L’apôtre
Paul
l’a formulé avant toute tradition ecclésiastique ; et tous les Pères
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orrespondre, terme à terme, à celui que Luther et
Paul
posent ensemble à notre foi. C’est que Nietzsche a poussé comme Luthe
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c’est dans ses appels à l’union, précisément, que
Paul
établit avec le plus de force la légitimité des diversités. Ce qui me
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d une femme doit accoucher, elle s’isole dans une
case
, parfois avec une aide, cependant que, vautré sur le sol d’une autre
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ide, cependant que, vautré sur le sol d’une autre
case
, entouré par tous les voisins venus le plaindre et le réconforter, le
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indépendante de coopération européenne (président
Paul
van Zeeland) ; Mouvement français pour l’Europe unie (président Raoul
43
) ; Ligue indépendante de coopération économique (
Paul
van Zeeland) ; Comité français pour l’Europe unie (E. Herriot et R. D
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ter lentement : M. Ernest Steffan, S-T-E-F-F-A-N,
case
postale 1833, Lausanne. M. Steffan est accablé de travail. Mais il vo
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’en porte garant, je le connais bien. M. Steffan,
Case
postale 1833, Lausanne, vous donnera l’adresse du groupe fédéraliste
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me envers l’État mondial romain et envers Arpino,
Paul
son loyalisme envers Rome et Tarse. Un conflit de loyalismes n’a pas
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hemin de Damas, où Saul de Tarse devient l’apôtre
Paul
. Révolution et conversion ont le même sens : c’est se retourner compl
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chemin de Damas où Saul de Tarse devient l’apôtre
Paul
. Révolution et conversion ont le même sens : c’est se retourner compl
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oint de vue de l’histoire, tout change. C’est que
Paul
se battait pour fonder une Église, pour imposer une doctrine de l’hom
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de la part d’un furieux contempteur de la Nature,
Paul
conclut : « Si quelqu’un se plaît à contester, nous n’avons pas cette
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moin de la bonté du Christ l’ont témoigné ; enfin
Paul
nomma cet état très heureux la plénitude des temps. Vraiment temps et
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ompre les liens de la société du Christ. L’apôtre
Paul
s’indigna un jour, en entendant des chrétiens prononcer ces paroles :
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ue. D’où les déclarations fréquentes faites à Las
Cases
sur l’organisation qu’il souhaite pour l’Europe. À la question de sav
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maître avec les peuples. L’empereur, ajoute Las
Cases
dans le Mémorial de Sainte-Hélène, passait ensuite en revue ce qu’il
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réhabilité le travail manuel : Jésus charpentier,
Paul
fabricant de tentes, « confréries de liberté », guildes et corporatio
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né Courtin et R. W. G. Mackay ; pour l’économique
Paul
van Zeeland, D. Serruys et Lord Layton ; pour la culturelle Salvador
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s’agit maintenant de le transformer. Et l’apôtre
Paul
écrit dans sa Lettre aux Romains (12, 2) : Ne vous conformez pas à c
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st-à-dire en tant que l’on obéit à l’Esprit, pour
Paul
, et en tant que l’on fait la révolution, pour Marx). Il s’agit donc d
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ition de Marx et de l’apôtre éclate en ceci : que
Paul
veut transformer l’homme d’abord — et le monde par lui — tandis que M
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indivisibles de la « transformation » dont parle
Paul
. L’un n’est pas concevable, sérieusement, sans l’autre. « Toute droit
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donner du pain et des spectacles à la foule. Mais
Paul
était apôtre et non pas dictateur. C’est pourquoi son message nous es
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c’est dans ses appels à l’union, précisément, que
Paul
établit avec le plus de force la légitimité des diversités. Ce qui me
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and bruit si on m’empêchait de lire le Message .
Paul
van Zeeland, sur ma demande, vint arbitrer le différend : on décida q
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ait une bizarre claudication. Il avait fondé avec
Paul
van Zeeland, au lendemain de la guerre, la Ligue européenne de coopér
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prièrent de sortir. J’envoyai quérir Retinger et
Paul
van Zeeland, qui étaient à la tribune. Dans une petite salle près de
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: « Faites sortir ce journaliste irresponsable »,
Paul
van Zeeland, qui devait présider la séance de clôture du Congrès fit
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) ; Ligue indépendante de coopération économique (
Paul
van Zeeland) ; Comité français pour l’Europe unie (E. Herriot et R. D
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é la première à parler de la « mort de l’homme ».
Paul
revient sans cesse sur la nécessité pour le « vieil homme » de « mour
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onde en paix sous « le divin Auguste monarque, et
Paul
nomma cet état très heureux la plénitude des temps », la voici « déch
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onde en paix sous « le divin Auguste monarque, et
Paul
nomma cet état très heureux la plénitude des temps », la voici « déch
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c’est dans ses appels à l’union, précisément, que
Paul
établit avec le plus de force la légitimité des diversités). Est-il p
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lle présidée à La Haye par Salvador de Madariaga,
Paul
van Zeeland et Lord Layton se chargeant de l’économique, Paul Ramadie
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), la Ligue économique de coopération européenne (
Paul
van Zeeland), les Nouvelles équipes internationales (catholiques, Rob